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Home/ Groups/ SC Entreprise 2.0 et RSE
Christophe Deschamps

7 stratégies d'adoption d'un intranet social - 0 views

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    Par @aponcier Entreprise20 AdoptionTechnologies20 Contenu_ 2012 Rse_ Intranet_
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Les communautés 2.0 au cœur de la production de connaissances - 0 views

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    Entreprise20 Collaboration_ Cop_ Contenu_
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Comment créer un contexte social favorable à l'intelligence collective et l'i... - 0 views

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    Second livre numérique de Thomas Bonnecarrère @Thomas_BO IntelligenceCollective livre_numérique Contenu_ Collaboration_ Entreprise20 
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Management 2.0 : les vertus des petites équipes - 0 views

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    Management_ Entreprise20 Collaboration_ TravailCollaboratif
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Quand le Department of State montre l'exemple en adoptant l'esprit Enterprise2.0 - 0 views

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    Petite étude de cas par @demainlaveille Entreprise20 Diplomatie_ Usa_ OutilsCollaboratifs contenu_ EtudeDeCas
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If You Think Your Team Makes Decisions, Think Again - 0 views

  • The group discussion helped evolve the boss's thinking, which reshaped the ultimate decision. But even if the decision wasn't one the boss would have initially made or isn't his or her top choice, the fact is that the CEO was part of the consensus. And as long as the boss is a required part of the consensus — as long as whatever is decided has to be inside the boss's acceptable set of outcomes — then accountability never really shifts to the group. It is the leader, not the group, who ultimately allows that particular decision to go through.
  • In a study of top management team performance conducted by the global executive search firm Heidrick & Struggles a few years ago, 124 CEOs worldwide and 579 of their direct reports were asked to rate whether leadership team decision processes were clear. On a scale of one to seven, the CEOs rated decision process clarity, on average, at 5.62. The executives who worked for them returned a rating of only 3.86.
  • The wise boss will recognize that individuals, not groups, own decisions and will make this clear to subordinates. Some may be concerned that team members will feel disempowered. But the truth is not nearly as disempowering as fostering an illusion.
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  • If something the group does can be reversed by a quick trip to the boss's office afterwards, then the group wasn't accountable for making that decision in the first place. It might be a recommendation, or a preferred option, or a consensus view, but it wasn't a decision.
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    Billet de blog HBR
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Groofer - 0 views

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    Service de social search et social bookmarking pour les organisations
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Yuku - 0 views

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    Service de création de réseaux sociaux privés
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Social Software for Business - 0 views

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    Rapport PDF de 32 pages, par Deloitte. SocialSoftware SocialMedias Entreprise20 Business_ Management_ Contenu_ Rapport_ Etude_
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Noosbox for Google Apps - 0 views

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    Plugin qui permet d'intégrer des mini forums de discussion dans Gmail pour éviter les CC. Idée intéressante (et pas neuve) OutilsCollaboratifs Gmail_ OutilGmail Pkm_
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Green SI: 2013: l'intranet en tout petit au coeur du réseau social d'entreprise? - 0 views

