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lucky semiosis

« Le tout est toujours plus petit que ses parties » - Cairn.info - 0 views

  • C’est là que la question de visualisation devient si cruciale : peut-on concevoir un espace dans lequel des monades idiosyncratiques pourraient être projetées et qui révélerait ceux de leurs attributs qui se superposent sans crainte de perdre leurs spécificités ? Pour étudier cette possibilité, nous devons prendre en compte deux pratiques communes en matière d’exploitation des données.
    • lucky semiosis
       
      c'est là que le modèle du jardin apporte une solution
  • Le fait de tracer un cercle n’est rien d’autre que la reconnaissance de la limite extérieure de la monade – dont l’enveloppe, ne l’oublions pas, est définie par la liste de tous ses attributs distinctifs – et non pas la délimitation du « rôle » qu’elle « jouerait » « à l’intérieur » de la « structure ». On pourrait aussi dire que dans une approche A-1, les limites des monades devraient être définies par l’extrémité provisoire de l’expansion de leur contenu, et non par l’ajout d’une catégorie venant d’ailleurs.
  • Il n’y a donc pas de distinction notable, réelle, ontologique entre les concepts d’individus, de groupes ou d’institutions. La seule différence dans ce que nous appelons institutions est la monade qui revient le plus souvent dans la base de données – et sa détection est empirique dépendant entièrement de la qualité de la base de données.
  • ...2 more annotations...
  • Le travail nécessaire pour définir les frontières d’une entité et lui assigner un nom propre fait partie de cet effort, de même que le travail de préservation de la continuité de ces noms et de ces frontières.
  • Nous sommes bien conscients que ces bases de données sont pleines de défauts, qu’elles incarnent elles-mêmes une définition plutôt grossière de la société, qu’elles sont marquées par de fortes asymétries de pouvoir, et surtout, qu’elles ne caractérisent qu’un instant éphémère dans la traçabilité des liens sociaux. Nous sommes aussi douloureusement conscients des contraintes sévères de l’analyse des réseaux et des limites des outils de visualisation disponibles aujourd’hui. Mais il serait dommage de manquer cette occasion d’explorer une alternative aussi fondamentale qui pourrait ainsi attirer les sciences sociales sur le terrain empirique et quantitatif, sans renoncer pour autant à se focaliser sur les particularités.
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