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Home/ Équipe TIC en pédagogie CSMB/ Group items tagged critique

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Marijo Emond

A Quick Guide to 21st Century Critical Thinking Skills for Educators - 0 views

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    Exemples de questions pour développer la pensée critique de ses élèves, classées par: connaissances,
Nathalie Frigon

learning-affordances - Hybrid Flipped Spaces - 0 views

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    Critique très nuancée et pertinente. Belle réflexion...
Marijo Emond

Expression 2.0 des élèves et culture numérique à l'École - Ludovia Magazine |... - 0 views

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    Comment accompagner les élèves dans un choix critique et raisonné des outils, des ressources et des usages du numérique ? Expression 2.0 des élèves et culture numérique (collaborer, s'exprimer, créer) : quelle place à l'École ?
Marijo Emond

Mesurer l'impact des technologies, est-ce vraiment réalisable ? - Ludovia Mag... - 0 views

  • Or, nous l’avons dit, on peu très bien utiliser les technologies dans le cadre de méthodes transmissives (osons citer les xMOOC) ou alors dans le cadre d’un dispositif actif et interactif visant le développement de compétences. Encore une fois, l’outil seul n’explique rien ; C’est le croisement d’objectifs, de méthodes et … d’outils (et d’évaluations en cohérence) qui nous permettra de voir clair dans ces impacts
  • les vraies valeurs ajoutées réelles (compétences de haut niveau, attitudes, créativité, esprit critique …) restent difficilement accessibles et discernables par la mesure. Pourquoi cette difficulté ? S’il s’agit de mesurer les valeurs ajoutées que je prétends (en esprit critique, en résolution de problèmes, en créativité …), un protocole de mesure qui s’étend sur les quelques mois d’un cours n’est pas assez ample temporellement.
Marijo Emond

autisme Archives | DeclicKids, applis enfants - catalogue critique d'applications iPad ... - 0 views

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    Suggestions d'applications qu'on peut trier par support(ipad, ipod iphone, pc, mac android) pour la clientèle autiste
Marijo Emond

Un portable par élève : une expérience concluante » Presse-Éducation.com - 0 views

  • L’organisation avait l’un des pires taux de décrochage au Québec. Depuis, il a chuté de 42 % à 22 % alors qu’il grimpait dans le reste de la province.
  • Le lien de cause à effet entre l’implantation des ordinateurs et la réussite scolaire est difficile à établir. Néanmoins, celle-ci a bonifié le contexte pédagogique, estiment les chercheurs de la Chaire de recherche du Canada sur les technologies de l’information et des communications en éducation.
  • impacts positifs sur l’écriture des élèves.
  • ...6 more annotations...
  • D’autres compétences seraient aussi influencées positivement comme la créativité, la communication, le travail d’équipe, les méthodes de travail efficaces et le jugement critique.
  • La motivation des jeunes est aussi accrue.
  • 89 % estiment que les technologies leur permettent de mieux apprendre.
  • Intégrer la technologie en classe pose néanmoins certains défis.
  • avoir accès à de meilleurs équipements, particulièrement au primaire.
  • Le temps et la gestion de classe demeurent aussi des défis quotidiens pour 14 %
Marijo Emond

