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Michel Roland-Guill

Reading in a Whole New Way | 40th Anniversary | Smithsonian Magazine - 1 views

  • America was founded on the written word.
  • the Constitution, the Declaration of Independence and, indirectly, the Bible
  • But reading and writing, like all technologies, are dynamic.
  • ...28 more annotations...
  • Being able to read silently to yourself was considered an amazing talent. Writing was an even rarer skill. In 15th-century Europe only one in 20 adult males could write.
    • Michel Roland-Guill
       
      Vision technicisée et progressiste des pratiques de l'écriture, où il est assez naturel de retrouver relayé le mythe de la rareté de la lecture silencieuse dans l'Antiquité. Je crois avoir lu quelque part, et même en plusieurs endroits, que la connaissance et la pratique au moins rudimentaire de l'écriture était très répandue dans l'antiquité classique (grecque et romaine) au rebours de ce que soutient Kelly ici. Mais il s'appuie vraisemblablement sur des études sérieuses valant pour le 15e s. et dans sa vision linéaire d'un progrès fondé sur la succession des innovations techniques cela implique qu'on ne savait généralement pas écrire dans l'antiquité.Il n'est pas difficile de deviner combien une vision aussi simpliste, aussi simplement orientée de l'évolution des pratiques de la lettre est aujourd'hui, au moment où il nous faut évaluer une révolution nouvelle de ces pratiques est sinon nuisible au moins handicapante.
  • the romance novel was invented in 1740
    • Michel Roland-Guill
       
      ?? Sur quoi se base-t-il?
  • In time, the power of authors birthed the idea of authority and bred a culture of expertise. Perfection was achieved “by the book.”
  • a people of the book.
    • Michel Roland-Guill
       
      Intéressant comme est ici condensé un imaginaire américain de la lettre. A remarquer que cet attachement au livre et à la chose écrite ne se double d'aucun intellectualisme, au contraire. La situation française est bien différentes et à plusieurs égards opposée. Au point qu'on peut se demander si la crise de la culture française ne s'explique pas, en partie et à ce niveau, par une contradiction entre ses éléments structurants et ceux de la culture américaine telle qu'elle est transmise par les médias de la culture populaire, cinéma et télévision au premier chef.
  • a contemplative mind
  • The amount of time people spend reading has almost tripled since 1980
  • This new platform is very visual, and it is gradually merging words with moving images
    • Michel Roland-Guill
       
      Gros enjeu là, voir billet de F. Kaplan sur epub.
  • But it is not book reading
  • It is screen reading
  • dog-ear
  • it seemed weird five centuries ago to see someone read silently
    • Michel Roland-Guill
       
      !!! (voir Gavrilov & Burnyeat)
  • a reflex to do something
  • By 1910 three-quarters of the towns in America with more than 2,500 residents had a public library.
  • utilitarian thinking
  • We review a movie while we watch it,
  • Wikipedia
  • Propaganda is less effective in a world of screens, because while misinformation travels fast, corrections do, too.
    • Michel Roland-Guill
       
      Angélisme. Cf. article à retrouver: endogamie des échanges sur les blogues et les forums
  • Screens provoke action instead of persuasion.
  • On networked screens everything is linked to everything else.
    • Michel Roland-Guill
       
      Ici le coeur de la contradiction chez Kelly: la révolution numérique est appréhendée depuis le paradigme américain pré-révolution numérique qui oppose autorité et individualisme. Or la RN redistribue ici (peut-être plus qu'ailleurs) les cartes en contestant, en même temps que le rôle de l'autorité, l'individualisme libéral dont les historiens de la lecture ont montré qu'il s'est construit, depuis Augustin mais particulièrement à la Renaissance par le commerce singulier avec le livre.
  • In books we find a revealed truth; on the screen we assemble our own truth from pieces
    • Michel Roland-Guill
       
      Tradition vs. Individualisme.
  • the degree to which it is linked to the rest of the world.
    • Michel Roland-Guill
       
      Page Rank
  • the inner nature of things
  • informational layer
    • Michel Roland-Guill
       
