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lucky semiosis

Le jeu de l'intelligence collective - Cairn.info - 0 views

  • Les processus de mutation, reproduction et sélection d’idées, comme l’influence qu’ils ont en retour sur les populations qui les abritent, obéissent évidemment à des rythmes et à des durées multiples et complexes. Ils sont également très dépendants des contextes historiques et géographiques.
    • lucky semiosis
       
      comment représenter ces évolutions ?
  • Une idée n’est pas bonne ou mauvais « en elle-même ». Mais dans les circonstances où elle intervient, elle favorise ou défavorise la culture qui l’abrite en fonction de la situation particulière d’un système écologique complexe et ultrasensible.
  • cultiver délibérément les écosystèmes d’idées de telle sorte qu’ils évoluent dans le sens d’un accroissement de l’intelligence collective, et donc de la santé, de la prospérité économique et de la richesse culturelle des communautés qui les soignent, les élèvent et les sélectionnent
    • lucky semiosis
       
      il faut cultiver notre jardin
  • ...20 more annotations...
  • moins coûteuse pour les populations humaines
  • défi de la gestion délibérée des connaissances et de leur évolution
    • lucky semiosis
       
      attention à la surproduction ! y-a-t-il une culture bio de l'esprit ? la sagesse des idiots ?
  • une démarche délibérée d’intelligence collective consiste, pour une communauté, à « cultiver » de manière optimale l’écologie d’idées avec laquelle elle vit en symbiose et à orienter judicieusement son évolution
    • lucky semiosis
       
      comment mieux parler du jardinnage d'information
  • les œuvres dont la matière même est numérique (musique, images, textes, mondes simulés…) sont en principe virtuellement omniprésentes sur Internet
  • D’une part, la circulation des nouvelles idées est beaucoup plus rapide ; d’autre part, leur évaluation a posteriori par la citation, le commentaire et la référence se fait également plus vite.
  • implémenté sous forme d’un logiciel de « jeu » à sources ouvertes par un réseau international de chercheurs
  • Pour faire de l’intelligence collective un bon objet de connaissance, il semble utile de la rendre visible par des images symboliques.
  • C’est donc tout naturellement que l’on doit envisager la conception de logiciels calculant – à partir de flux de données empiriques provenant des communautés réelles – des représentations visuelles de l’intelligence collective, de ses conditions de développement et de son environnement.
    • lucky semiosis
       
      oui mais ce n'est pas une question d'architecture (cf; ci-dessus) mais de jardinnage !
  • paysage de problèmes
  • La construction et la mise à disposition gratuite sur Internet du JIC veut contribuer à une meilleure « connaissance de soi » des communautés qui désirent s’engager dans l’aventure de l’autotransformation cognitive.
  • un instrument de simulation des écologies d’idées (ou des économies cognitives)
    • lucky semiosis
       
      on y'est !
  • Cette dimension du modèle de l’intelligence collective peut être considérée comme une proposition de cartographie rationnelle de l’espace sémantique.
  • ces principes de cartographie ne peuvent être que conventionnels et non pas absolus
  • la syntaxe du jeu de l’intelligence collective n’est pas complètement indépendante du sens des symboles qu’elle régit, ni des actes accomplis en contexte au moyen de ces symboles : au contraire, elle établit l’interface entre ces deux domaines.
  • La syntaxe du jeu concerne en effet l’algorithme associé à chaque idéogramme, algorithme qui spécifie ses interactions avec les autres idéogrammes et qui exécute effectivement sur eux des opérations analogues à celles que les idées qu’il représente exerceraient sur leurs cibles dans de véritables écosystèmes d’idées.
    • lucky semiosis
       
