Pour l'Organisation Internationale du Travail, faire travailler les plus jeunes, c'est les priver de leur enfance. Tous les intéressés ne sont pas de cet avis. Des « syndicats d'enfants » défendent le droit à un travail digne et valorisant.
Ex. d'un enfant au Pérou qui aide sa mère à vendre des produits dans le magasin familial.