      Bande de Möbius.
    • Michel Roland-Guill
       
      contradiction apparente: the inner nature = informationnal layer. cf. Derrida.
  • to “read” everything, not just text
  • Not to see our face, but our status
  • lifelogging
  • memory
  • Today some 4.5 billion digital screens illuminate our lives.
Michel Roland

Livres électroniques: quelle liseuse pour quel format? [ebook] | OnSoftware F... - 0 views

  • ePub est un format ouvert standardisé. Il a déjà été accepté par une grande partie des constructeurs, et se présente donc comme le format idéal pour vos livres numériques, car vous pourrez ainsi les lire sur de nombreux supports sans conversion. Le format en lui-même est un mini site internet (à base de XML) contenant le texte, les images, les informations de mise en page et de navigation. Seule limitation, une mise en page avancée (la bande dessinée ou les livres techniques) est difficile à mettre en place sur ce format plutôt dédié aux textes simples.
  • Attention, le Kindle d’Amazon ne supporte pas le format ePub.
  • Les liseuses modernes supportent toutes le PDF, mais les caractéristiques de son format (les données sont encapsulées, enfermées) n’offrent pas une grande flexibilité pour la lecture sur livre électronique.
  • ...2 more annotations...
  • Notre conseil: Téléchargez vos livres au format ePub, dans la mesure du possible. Ce format est le plus universel et vous pourrez ainsi le lire sur presque n’importe quel support.
  • Je convertis mes ePub en Mobi via Calibre (Mac ou PC), qui fait très bien ce travail. Attention, les livres protégés par DRM ne pourront pas tous être convertis…
Michel Roland

Lalibre.be - Facebook nuit à la réussite scolaire! - 0 views

  • L'étude remet en question la croyance que les cerveaux des jeunes seraient capables de rester concentrés tout en effectuant plusieurs tâches en même temps sur l'ordinateur.
Michel Roland

Learning centres: un rapport et une tentative de mise en contexte « pintiniblog - 0 views

  • D’après l’ISO: Zone de la bibliothèque dédiée aux objectifs d’apprentissage des connaissances. Elle intègre le plus souvent la bibliothèque et les services liés aux nouvelles technologies, avec dans la plupart des cas, un réseau sans fil, des équipements multimédia et des services d’aide aux utilisateurs par des bibliothécaires ou des spécialistes des technologies. Un Learning centre peut être, selon les cas, un équipement distinct, à l’intérieur ou à l’extérieur de la bibliothèque, ou une partie intégrante de la bibliothèque.
  • On parle aussi de « hub », dans le sens où ces centres servent souvent de porte d’entrée vers d’autres lieux du campus.
  • En matière de services: offre documentaire à la fois imprimée et électronique, offre documentaire abondante et accessible à distance, équipements informatiques nombreux (le besoin d’équipement collectif subsiste), équipements audiovisuels (au service de la formation) + édition vidéo, caméras numériques, organisation de séances de formation, learning café (computers, comfort, cappuccinos), services administratifs et sociaux (en Grande Bretagne), conservation et accès aux collections à long terme, fonctions d’édition des presses universitaires, valorisation des données scientifiques.
  • ...3 more annotations...
  • L’implication durable des enseignants est une question majeure. Le partenariat entre les enseignants et les bibliothécaires est une des clés de la réussite du projet.
  • les rapports entre enseignants et bibliothécaires évoluent, grâce à ces centres: meilleure reconnaissance par les académiques du travail fourni par les bibliothécaires.
  • Une petite précision concernant la définition de l’ISO. Lors de la journée d’étude de l’ABF Paris « A l’heure du numérique, évolution des publics et des services », Yves Alix a pointé la contradiction de cette définition : en effet, on y lit que le learning centre est une « zone de la bibliothèque » puis plus loin que cette zone « intègre le plus souvent la bibliothèque » ! Suite à cette remarque, Suzanne Jouguelet a précisé que la définition était encore en cours d’élaboration et qu’elle évoluerait sans doute.
Michel Roland-Guill