  • Or on constate les difficultés actuelles à convaincre ces Directions de s'engager sur la voie des réseaux sociaux. Les directions marketing ou commercial sont plus actives (celles qui avaient vue venir l'e-business!)
  • Heureusement de plus en plus de DSI on compris qu'elles avaient raté la vague de l'internet 1.0 et que les RSE était peut être la seconde qu'il ne fallait pas laisser passer pour gagner ses lettres de noblesse auprès de la DG et mettre le SI au service de la transformation de l'entreprise.
  • Mais en l'acceptation du RSE interne non plus car elle renverse la pyramide de la communication en mettant l'utilisateur au premier plan. Finalement le "TL" (timeline) de notre utilisateur, pour reprendre l'expression du fil d'actualité sur Twitter, c'est lui qui se la choisi, en décidant de participer a tel ou telle communauté. La DirCom n'étant pour lui qu'un fil d'information que le salarié décide de mettre (ou non) sur sa TL. Exit donc l'intranet portail page d'accueil au lancement du navigateur pour être sûr que l'information interne est lue.
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  • Le salarié ne cherche pas plus que Mme Michu a se faciliter la vie pour faire son travail. Il a besoin d'une plateforme qui lui permette de collaborer "sans fioritures" et de choisir ses outils et ses sources d'information.
  • Une plateforme qui ressemble a Facebook mais où tout lui permet de prendre contrôle de ses activités, de ses projets, de trouver les documents et d'interagir avec ses communautés internes.
  • La révolution que je souhaite pour les  deux ans qui arrivent, serait un Salon RSE 2013 dans lequel il y aurait un petit village intranet. Car l'intranet de communication tel que pensé aujourd'hui, n'est qu'une petite partie des besoins de collaboration du salarié. Le RSE devrait prendre la place centrale a coté de la gestion des connaissances. Celle qui est animée et partagée par l'ensemble des salariés.
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    RSE KnowledgeManagement Entreprise20 Intranet_ Tendance_
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Et la meilleure plateforme de réseau social d'entreprise est... - 0 views

  • Sa richesse fonctionnelle, son ergonomie (facteur très subjectif), la rapidité de mise en œuvre, le fait qu’il ne soit disponible qu’en mode Saas, en “on premise” ou qu’on ait le choix, sa capacité d’intégration avec l’existant voire avec les outils métier, le fait qu’il soit technologiquement cohérent avec l’essentiel de l’existant…
  • Il n’existe aucun outil parfait sur le marché et, même si certains sortent du lot, un besoin précis amènera à élire un outil qu’on n’avait jamais considéré comme un possible premier choix. Pire encore : à force de voir et d’essayer de multiples plateformes, on finit toujours être déçu par celle qu’on choisit. Tout étant, je le répète, affaire de compromis, on choisit le “meilleur” compromis, qui correspond à 70, 80, 90% de l’outil “idéal” tel qu’on le réverait mais n’existe pas…et on passe son temps à se dire “ah…machin software ça il le fait mieux” alors que si on avait choisi “machin software” on passerait son temps à regretter une fonctionnalité précise de “truc soft” qu’on a choisi.
  • “essayez de trouver ce qui vous convient le mieux par rapport à votre propre besoin, en faisant attention à ne pas choisir un outil tellement neutre que s’il ne pose aucun problème il ne répond à aucun besoin”. Et une fois ce choix fait “apprenez à aimer ce que vous avez à défaut d’avoir ce que vous aimez”. Loin d’être satisfaisant.
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  • 1°) Beaucoup d’entreprises comprennent aujourd’hui que dès le début le projet “entreprise 2.0″ doit se fondre dans l’existant, se connecter et s’articuler avec. Beaucoup d’autres, qui se sont lancées il y a plus ou moins longtemps, se retrouvent “coincées” parce qu’elles avaient minimisé ou négligé ce point et se retrouvent à penser cette intégration a posteriori  car elle est nécessaire pour embarquer 80% des collaborateurs dans l’histoire. Problème : cela oblige de “geler” les choses pour les quelques 10% qui ont accepté de jouer le jeu dans les conditions actuelles et éventuellement décevoir leur attente. Et, pire encore,  faire le choix de l’outil “tout intégré qui démarre vite” a souvent amené à sous-pondérer la question de l’intégration dans le choix initial. Et se retrouver avec des produits qui s’interfacent mal avec l’annuaire, peu ou pas avec la GED,..sans parler des outils métier.
  • Plutôt que choisir un outil qui ne fait rien de mal mais ne satisfait aucune demande poussée, autant en prendre un qui fait quelques choses bien et à qui on ajoutera ce qu’il faut pour faire tout bien. Cela coûtera certainement plus cher mais il vaut mieux, a mon avis, investir plus pour quelque chose qui sera utilisé qu’un peu moins pour quelque chose qui servira a peu de chose…
  • La demande d’intégration avec les outils métier. Cela peut prendre une forme très simple : suggérer des personnes, “user generated contents”, communautés correspondant à une problématique métier dans l’outil métier où cette problématique apparait.
  • Ce qui nous amène à la dernière : le moteur de recherche. L’entreprise n’a pas attendu les réseaux sociaux pour générer de l’information et demander aux collaborateurs de procéder à un grand nombre de recherches dans des outils isolés disposant de leur propre moteur est la garantie qu’ils ne chercheront rien et donc que l’information générée continuera à ne servir qu’à ses auteurs. Il faut cesser de catégoriser l’information selon son outil source et faire en sorte que le moteur de recherche “global” de l’entreprise inclue les résultats “sociaux” au même titre que n’importe quelle source interne. Lorsqu’on cherche de l’information sur un produit, une procédure, il est tout aussi utile d’avoir la documentation “officielle”, des personnes pertinentes sur le sujet, des groupes ou communautés où on en parle etc…
  • Alors qu’auparavant l’alternative était entre choisir un outil tout fait et en accepter les limites ou tout construire soi même en développant de zéro, une voie médiane est clairement en train d’émerger au fur et à mesure que le marché gagne en maturité : l’outil tout fait suffisamment ouvert pour qu’on puisse se reposer sur lui pour construire quelque chose de “maison” sans avoir à réinventer la roue, qui s’effacera derrière le résultat final alors qu’en coulisse tout reposera sur ses services.
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    Les conseils de @bduperrin pour choisir une plateforme RSE RSE Entreprise20 SocialSoftware Contenu_ BilletBlog
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Entreprise 2.0: la tentation de l'utopie - 0 views

