"Les actes de prescriptions informationnels sur les réseaux socionumériques s'inscrivant dans ce que nous pourrions qualifier, en référence à B. Stiegler, «d'économie de la contribution », voient apparaitre un nouveau type d'usagers que nous nommons « agents facilitateurs ». Leurs pratiques de sélection, qualification, annotation, éditorialisation et diffusion à destination de leurs réseaux ou communautés, du contenu produit sur les web, amène à les envisager comme des substituts possibles aux moteurs de recherche et à leurs algorithmes. Entre producteurs et consommateurs de contenus numériques, ces agents-facilitateurs apparaissent comme un nouveau levier à intégrer dans un processus de veille stratégique, un filtre humain et social potentiellement porteur de signes d'alertes précoces. (...) Au final, cette recherche pose la problématique suivante: les usages des agents-facilitateurs remettent-ils en question le concept de signal faible ?" (Deschamps et Alloing)
"Les actes de prescriptions informationnels sur les réseaux socionumériques s'inscrivant dans ce que nous pourrions qualifier, en référence à B. Stiegler, «d'économie de la contribution », voient apparaitre un nouveau type d'usagers que nous nommons « agents facilitateurs ». Leurs pratiques de sélection, qualification, annotation, éditorialisation et diffusion à destination de leurs réseaux ou communautés, du contenu produit sur les web, amène à les envisager comme des substituts possibles aux moteurs de recherche et à leurs algorithmes. Entre producteurs et consommateurs de contenus numériques, ces agents-facilitateurs apparaissent comme un nouveau levier à intégrer dans un processus de veille stratégique, un filtre humain et social potentiellement porteur de signes d'alertes précoces. (...) Au final, cette recherche pose la problématique suivante: les usages des agents-facilitateurs remettent-ils en question le concept de signal faible ?" (Deschamps et Alloing)
ne plus valoriser son activité par la délimitation des usages, mais au contraire accompagner ces usages afin de mettre en valeur la capacité du professionnel de l’information à faciliter la circulation de celle-ci au sein de l’organisation.
Il n’est alors plus question de (seulement) produire des résultats, mais de produire du sens. De valoriser l’activité humaine. Même si cela est difficile dans des organisations obsédées par les chiffres, les processus et la technique, il est nécessaire de le rappeler : l’information est produite par les humains, puis consommer par eux. Il n’y a rien « d’objectif » ou de « neutre »,
Communiquer plutôt que diffuser. Communiquer, c’est mettre en commun. Diffuser, c’est choisir un format et l’envoyer tel quel à tout le monde. Et ensuite s’étonner que personne ne lit la newsletter, voire fait appel à des prestataires pour produire les mêmes résultats.
Enquête par questionnaire auprès notamment de veilleurs et décideurs
Web 2.0 tres utilisé comme source de veille (pas peur de l'infobesite)
Mail toujours tres utilisé pour diffuser l'information
Outils web 2.0 peu intégré au systeme d'information de l'organisation
“information licitement accessible mais caractérisée par des difficultés dans la connaissance de son existence ou de son accès.”
tout « document dactylographié ou imprimé, souvent à caractère provisoire, reproduit et diffusé à un nombre d’exemplaire inférieur au millier, en dehors des circuits commerciaux de l’édition et de la diffusion ».
L’information grise est une information dont le détenteur ne prend pas forcément conscience de sa valeur