      la garaine des agents...
  • Si certains pôles sont très spécialisés ou d’autres peu développés, une bonne santé de l’intelligence collective exige que ceci soit compensé par des échanges avec d’autres communautés, de telle sorte qu’aucun des pôles ne se trouve à court de ressources.
  • La fonction de représentation est portée par le signifiant pour la linguistique, les scolastiques médiévaux parlaient de vox tandis que pour C. S. Pierce, il s’agissait de la fondation du signe. Dans mon propre vocabulaire théorique, j’appelle le support de la représentation un « signe » (représenté par un pi dans le schéma ci-dessous).La fonction de référence est portée par le référent (c’est-à-dire la chose désignée par le signe) pour la linguistique, les scolastiques appelaient le référent res tandis que C. S. Pierce l’appelait objet. Ici, j’appellerai « chose » le support de la référence (représenté par un cube dans le schéma ci-dessous).La fonction de conception, finalement, est portée par le signifié pour la linguistique, un signifié que les scolastiques appelaient conceptus et C. S. Pierce interprétant (afin de bien marquer l’opération active d’interprétation qui consiste à relier un signe à d’autres signes et à un référent). Pour ma part, je nomme ce troisième terme « être » (représenté par un bonhomme dans le schéma ci-dessous) car un esprit quelconque doit relier le signe à la chose ; sinon, aucune signification n’a lieu.
  • Aucun archétype n’est un principe absolu et ils doivent coopérer et s’impliquer réciproquement pour permettre le déploiement de l’intelligence collective.
  • fonction d’alimentation (l’énergie cognitive pourrait se mesurer en « quantité d’attention »);fonction de reproduction (réplication et mutation des représentations et des idées);fonction de communication (établissement et entretien des liens entre idées).
    • lucky semiosis
       
      les idées sont en vie !
  • Notre Jeu utilise une méthode de cartographie sémantique propre à situer les idées et connaissances sur un espace anthropologique universel.
lucky semiosis

Compte-rendu de Mathématiques et sciences de la nature ; la singularité physi... - 0 views

  • On voit donc que l'extension du cadre épistémologique mathématico-physique à la biologie n'est pas simplement un exercice d'école de la part des deux auteurs : il relève bien d'une nécessité propre à l'évolution des sciences de la nature et à leurs problèmes épistémologiques internes, en particulier celui de l'articulation problématique du déterminisme prédictif et du déterminisme non-prédictif auquel il faut faire appel pour rendre compte de l'idée de forme.
    • lucky semiosis
       
      cette même idée est aussi valide pour l'extension au science de l'information et permet une boucle méthodique : math -> physique -> bio -> info -> math ???
  • En termes de diagnostic tout d'abord, c'est bien sur le terrain de la biologie que se situe aujourd'hui la forme la plus aigue de cette incompatibilité puisque les deux points de vue y sont appliqués aux mêmes objets : tout ce qui est susceptible de s'apparenter à du codage dans le vivant relevant du déterminisme prédictif d'une part et tout ce qui a trait au développement environnemental des formes vivantes relevant déterminisme non-prédictif de l'autre.
    • lucky semiosis
       
      d'où l'intêret du jardin pour mettre en jeux cette relation paradoxale
  • L'articulation entre l'espace-temps continu du repérage géométrique externe et les variations énergétiques discrètes dépendant du système de coordonnées interne pose problème, comme en témoignent les effets de non-localité des particules quantiques identifiées à des champs de matière, effets qui défient complètement l'intuition. Le problème vient de ce que les mesures des évolutions physiques sont explicitées, de façon classique, par des nombres réels et que les évolutions sont bien, de ce fait, localement déterminées mais que ce sont des nombres complexes qui gouvernent les probabilités associées aux états quantiques discrets, et qui, de ce fait, ne se raccordent pas aux mesures continues des évolutions locales dans l'espace-temps puisque les champs de matière ne s'y réduisent pas à des singularités.
  • ...17 more annotations...
  • La fonction de régulation engage un temps de type itératif qui est celui des horloges internes propres à un individu, une espèce ou même un phylum. Il s'agit des cycles métaboliques, des battements cardiaques, des cycles de respiration, des durées de gestation et même de la durée de vie à travers tout le règne animal, qui semblent obéir à une loi d'échelle dans laquelle la durée d'un cycle se calcule en puissance ¼ de la masse de l'organisme considéré.
    • lucky semiosis
       
