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"Le marché des produits artisanaux religieux gagne en notoriété depuis une dizaine d'années, notamment grâce aux grands magasins numériques. De quoi redonner un souffle aux communautés dont l'économie dépend de ces ventes."

"Eau de Mélisse des Carmes, Eau d'Émeraude des Bénédictines, Jouvence de l'Abbé Soury, célèbre veinotonique inventé par un prêtre guérisseur : la tendance « apothicaire » et le mouvement slow ont ressuscité des recettes centenaires et augmenté le potentiel hype des produits « made in monastère ». Savons naturels, eaux de fleurs distillées, alcools de plantes médicinales, pommades salvatrices (le fameux Baume du Pèlerin, que l'on peut dénicher au Comptoir des Abbayes, à Paris), cet artisanat sans artifices est en train de devenir culte. Crise de foi ou quête de sens ? Phénomène de mode ou tendance de fond ? « En pleine crise identitaire et sociétale, partout dans le monde, on revient aux sources universelles. À l'artisanat, aux communautés religieuses qui fabriquent des produits authentiques, non consuméristes, sans fausses promesses."

"Au sommet des Monts Voiron, le monastère Notre-Dame de la Gloire Dieu abrite les moniales de Bethléem. Celles-ci vivent cloitrées et font peu parler d'elles. Un film leur est consacré : "Un Amour absolu", réalisé par Stéphanie Pillonca-Kervern et sera diffusé le 19 décembre prochain sur la chaîne Arte. À ne pas manquer ! Ci-dessous la bande annonce à découvrir, ainsi que les dates d'un exposition vente de leur artisanat sur Annecy début décembre."

"Découvrez le quotidien de ceux et celles qui ont tout donné pour répondre à l'appel du Seigneur. En savoir + https://ilsontreponduoui.diocese92.fr/ Il y a un monastère au coeur des Hauts-de-Seine. Soeur Marie Madeleine, Bénédictine de Sainte-Bathilde à Vanves nous emmène au sein de la communauté, nous rappelant le centre de leur vocation : « ora et labora ». Prie et travaille, comme l'avait défini dans sa règle Saint Benoît au VIème siècle. Une vie « sous le regard de Dieu ». Vie exigeante, mais prophétique. La soeur nous rappelle que « sans la communauté je ne suis rien ». Cette communauté fait sa joie. Eucharistie, prières, psaumes, artisanat, hospitalité… Nous sentons battre l'âme de ces femmes consacrées au Seigneur, portant les prières du monde."

"Depuis 70 ans, les sœurs cisterciennes de Castagniers fabriquent artisanalement du chocolat. Noir, au lait, blanc, avec du caramel ou des amandes… Tablettes, rochers, orangettes, moulages garnis et sachets ! Un savoir-faire qui régale tout le monde. Les sœurs sont confinées, le magasin fermé, mais les commandes par Internet et livraisons sont possibles."

"L'appellation « bière trappiste » n'est pas donnée à la légère. Les moines trappistes veillent au grain sur leur précieux nectar, et ne délivrent leur label "ATP" qu'au compte-goutte. Explications avec Olivier Malcurat, fondateur du site biere-actu."

"Situé au bord de la Sarthe dans un lieu silencieux et beau, le monastère Notre-Dame de la Merci-Dieu est petit, à la taille de la communauté des soeurs cisterciennes, qui l'habitent, une dizaine de femmes. Avec cette vidéo, faisons la connaissance de soeur Annie. Elle est au monastère de la Merci-Dieu depuis 40 ans. Un atelier de tissage Pour vivre de leur travail, les soeurs ont un atelier de tissage et de confection de vêtements liturgiques. Cet atelier est très réputé dans le monde. Elles sont 5 soeurs à travailler quotidiennement dans cet atelier. Deux d'entre elles ont même été élues « Meilleur ouvrier de France » ! Une vidéo pour prendre de leurs nouvelles après cette période de confinement. Comment les soeurs ont-elles vécu le confinement et cette période de jeûne eucharistique ? Ont-elles continué à avoir des contacts avec l'extérieur (appels téléphoniques) ? Comment leurs journées ont-elles été rythmées ? Soeur Annie répond à toutes ces questions avec joie et humour dans cette vidéo. Elle conclue en partageant un message d'espoir et de confiance pour tous les chrétiens du diocèse."

"Fruit de la terre et du travail des moniales, elles sont indispensables à la vie de l'Église. Reportage dans les coulisses de leur fabrication, au carmel de Laval."

"À l'atelier de reliure de l'abbaye Saint-Louis-du-Temple, à Vauhallan (Essonne), des religieuses et une salariée assurent leur subsistance par ce travail manuel ancestral, activité monastique longtemps réputée."

"Les Cisterciennes de l'Abbaye de Rieunette viennent de mettre à jour leur site internet "Couleur Ciel". L'entreprise de vente en ligne de produits aromatiques, cosmétiques et de l'alimentaire."

"Cette année, nous avons dû imaginer une solution pour pallier l'annulation de notre exposition-vente annuelle qui contribue chaque année dans une large mesure à l'équilibre économique de notre communauté. Nous avons donc réalisé pour la remplacer un site internet :"

"Le magasin de l'abbaye de Boquen est ouvert tous les week-end avant les fêtes de Noël, de 10h à 12 h et de 15h à 17h30. L'occasion d'acheter des crèches et articles de Noël, sans oublier le jus de pommes, les confitures (gelée de coing, poires…), les savons au lait d'ânesse, les crèmes de marron, ainsi que les cartes de vœux et les sachets de lavande de Boquen."

"Les cisterciennes de l'abbaye d'Echourgnac (Dordogne) se sont associées à Antoine et Quitterie Dumont, jeunes laïcs désormais responsables de la fromagerie du monastère."

"Avec le second confinement, de nombreux commerçants se sont convertis au "click and collect". Moines et moniales ne sont pas en reste."

"Compte-tenu de la pandémie et de ses contraintes sanitaires, nos traditionnelles journées de Noël ne pourront avoir lieu ; nous le regrettons ! Pour compenser, nous vous proposons une alternative avec l'« Annonciade Drive » (c'est dans l'air du temps !)"

"Alors que l'artisanat monastique célèbre son 70e anniversaire, le modèle économique des monastères se renouvelle. Le vieillissement, la nécessaire professionnalisation et le recours à des intervenants extérieurs constituent autant de défis à relever pour les communautés."

"En 2018, quand les sœurs carmélites de l'Enfant Jésus prennent la suite des sœurs déchaussées au Carmel de Toulon, elles héritent du four à hosties et se lancent à leur tour dans la fabrication du pain d'autel. Une source de subsistance indispensable pour cette communauté apostolique, ainsi qu'une manière concrète de participer à la vie du diocèse."

"Six mois après leur installation un peu mouvementée à Solignac, les dix moines bénédictins s'attaquent à la rénovation de l'abbaye et lancent une hôtellerie."