PAFEU - Apprentissage par problèmes - 2 views

  • Avant de mettre en route une activité d'APP, il est important d'expliquer aux étudiants cette méthode pédagogique et ses étapes.
  • Moust et coll. (2005) conseillent aussi d'informer régulièrement les étudiants des idées théoriques qui appuient l'APP, c'est-à-dire l'acquisition des compétences de travail en groupe, l'autorégulation, la rétroaction et la résolution de problèmes. Cette information vise à aider les étudiants à comprendre le « pourquoi » de cette approche et contribue à accroître leur intérêt à l'égard du cours.
  • Même si les étudiants constatent l'efficacité de l'APP, il faut leur donner du temps pour s'approprier la méthode et être à l'aise dans un tel environnement d'apprentissage. Si vous voulez apprendre à utiliser l'APP, n'hésitez pas à vous former et à améliorer vos propres compétences à guider une situation d'APP.
  • ...13 more annotations...
  • L'enseignant comme facilitateur
  • il doit posséder une expérience de cette approche pédagogique et avoir une bonne connaissance des méthodes en matière de réflexion, de communication en groupe, d'écoute, de résolution de problèmes et de processus d'apprentissage individuels et collectifs (Lohman, 2002).
  • Globalement, le rôle du facilitateur est de s'assurer du bon déroulement du processus et de faire en sorte que les étudiants s'engagent dans la tâche. Il agit essentiellement à titre d'observateur et n'intervient qu'en cas de besoin pour ramener la discussion sur le problème à l'étude ou pour rappeler aux étudiants où ils en sont dans la démarche et ce qu'il leur reste à faire avant de passer à la prochaine étape.
  • Au fur et à mesure qu'ils avancent dans le processus, les étudiants prennent conscience de ce qu'ils ont à apprendre et de leurs accomplissements (MacKinnon, 1999).
  • Comme facilitateur, l'enseignant se charge de diriger les étudiants à travers les étapes de l'APP et de gérer le progrès du groupe.
  • Les grands groupes
  • D'abord, il suggère de demander aux étudiants de faire un remue-méninge en petits groupes.
  • Chaque groupe choisit un chef et un secrétaire et l'enseignant donne une liste de questions au chef du groupe pour stimuler la discussion et encourager les hypothèses.
  • Ensuite, le remue-méninge se fait en grand groupe. Chaque petit groupe présente ses idées et l'enseignant les écrit au tableau.
  • Puis, l'enseignant remet en cause les hypothèses en questionnant les étudiants pour vérifier les apprentissages.
  • Finalement, l'enseignant donne des devoirs à chacun parce que chaque étudiant est responsable de la recherche d'information pour le cours suivant. L'information recueillie pourrait être partagée au moyen d'un site Web qui permet à tout le monde d'y avoir accès et de faire des critiques.
  • Le retour sur le processus et les apprentissages
  • Après que les étudiants se sont immergés dans une situation d'APP, l'enseignant effectue un retour sur le traitement du contenu, ce qui permet aux étudiants de réfléchir sur le processus, l'organisation et l'application des apprentissages réalisés. Ce retour joue également un rôle d'intégration et de clarification. À ce moment-là, l'enseignant pourrait informer les étudiants des dernières idées dans le domaine et susciter ainsi leur intérêt. Les étudiants qui résolvent les problèmes, puis participent ensuite à une rétroaction sur le processus réussissent mieux à la longue à une tâche de résolution de problèmes que ceux qui lisent seulement un texte ou ceux qui résolvent uniquement les problèmes (Hmelo-Silver, 2004) sans participer à une rétroaction sur le processus.
Marijo Emond

Les fondements de la littératie médiatique | HabiloMédias - 1 views

  • L’éducation aux médias est le processus qui permet à des individus d'acquérir une vision critique des médias et de comprendre la nature, les techniques de production et l'influence de leurs produits et messages.
  • Nul besoin d’être expert en médias pour que l’enseignant puisse intégrer l’éducation aux médias dans sa classe…il suffit de savoir poser les bonnes questions. Par exemple:  
  • L’éducation aux médias peut devenir partie intégrante et signifiante de votre pratique dans la classe. Pour y parvenir, voici quelques suggestions :  
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    Réponse à : Qu'est-ce que l'éducation aux médias? Pistes pour intégrer la littératie médiatique dans la classe.
Nathalie Frigon

