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"À Lourdes, le tabou de la formation de ceux qui ne seront plus que 6000 en 2020 est tombé. Publicité La PhytothérapieDossier FigaroPartner Découvrez le dossier 1/5 À Lourdes, les évêques ont reçu une bible toute neuve. C'est la nouvelle «Bible liturgique», texte de référence qui sera lu au cours des messes d'ici à une à deux années. Pour le commun des mortels, cette bible sera dans le commerce dès la fin du mois de novembre aux éditions Mame. Le Notre-Père change: «Ne nous soumets pas à la tentation» devient «et ne nous laisse pas entrer en tentation». Les évêques feuilletaient donc, samedi matin à Lourdes, avec délectation, la splendide édition à tirage limité qui leur avait été offerte pour l'occasion."

"L'écrivain Frédéric Boyer, traducteur et éditeur revient ici sur sa passion pour la Bible et son désir de faire entrer ses contemporains dans l'intelligence des Écritures."

"Moniale bénédictine à l'abbaye Sainte-Croix de Poitiers, Sœur Odile Adenis-Lamarre partage sa méthode pour une lecture priante de la Bible."

"La revue « Le Monde de la Bible » s'interroge sur la notion de martyre dans les grandes religions"

"La première journée diocésaine de cette année 2016/2017, a réuni prêtres, diacres et laïcs en mission ecclésiale (LEME), à la Maison St Sixte. Le Père Olivier ARTUS a brillamment répondu à la question : «Y a-t-il une pédagogie divine de la Loi dans l'Écriture ?». Il nous a montré comment entre 1893 (le Pape Léon XIII, avec l'Encyclique Providentissimus Deus) et aujourd'hui , il y a eu une révolution dans la manière de lire la Bible. Ce pape a énoncé quatre principes à tenir ensemble (le fondamentalisme étant le suicide de la pensée)"

"Au début de notre vie religieuse, on nous apprenait à appliquer des règles, et à nous soumettre aux Supérieures, notre vie était bien structurée. L'enseignement qu'on nous communiquait ne rejoignait que très peu la Bible et l'Évangile. Le monde dans lequel nous vivions était hors de nous. Le concile a apporté un souffle et une liberté dans nos congrégations avec des formations bibliques, humaines, professionnelles, des rencontres entre congrégations et une ouverture sur le monde. Á partir de là, beaucoup de choses ont changé. Pour nous, depuis plusieurs années, nous vivons dans un quartier populaire de 17000 habitants et la tour où nous sommes accueille une population très variée. Nous y avons repéré tout récemment 22 pays différents sur 73 appartements."

"Pendant quatre mois, le P. Francis Aylies, curé de Bègles, dans la banlieue de Bordeaux et bien connu dans la région pour son franc-parler chaleureux et sa créativité (c'est lui qui a lancé le concept « Une messe ailleurs », lire La Croix du 2 février 2012), a envoyé des mails au pape François. Mails restés sans réponse, mais qui témoignent du quotidien d'un « curé de quartier », de ses rencontres émouvantes ou décevantes, de sa lecture sans cesse renouvelée de la Bible, de ses espérances, notamment pendant cette année de la Miséricorde…"

"Profitant du retour sur la scène médiatique de ce sujet sans cesse réouvert, nous démarrons une série d'articles sur le mariage des prêtres (ou plutôt, soyons honnêtes, sur le célibat des prêtres) Rappelons d'abord que la question n'est pas celle du mariage des prêtres (car l'ordination fixe l'état de vie, nous y reviendrons) mais celle de l'ordination d'hommes mariés. Cette question est ouverte, le choix d'ordonner ou non des hommes mariés est un choix pastoral, c'est-à-dire un choix d'opportunité et de convenance qui revient librement au Magistère de l'Église, puisqu'en effet ni la bible, ni la théologie ne tranche de manière définitive sur cette question. Il s'agira donc pour nous de chercher à voir en quoi le célibat est (ou non) opportun pour les prêtres d'aujourd'hui, et en quoi, sans s'imposer nécessairement, il convient éminament (ou non) à leur vocation."

"Tu es collégien, lycéen ... tu te poses des questions sur ton avenir, sur un appel de Dieu, sur le sens que tu veux donner à ta vie, sur ce que veut dire « vivre une vie chrétienne » ? Le Service Diocésain des Vocations t'invite à rencontrer d'autres jeunes qui comme toi sont habités par des questions. Rejoins nous le : Samedi 20 Décembre de 14 h 30 à 17 h 00 au presbytère de Rethel - 13, rue Carnot, à Côté de l'église saint Nicolas Au programme, amitié, rencontre, partage, réflexion. Apporte ta Bible, de quoi écrire … et ta joie de vivre !"