      constante naturelle pour un cycle vital
  • La différence capitale qui se fait jour entre la conception physique et la conception biologique du temps est donc que, dans le cas de la physique, la situation présente et future d'un système dépend exclusivement de la situation passée, et ce, même dans le cas des processus irréversibles, alors que, dans le cas biologique, intervient un tout autre régime temporel qui, loin de s'écouler selon une direction, semble plutôt actualiser des compossibles : c'est dans cette mesure que le temps est bien un observable, surplombant en quelque sorte toute transformation, qu'elle soit passée, présente ou à venir et non pas un simple paramètre qui rendrait compte d'un déroulement linéaire. Cette conception du temps permet de rendre explicite une dimension capitale de l'organisation propre au vivant : le champ des forces qui rend compte de l'apparition de formes vivantes n'est pas donné mais il est lui-même en voie d'auto-constitution.
  • il est par exemple possible de reproduire physiquement dans un champ magnétique au moyen de supraconducteurs sur un treillis l'arrangement spatial des feuilles sur la tige des plantes - selon la suite de Fibonacci, comme le veut la description phyllotaxique standard -, mais on ne donne encore, ce faisant, aucune raison de la dynamique évolutive qui a présidé à sa constitution.
  • D'une part, un argument empirique : encoder en une suite binaire la structure tridimensionnelle de toutes les protéines échangées dans les cascades post-synaptiques ou les flux biochimiques dans le système nerveux ou bien encore les déplacements de 1015 synapses dans le cerveau n'a proprement aucun sens informatique, compte tenu du nombre d'événements en jeu et sans même mentionner le problème physique de la dynamique évolutive des formes évoqué à l'instant. D'autre part, un argument physique : si le codage binaire doit aller jusqu'au niveau micro-physique, alors le niveau supposé ultime est celui de la mécanique quantique. Mais dans ce cas, on doit quitter le domaine du déterminisme prédictif et on perd, du même coup, tout le bénéfice d'une stratégie réductionniste qui fait de la détermination prédictive son idéal épistémologique.
    • lucky semiosis
       
      comment expliquer plus clairement le leurre de l'intelligence artificielle !!!
  • c'est la dimension topologique de l'élémentaire qui doit orienter la recherche des principes transcendantaux rendant compte de l'espace-temps propre au vivant.
  • S'il y a une leçon sur l'espace et le temps que les sciences de la nature contemporaines peuvent nous apprendre, c'est bien la modernité des recherches finales du Kant de l'Opus posthumum (1804) qui retrouvait l'idée leibnizienne selon laquelle l'espace et le temps ne s'opposent pas, respectivement, comme les formes du sens externe et du sens interne mais que le partage doit dorénavant être conçu autrement : l'espace et le temps possèdent en eux-mêmes des formes intrinsèques, ce qui implique de concevoir le rapport externe / interne au sein même de l'objet, le sens externe régissant les relations entre objets et le sens interne les conditions de possibilité de l'individuation de l'objet.
  • épistémologiquement, le renouvellement de la distinction entre sens interne et sens externe fait que l'espace-temps n'apparaît plus sous l'aspect d'une intuition homogène propre aux conditions de possibilité de la détermination de l'objet en général mais qu'il relève lui-même d'une construction, variable selon le type d'outils théoriques sollicités.
  • un premier groupe d'invariants biologiques composé de deux types apparaît : analogique quand des organes différents convergent par pression de sélection vers des formes semblables ayant des fonctions identiques et homologique quand un même organe évolue dans des formes différentes mais dont l'origine commune reste pourtant reconnaissable.
  • les auteurs caractérisent tout organisme vivant à partir de quatre points de vue : le point de vue topologique fondé sur la distinction entre intérieur et extérieur ; le point de vue énergétique fondé sur la notion de métabolisme ; le point de vue informationnel fondé sur la notion de patrimoine génétique ; le point de vue que l'on pourrait qualifier d'aptatif-adaptatif fondé sur la possibilité d'une transmission de ce patrimoine tout en restant doté d'une aptitude à l'évolution.
  • l'idée de patrimoine informationnel ne se retrouve évidemment pas en physique
  • Le pivot de l'arithmétisation prédictible du monde repose donc sur l'idée que l'effectivité du calcul au niveau informatique correspond à la matérialité des processus présents dans la réalité physique.
  • Et si l'on s'en tient, dans la mesure des conditions initiales, à des valeurs exactes réitérables parce que c'est ce qu'impose la discrétisation arithmétique propre à l'informatique, alors on assure une trop grande stabilité de l'évolution des systèmes physiques et on perd radicalement en intelligibilité dans la description de certains phénomènes critiques qui deviennent proprement invisibles  : qu'on songe aux orbites trop régulières du système solaire reconstruit informatiquement ou même aux oscillations pour toujours identiques d'un double pendule, à partir de conditions initiales à jamais inchangées, alors qu'il s'agit en réalité d'un système chaotique.
  • Le rôle de l'informatique et des mathématiques discrètes qui en constituent l'ossature est donc bien de simuler des phénomènes physiques mais elle ne peut jouer de rôle constituant, au sens que ce terme prend en physique, dans la mesure où l'informatique ne rend pas intégralement raison des différents régimes de causalité propres à la physique.
  • Les auteurs proposent alors, pour la rendre intelligible, une schématisation dynamique composée de trois types d'éléments : des domaines-sources, qui représentent les organes mobilisables en vue d'un but ; des domaines-cibles qui sont les buts à remplir et des flèches qui représentent les modes de fonctionnement des organes en vue des buts assignés.
    • lucky semiosis
       