10 Reading Revolutions Before E-Books - Science and Tech - The Atlantic - 0 views

  • 1. The phrase "reading revolution" was probably coined by German historian Rolf Engelsing. He certainly made it popular. Engelsing was trying to describe something he saw in the 18th century: a shift from "intensive" reading and re-reading of very few texts to "extensive" reading of many, often only once
  • other historians quickly found counterexamples of extensive premodern reading (Cicero and his letters) and intensive reading today
  • 2. Outside of scholarly circles, the top candidate is usually the better-known Print Revolution, usually associated with Johannes Gutenberg, who helped introduce movable type to Europe. Now, as Andrew Pettegree's new history The Book in the Renaissance shows, the early years of print were much messier than advertised: no one knew quite what to do with this technology, especially how to make money off of it.
  • ...10 more annotations...
  • In Elizabeth Eisenstein's account in The Printing Revolution in Early Modern Europe, print changed readers' expectations of texts, especially their universality and fidelity, since everyone everywhere was (in theory) reading an exact copy of an identical text. This assumption proved particularly instrumental in the subsequent Scientific Revolution. Benedict Anderson thought print helped readers of a common language in a highly fragmented Europe think of themselves as an "imagined community," crucial to forming the modern nation-state. Marshall McLuhan and Walter Ong thought print helped further reorient language from sound to vision, paving the way for our screen-fixated present. This is a reorientation that, as Ong argued extensively, begins with writing itself.
  • 3. There are many crucial developments in the very early history of writing, but for the sake of time/space (writing being the primary technology that allows us to think of these interchangeably), let's cut to the emergence of the alphabet. From bureaucratic cuneiform to monumental hieroglyphs, early writing systems were mostly divorced from speech. Scripts where symbols matched consonants or syllables allowed you to exchange symbols for sounds. An abjad, like Phoenician, Hebrew, or Arabic, was a script for merchants, not scribes. This took on an additional order of magnitude with the emergence of the first proper alphabet, Greek. The Greeks took the Phoenician letters and 1) added symbols for vowels; 2) completely abstracted the names and images of the letters from words in the language.
  • As Ong notes, unlike writing or agriculture, the alphabet was only invented once - every single alphabet and abjad can trace itself back to the same Semitic roots.
  • 4. Now, the other major pre-Gutenberg "revolution" in the history of the book (and by now you may be getting the hint that not one of these revolutions were total coups that changed everything everywhere in an instant, leaving nothing of the old order behind) was in the shape, size, and design of the book itself. The shift from the rolled scroll to the folded codex as the dominant form of the book radically affected readers' conceptions not only of books, but of what kinds of reading were possible.
  • 5. The shift from scroll to codex was in turn enabled by a shift from papyrus to parchment and then paper
  • 6. This is especially true for arguably the most important reading revolution -- the industrial revolution. Gigantic presses powered by steam (and later, electric power) could crank out books and newspapers and advertisements that strained the always-fickle paper supply. Eventually, papermakers were able to invent a variety of mechanical and chemical techniques engineer decent-quality paper out of pulped wood, a supply that (unlike cloth rags) appeared limitless.
  • 7 & 8. If those analogies made sense to you, it's because reading has transformed even further in the electronic age. Entire new families of audiovisual media, transmitted wirelessly or on discs, cylinders, reels, and cassettes, became more essential to culture even as text continued to proliferate exponentially. The development and expansion of computing, too, introduced a few powerful wrinkles, like the conversion of alphanumeric text to binary languages, text written to be "read" by computers rather than humans, and greatly increasing the amount of reading and writing we perform on screens.
  • 9. There are two other reading revolutions worth mentioning, broad tendencies even less fixed to a particular historical moment. Communications legend Harold Innis suggested that the history of culture itself was characterized by a balance between media that persisted in time - think stone inscriptions and heavy parchment books -- and those offering the greatest portability across space, like paper, radio, and television.
  • modernity, for good or ill, had tipped the balance toward the ephemeral-but-portable, what Engelsing would call extensive rather than intensive media.
  • 10. My favorite reading revolution, though, isn't very famous, even though it was conceived by the very famous media theorist Walter Benjamin. It's the shift from vertical to horizontal writing, and then back to vertical again. He lays it out in his 1928 book One-Way Street: If centuries ago [writing] began gradually to lie down, passing from the upright inscription to the manuscript resting on sloping desks before finally taking itself to bed in the printed book, it now begins just as slowly to rise again from the ground. The newspaper is read more in the vertical than in the horizontal plane, while film and advertisements force the printed word entirely into the dictatorial perpendicular.
Michel Roland-Guill

