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"En ce week-end du 14 Septembre, les responsables du Secours Catholique des trois diocèses (Martinique, Guadeloupe et Guyane) avec le délégué outre-mer venu de Paris se réunissent à Pointe à Pitre pour une réflexion sur leurs actions au service des plus pauvres. "

"Touchés avec plusieurs semaines de décalage par l'épidémie, les territoires ultramarins souffrent. Il devient parfois difficile de s'y nourrir et la situation sociale est très tendue. Alors que les mesures drastiques de confinement - voire de couvre-feu (Mayotte, Guadeloupe, Martinique, Guyane et Polynésie) - ont un impact énorme sur l'économie, les aides en la matière annoncées par le gouvernement n'ont, pour l'heure, pas été revues à la hausse pour l'outre-mer. Pourtant, il y a urgence..." [RDP du 23 avril 2020]

"Aidons et prions pour les populations éprouvées des Philippines Depuis quelques jours, les images impressionnantes nous parviennent des îles Philippines, pays ravagé par le typhon Haiyan. Comme après le tsunami en Asie de 2005 et le tremblement de terre à Haïti le 12 Janvier 2010, le monde entier compatit en pensant à ces milliers de morts et à ces populations affamées et sans abri."

"Ce jeune Breton fait la Route du Rhum comme ambassadeur de la Fondation Saint-Jean-de-Dieu. Où peut-il bien être à l'heure qu'il est ? Quand vous lirez ces lignes, Antoine Michel tirera des lignes. Et des bords. Il sera dans les vagues mais pas dans le vague : on ne rallie pas Saint-Malo à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) en faisant le pitre ou en rêvant. Où se niche-t-il donc, une semaine après avoir largué les amarres, ce 2 novembre ? À vue de nez, de sextant, et surtout d'ordinateur, « je devrais être entre les Açores et le Portugal », estimait-il quand nous l'avons visité à quai, avant son départ dans la Route du Rhum."

"Monseigneur Jean-Yves RIOCREUX, évêque de Basse-Terre et Pointe-à-Pitre en Guadeloupe, transmet au nom des fidèles de son diocèse, et plus particulièrement de ceux des îles de Saint Martin et Saint Barthélémy, ses plus vifs remerciements pour l'aide de 3 millions de francs envoyée suite au passage du cyclone Irma."

En 2019, 232 200 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été enregistrées en France, dont 217 500 concernent des femmes résidant en métropole. Le taux de recours est à son niveau le plus élevé depuis 1990 et atteint 15,6 IVG pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans en métropole et 28,2 dans les départements et régions d'outre-mer (DROM). Ce sont les jeunes femmes de 20 à 29 ans qui restent les plus concernées, leur taux de recours étant de 27,9 IVG pour 1 000 femmes en France entière. Les écarts régionaux perdurent, les taux de recours allant du simple au triple selon les régions. En métropole, ils varient de 11,8 IVG pour 1 000 femmes en Pays de la Loire à 22,9 IVG en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Plus élevés dans les DROM, ils dépassent 39 pour 1 000 femmes en Guadeloupe et en Guyane. 61 500 IVG ont été réalisées hors d'une structure hospitalière, soit 25,4 % du total des IVG en métropole et 41,6 % dans les DROM. À l'hôpital, la part des IVG instrumentales continue de décroître : elle est de 41 %, soit 30 % du total des IVG. Pour la première fois, les données sur les IVG ont été appariées avec des données fiscales pour l'année 2016. Elles montrent une corrélation nette entre niveau de vie et IVG ; les femmes les plus précaires y recourent sensiblement plus que les plus aisées.

"Les fidèles de la paroisse du Sacré-Cœur sont unanimes : nous avons vécu une journée qui restera dans les cœurs et dans les esprits. Et comme disait le curé ce n'est que le commencement."

"Mgr Macaire a donc décidé, avec le conseil épiscopal, de destiner l'effort et les quêtes de Carême, qui auront lieu dans toutes les paroisses du diocèse, à la construction de l'église saint Joseph de Petit-Boucan en Haïti."