      on retrouve les trois niveaux spinozistes ?
  • Le schéma général topologico-métrique décrit un ensemble-cible composé de domaines-cibles, tous atteints par une flèche au moins, et un ensemble-source composé de domaines-sources d'où partent au moins une flèche vers un ou plusieurs domaines-cibles (le terme d'« ensemble » n'a pas ici de signification technique pas plus que celui de « flèche », qui ne représente pas une fonction au sens mathématique du terme). Plusieurs domaines-sources peuvent contribuer à un même domaine-cible au moyen de flèches assurant des transferts ; par exemple, les deux métabolismes, oxygène et glucose, assurent la régulation du tissu musculaire du cœur par des moyens de transport différenciés, plus important dans le cas du transfert d'oxygène que dans celui du glucose (outre le nombre et la direction des flèches, leur épaisseur peut donc varier pour un même domaine-cible). Un même domaine-source peut aussi contribuer à plusieurs domaines-cibles, comme dans le cas des cellules-souches et plus généralement, dans tous les cas où des potentialités vont finir par s'exprimer au cours du développement.
    • lucky semiosis
       
      la représentation allégorique de ce schéma semble correspondre à une cardinalité naturaliste...
  • La notion de finalité contingente peut alors être représentée comme une structure abstraite, composée d'un triplet (domaines-source, flèches, domaines-cible), munie d'une mesure indexée sur les nombres réels (rendant compte de l'épaisseur relative des flèches) et assurant une stabilité structurelle des domaines-cible (c'est-à-dire pour lesquels l'épaisseur des flèches est non nulle). Le schéma peut alors servir à décrire les grands processus dynamiques du vivant, en particulier le régime de « développement » et le régime « stationnaire » : le début du développement se caractérise par la prévalence des flèches partant d'un domaine-source vers plusieurs domaines-cible qu'elles contribuent à créer (comme dans le cas de la différenciation des tissus, ou des systèmes anatomique et physiologique) ; ces flèches maigrissent au fur et à mesure du développement tandis que commencent à prendre de l'importance les flèches partant de plusieurs domaines-source pour aboutir à un domaine-cible (établissement des fonctions). Une fois la maturité atteinte, c'est-à-dire une fois une topologie stabilisée, le vieillissement se manifeste de façon métrique par la variation de l'épaisseur des flèches. On remarque alors que les flux allant dans le sens source-cible ont principalement un caractère énergétique (transferts de matière ou d'énergie), tandis que les flux allant dans le sens cible-source ont un caractère d'information (gradients, différence de pression) rétroagissant sur la source, la direction des flèches permettant de représenter cette différence de sens.
    • lucky semiosis
       
      voilà une belle sémantisation des principes de croissance de l'agent allégorique
  • Ces propositions relèvent de la science en train de se faire et elles seront, en tant que telles, soumises à discussion, réélaboration et critique, comme toutes les propositions conceptuelles nouvelles dans le cadre de l'élaboration scientifique. Sans préjuger de leur destin qui appartient à la communauté en question, ce travail de commentaire a eu pour but de participer à leur mise en circulation.
    • lucky semiosis
       
      faut-il parler d'une science allégorique ?
lucky semiosis

Raisonner sans principes logiques ? - 0 views

  • a notion d'histoire causale
    • lucky semiosis
       
      réintroduction du tiers ?
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Sortir de Babel : pour une science citoyenne - AgoraVox le média citoyen - 0 views

  • Je tenterai à cette occasion d’esquisser le principe d’un « jardin d’idées  », sorte de « laboratoire citoyen » dans lequel les idées pourraient se développer et fructifier grâce à l’intelligence collective du web 2.0.
    • lucky semiosis
       
      oui c'est une bonne idée ;-)
  • Autrement dit, il nous faut une conception réduite au minimum. Idéalement il faudrait n’avoir à penser qu’avec une seule notion qui soit... : 1. suffisamment simple pour être d’emblée maîtrisée par tous, 2. suffisamment connue et reconnue pour que chacun s’autorise à s’en saisir, à l’adopter, en étant sûr de sa valeur d’échange, 3. suffisamment efficace pour mettre instantanément en réussite et redonner le plaisir lumineux de comprendre et l’envie d’explorer.
lucky semiosis