"Si vous êtes à Fourmies, ce week-end, vous avez beaucoup de chance de les rencontrer. Ils, ce sont les six frères et sœurs de la Fraternité de Tibériade, invités par la paroisse Sainte-Claire en Avesnois. Ces religieux, d'une communauté religieuse catholique belge d'inspiration franciscaine, qui parcourent le monde, sont effectivement là durant trois jours. Des moines qui se déplacent à pied ou en autostop et qui « mendient le gîte et le couvert ». Pour rencontrer les gens. Comme le frère Bart, 37 ans. Il est entré dans la communauté il y a 15 ans déjà ; il n'avait que 22 ans. Son parcours, il le raconte en chemin, comme ce fut le cas, aux élèves de l'Institution Saint-Pierre : « Mon rêve a toujours été d'être missionnaire en Afrique. Pour aider mon prochain sur un continent qui aime le football comme moi. Je suis aujourd'hui comblé… Après des études de théologie, j'ai intégré la Fraternité de Tibériade en 2000, après avoir formulé mes trois vœux : obéissance, chasteté et pauvreté ». Il va partir en février au Congo tout comme ses semblables voyagent aux Philippines, en Lituanie, etc. « Nous ne sommes pas là pour donner un coup de Bible sur la tête mais pour parler des problèmes de notre société, avec les anciens mais aussi les jeunes », ajoute frère Bart. Et justement, qu'en pensaient-ils les jeunes élèves de l'ascétisme de la vie monacale ? « Comme on a pu les entendre, ils se demandent souvent comment peut-on choisir cette voie (ou cette voix). Je leur réponds que j'ai une vie chouette et que je suis très heureux. Certes, tout n'est pas toujours facile dans un monde où l'on se protège de tout mais vaincre ses peurs est déjà le début du bonheur »."

"Une première version du document final du synode sera présentée demain. Mgr Jean Kockerols évoque la difficulté de "trouver des conclusions qui peuvent s'appliquer à tout le monde". 25% 50% 75% 100% 0:00 19:49 Intégrer à mon site Copier ce code (Ctrl+C) pour l'intégrer dans votre page : Partager AddThis Sharing Buttons Share to TwitterShare to FacebookShare to Google+Share to Email Twitter Facebook Google+ Mail Commander sur CD "C'est évidemment un événement exceptionnel, un moment de rencontres passionnant !" Mgr Jean Kockerols participe au synode sur la jeunesse, dont une première mouture du document final sera présentée demain. Au micro de Pauline de Torsiac et Olivier Bonnel, l'évêque auxiliaire de Malines-Bruxelles pose un regard critique sur la méthode de travail employée lors de ce synode. "Au niveau de la méthode je suis un peu surpris, confie-t-il, j'éprouve un manque au niveau du dialogue et une rencontre de fond avec tous ceux qui sont présents là bas." "Un des défis du synode" est de répondre à des jeunes qui "vivent des préoccupations très différentes dans le monde entier" Synode des jeunes, RCF se mobilise - Du 3 au 28 octobre, les évêques du monde entier sont réunis à Rome en synode pour réfléchir au thème: "Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel". RCF bouleverse ses programmes pour vous faire vivre un moment historique pour l'Église. > En savoir plus La difficulté de s'adresser à tous les jeunes À une époque où les jeunes éprouvent une "difficulté" à trouver "de bons accompagnateurs" spirituels, selon les mots de Mgr Kockerols, celui-ci constate aussi la grande difficulté à apporter des réponses universelles à "la" jeunesse. Il considère même "très dangereux" d'employer le "terme générique les jeunes". On l'a vu en effet en donnant la parole aux jeunes, la plupart de ceux qui "sont en attente d'une aide très expli

"En ce temps de rentrée, je vous propose d'écouter l'éloge de la Sagesse dans ce livre de la Bible qui porte son nom. La Sagesse est une eau bienfaisante et pure qui pénètre nos âmes. Elle est ce principe divin qui s'offre à notre liberté pour conduire nos actes et nos pensées. Elle est le bon jugement, la pensée juste à laquelle peut s'ajuster notre engagement dans l'action. Mystérieuse, cachée, invisible, elle est l'énergie intelligente qui se livre par amour à tout être humain qui lui ouvre sa porte. Elle est don de Dieu, cette part de lui-même qu'il a fait entrer dans l'Univers en le créant et dont l'homme est la conscience."

"Bonjour amis du téléCaté ! En cette fête de St Joseph, voici le TéléCaté de cette semaine : L'occasion de redécouvrir comment Dieu nous appelle chacun dans notre désir profond et personnel et pour notre plus grand bonheur ! Comme ressources pédagogiques, nous avons utilisé Nathanaël de Mediaclap (module "Dieu appelle" y compris le chant) et les vidéos Croire par Bayard "Raconte-moi la Bible" (épisodes "La jeunesse de Moïse" et "la fuite du peuple")."

"Marita était nonne sur une île croate quand elle a rencontré Fani, la religieuse qui allait devenir son grand amour. "J'ai simplement écouté mon coeur", explique celle qui a depuis quitté l'Eglise catholique, tout comme son amie." [RDP du 15 octobre 2020]

"Moine bénédictin de l'abbaye d'En-Calcat, le frère David-Marc d'Hamonville a travaillé à la traduction liturgique de la Bible. Tour à tour cuisinier, économe et père abbé, redevenu simple moine, il nourrit sa méditation par l'art et une réflexion sur le vide ou le désir."

"Les 10 et 24 janvier : formation sur l'Épître aux Romains de Saint-Paul pour les prêtres et laïcs engagés des diocèses de Viviers et Valence"

"La Maison Saint-André, au cœur de Lille, est un lieu de fondation spirituelle au service du discernement des vocations. Elle accueille : L'année de préparation au séminaire, aussi appelée année propédeutique pour les diocèses de Lille, Arras et Cambrai. Cette année s'adresse à des hommes qui veulent se poser sérieusement la question d'une vocation sacerdotale. C'est à la fois un temps de discernement et d'approfondissement de la vocation et un temps de préparation en vue d'une éventuelle entrée au séminaire."

"Dans son dernier livre, Des loups déguisés en agneaux, le philosophe développe une réflexion sur les abus dans l'Église. Il revendique une approche biblique d'un sujet souvent traité sur le mode journalistique"