A Look at the Reading Habits of E-Reader Owners - WSJ.com - 0 views

  • A study of 1,200 e-reader owners by Marketing and Research Resources Inc. found that 40% said they now read more than they did with print books. Of those surveyed, 58% said they read about the same as before while 2% said they read less than before.
  • Some 11 million Americans are expected to own at least one digital reading gadget by the end of September, estimates Forrester Research. U.S. e-book sales grew 183% in the first half of this year compared with the year-earlier period, according to the Association of American Publishers.
  • Amazon, the biggest seller of e-books, says its customers buy 3.3 times as many books after buying a Kindle
  • ...11 more annotations...
  • because e-book gadgets are portable, people report they're reading more and at times when a book isn't normally an option: on a smartphone in the doctor's waiting room; through a Ziploc-bag-clad Kindle in a hot tub, or on a treadmill with a Sony Reader's fonts set to jumbo.
  • Mystery and thriller author Michael Connelly says he has about 30 e-books on his Kindle, Sony Reader and iPad
  • Compared with print, iPad readers were 6.2% slower and Kindle readers were 10.7% slower, though the difference between the iPad and Kindle results wasn't statistically significant
  • "Both devices give you a more relaxed feeling as opposed to a computer,"
  • In creating the Kindle, Jeff Bezos, Amazon's chief executive, says he set out to develop technology that could encourage long-form reading, instead of just snippets.
  • "A nightmare scenario for me would be if this device would ever beep at me while I'm reading."
  • men are bigger consumers of e-books than women by a narrow margin. Among e-book buyers, 52% were men compared with 48% for women—a reversal of print books, where women buy more. E-reader users also say that 52% of their e-books were ones they purchased, while 48% of their e-books were free because they were sample giveaways or out-of-copyright.
  • 66% of libraries offered e-book loans, up from just 38% in 2005.
  • Pages may be antiquated, but they're very helpful for making sure reading-club participants or students in a classroom are all on the same page. No page numbers also means there's no skipping ahead to sneak a peek at a page near the end of a book. Most e-readers have tried to replace page numbers by showing the percentage of the book read.
  • With an e-reader, readers can hold and turn pages with just one hand.
  • work in bed even when the lights are off
Michel Roland

Enquête sur les pratiques documentaires des étudiants, chercheurs et enseigna... - 0 views

    • Michel Roland
       
      il apparaît que 37% seulement de l'ensemble des étudiants (53% en L1) ont reçu, à Jussieu, une formation à la recherche documentaire alors que 80% ont des travaux à faire qui font appel à des recherches documentaires évaluées dans le cadre de leur formation. Par ailleurs, ils ne sont que 12% à juger ces formations très utiles et un tiers seulement sont demandeurs de formations de perfectionnement. Enfin, plus de 80% des enseignants de Jussieu considèrent que leurs étudiants ont reçu une formation insuffisante en la matière. Si l'on souligne ce constat, c'est qu'il est préjudiciable à la formation des étudiants et à leur capacité à s'insérer dans la recherche. Cette situation n'est d'ailleurs pas propre aux étudiants en sciences, mais elle est peu évoquée en France, alors qu'il s'agit d'une question jugée préoccupante ailleurs (par exemple au Canada). Ce déficit de compétences dans la maîtrise des outils de la recherche documentaire se répercute, manifestement, sur le degré de connaissance des bases d'informations scientifiques. La moitié seulement des étudiants connaissent des noms de sites de recherche utiles à leurs études : ne sont cités par plus de 10% des étudiants que Scholar Google, le SUDOC (système universitaire de documentation) et Web of Science.
    • Michel Roland
       
      Il apparaît des différences très marquées entre les pratiques des étudiants qui utilisent la BIUSJ comme espace de consultation d'ouvrages et comme lieu de travail, et celles des enseignants et chercheurs qui sont principalement intéressés par l'emprunt d'ouvrages (plutôt les enseignants) et de revues (plutôt les chercheurs).
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