Google XXL: Google SearchWiki - 0 views

  • Promote : lors d'une prochaine recherche sur cette même requête, le lien que vous avez promu sera placé en tête des résultats.Remove : à l'inverse, quand vous saisirez la même requête, le lien que vous aurez supprimé ne sera plus visible.
    • lucky semiosis
       
      même principe que le jardinage sémantique : je garde ou je supprime
lucky semiosis

Prospective 2.0 ; living innovation ; "Le présent du futur" - Interview - 0 views

  • Les algorithmes inductifs reposent sur des principes de généralisation qui permettent d’essayer des traitements sur des données qui n’étaient pas prévues pour cela, en élargissant de façon arbitraire leur champ d’application.
    • lucky semiosis
       
      celà remet-il en cause le A et le B de la sémiologie graphique de Bertin ?
  • De longue date les raisonnements inductifs ont été décriés en raison des risques d’erreurs qu’ils génèrent.
  • Une machine inductive est assimilable à un organisme vivant qui se charge d’un passé, intègre des nouvelles notions, les applique parfois de façon abusive, commet des erreurs et les corrige.
    • lucky semiosis
       
      comme une plante qui trace son chemin...
lucky semiosis

John Libbey Eurotext : Éditions médicales et scientifiques France : revues, m... - 0 views

  • Nous défendons l’idée que le but principal de la modélisation n’est pas de mimer la réalité mais d’essayer de la comprendre.
    • lucky semiosis
       
      oui, générer un potentiel de connaissance...
lucky semiosis

Calenda - Analyses et structuration de données historiques - 0 views

  • Marie Cottrell (U-Paris1, UFR Mathématiques et Informatique), Les cartes de Kohonen : principes et usage en sciences sociales
    • lucky semiosis
       
      qu'est-ce que c'est ?
lucky semiosis

WolframAlpha : Une nouvelle sorte de science pour une nouvelle sorte de moteur de reche... - 0 views

  • ce principe d’équivalence entre les programmes ouvre la porte à une méthodologie originale. La nouvelle méthode scientifique s’apparente à une zoologie
    • lucky semiosis
       
      qui tend vers la programmation d'agent ontologique évoluant dans un écosystème d'information
  • Il s’agirait donc d’une espèce de “lit de Procuste”, c’est-à-dire une tentative de réduire l’ensemble à un seul modèle
  • leur méthodologie se rapproche de la scolastique médiévale, avec toutes ses complexes catégories
  • ...1 more annotation...
  • S’il lui était possible de les inventer à la volée ? De faire de la science à la volée ?
lucky semiosis

Institut National d'Histoire de l'Art - 0 views

  • 2509 X 3089 px     [L'arbre] Auteur(s) principal(aux) : Redon, Odilon (1840-1916) Titre : [L'arbre] Provenance : Cote de l'original : EM REDON 33 Lieu de publication : [S.l.] Editeur : [s.n.] Localisation : Bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art. Collections Doucet Cote ou inventaire : NUM Mfilm 347 (14, 358)
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      illustration
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Technologie et anthropologie - 0 views

  • il ne fait aucun cas des travaux de Leroi-Gourhan qui montrent la possibilité d'étendre aux objets fabriqués par les hommes les méthodes et les principes utilisés pour décrire les êtres vivants. Comme si la biologie était seulement affaire de code génétique et de traitement de l'information par les neurones, alors qu'elle est surtout affaire d'auto-organisation et de stabilité structurelle des formes vivantes.
    • lucky semiosis
       
      donc pourquoi ne pas gérer les connaissance comme on gère un jardin ?
  • l'efficacité dite "symbolique" des rituels serait, comme celle des outils, une fonction de leur forme, c'est-à-dire avant tout de leurs propriétés topologiques et géométriques (situation et structure des lieux cérémoniels, répartition dans l'espace, gestes et déplacements des acteurs, etc.).
lucky semiosis

Et si on appliquait (enfin) Edgar Morin ? - Blogs Intelligence économique - 0 views

  • Concernant, les principes d’une connaissance pertinente, poursuit Edgar Morin, il est devenu nécessaire de promouvoir une connaissance capable de saisir les problèmes globaux et fondamentaux pour y inscrire les connaissances partielles et locales.
    • lucky semiosis
       
      du local au global comprendre les relations cohérentes
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