Collaboration / Coopération - Wiki Paris Descartes - 0 views

  • » (Nicolas Michinov, 2006)
  • on assiste dans cette société cognitive à un paradoxe où ce n’est pas la connaissance en elle-même qui a de la valeur, car celle-ci devient très rapidement obsolète, mais la capacité des membres d’une communauté à produire ensemble de nouvelles connaissances. Dès lors, le fait de savoir comment amener une communauté à mutualiser ses connaissances et à collaborer pour en produire de nouvelles devient stratégiquement plus important que les connaissances elles-mêmes. Autrement dit, le processus collaboratif devient plus important que le résultat de la collaboration. »
  • Web 2.0 sont apparues les interfaces qui permettent aux internautes d'interagir à la fois avec le contenu des pages mais aussi entre eux : le web est devenu interactif, communautaire et collaboratif.
  • ...57 more annotations...
  • Dans le cas d’un travail collaboratif, il n’y a pas de répartition a priori des rôles : les individus se subsument progressivement en un groupe qui devient une entité à part entière. La responsabilité est globale et collective
  • Grand dictionnaire terminologique de l’Office québécois de la langue française (2006), est collaboratif « ce qui, dans un environnement informatisé ou en ligne, vise à favoriser la collaboration entre pairs en permettant d'échanger et de partager des compétences pour mieux réussir un projet commun ».
  • Le mode collaboratif est plus difficile [que le mode coopératif] à mettre en œuvre car il implique davantage l’humain (ce qui pose souvent des problèmes d’ego), mais sa performance est sans égal : la capacité d’un groupe à valoriser son capital humain est une marque d’Intelligence Collective.» (DismoiTIC.net)
  • « L’activité est synchronisée et coordonnée de manière à construire et à maintenir une conception partagée d’un problème. » (Roschelle J. & Teasley S., 1995))
  • Objectif partagé par la communauté Interactions sociales importantes Engagement des participants Co-construction de signification partagée
  • communauté de pratique.
  • communauté de pratique .
  • communauté de pratique .
  • communauté
  • L'apprentissage collaboratif est davantage utilisable avec des publics adultes
  • travail individuel soutenu par des activités de groupe ou d’équipes
  • structure de l’activité est souple et ouverte.
  • pas répartition du travail entre ses participants.
  • travaillent ensemble à chaque étape de l’élaboration du travail
  • Il est, par ailleurs, impossible, une fois le travail réalisé, d’identifier le travail fourni par chacun
  • l’interdépendance cognitive et sociale
  • rôle actif
  • interagir avec les compétences et les connaissances des autres et stimuler le développement du raisonnement et de la pensée critique. » (Alain Derycke)
  • approche socioconstructiviste
  • relation nécessaire avec les autres apprenants
  • construit ses propres connaissances dans l'interaction sociale via les échanges, la confrontation, la négociation et le partage d'idées, où le conflit socio-cognitif joue un rôle important.
  • regard réflexif de l'apprenant sur ses propres représentations
  • cognition distribuée
  • savoir ne réside pas essentiellement dans les individus mais qu'il est plutôt distribué parmi eux
  • communauté de pratique
  • communauté de pratique
  • communauté de pratique
  • communauté
  • « Opérer ensemble 
  • deux ou plusieurs personnes travaillent conjointement dans un même objectif, chacun ayant à sa charge une part bien définie du travail à réaliser.
  • division négociée
  • tâche en actions qui seront attribuées (réparties) entre des individus qui vont agir de façon autonome
  • interactions se limitent à l’organisation, la coordination et le suivi de l’avancement
  • certaine division du travail existe dans toute collaboration mais celle-ci est spontanée, basée sur un engagement, un désir de participation libre, alors que dans la coopération, elle est demandée et raisonnée. »
  • interactions entre les élèves, la responsabilité
  • responsabilité de chacun envers les autres et le développement d'habiletés sociales
  • l’apprentissage actif des élèves regroupés en petits groupes hétérogènes
  • apprendre à coopérer et coopérer pour apprendre
  • favorise le soutien et l’entraide entre les élèves qui sont motivés par l’atteinte d’un objectif commun
  • travail à réaliser est structuré
  • participation équitable
  • rôles et les tâches qui leur sont confiés
  • chaque élève d’une équipe est responsable des savoirs qu’il met à contribution au sein de son groupe de travail
  • élèves joignent ainsi leurs idées et leurs forces pour apprendre en collaboration et réaliser l’objectif commun
  • chacun fait une partie du travail sans se préoccuper directement de la partie accomplie par les autres membres de l'équipe
  • partage ici un produit mais pas un apprentissage puisque chacun apprend à travers l'exécution de sa propre partie.
  • l’élève est responsable de sa propre production, mais il doit aussi apprendre à interagir avec les autres participants afin que le travail final soit cohérent
  • interactions coopératives sont structurées à l’avance par les agents éducatifs
  • tâche coopérative,
  • coopération entre les membres du groupe
  • formulée de manière à ce qu’un étudiant seul ne puisse pas la résoudre
  • dépendance
  •  faire travailler les apprenants en groupe suffisamment restreints pour que chacun ait la possibilité de participer à une tâche collective qui a été clairement assignée. De plus, les apprenants sont censés réaliser la tâche sans la supervision directe et immédiate de l'enseignant
  • duit.
  • processus
  • processus
  • processus
Nathalie Frigon

Describing the Habits of Mind - 1 views

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    Livre Learning and Leading with Habits of Mind
Catherine Houle

Creating a Generation of Innovators - The Learner's Way - 1 views

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    Stratégies pour favoriser la capacité à innover chez les élèves: laisser le choix à l'élève, le questionnement et le mapping des idées, la prise de risque et l'erreur, concrétiser les idées, la créativité et l'esprit critique, la collaboration, les habiletés de pensée et la métacognition, comprendre par l'utilisation du cycle de design, valoriser le processus plutôt que le produit, le modèle STEM, être en contact avec des rôles modèles et finalement l'empathie.
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