  • Dans leur double fond, elles importent une culture et des principes depuis Internet au sein de l’entreprise : conversation, agilité, simplicité, transparence et confiance plutôt que diffusion, bureaucratie, complexité, sécurité, et contrôle. Non pas que les secondes valeurs soient à proscrire mais elles ne déterminent plus le comportement par défaut : ce sont les premières qui le font.
  • Capturer le savoir tacite, favoriser l’innovation, contribuer à la motivation et au sentiment d’appartenance des employés, raccourcir la feedback loop des clients ou des fournisseurs, limiter le nombre de réunions inutiles et chronophages, débarrasser les employés d’outils inappropriés et inutilisables imposés par la gouvernance SI, etc. : ces problèmes ne manquent pas.
  • Towers Perrin a publié les résultats d’un questionnaire mondial [en] duquel il ressort que seulement 20% des employés sont impliqués dans leur travail et que, sur trois ans, l’évolution moyenne de la marge opérationnelle entre une entreprise avec des employés plutôt impliqués est de +3,74% lorsque celle d’une entreprise avec des employés moins impliqués est de -2%.
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  • Un exemple éclatant : HCL [en] (SSII) indienne de Vineet Nayar [en] qui révolutionne la culture de l’entreprise à son arrivée en 2005 avec un motto répété inlassablement : “Employee first, customers second.” La raison : en s’accomplissant l’employé offre toute son potentiel et crée de la valeur pour le client. Pour des résultats remarquables et une entreprise élue meilleure employeur en Asie par Hewitt Associates
  • L’objectif n’est pas de transformer l’entreprise en un monde de Bisounours un peu tarte mais de donner aux travailleurs de la connaissance des outils et des méthodes de travail qui leur permettent de mieux travailler et de faire davantage sens de leur contribution pour être plus productifs individuellement et collectivement
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    RSE Entreprise20 Management_ Contenu_ BilletBlog
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Sharepoint for Info-pros - 0 views

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    Par Hervé BASSET on Prezi RSE OutilsCollaboratifs Entreprise20 Sharepoint_ Contenu_ Presentation_
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youRoom - 0 views

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    Service permettant de créer des réseaux sociaux thématiques
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Panmind - 0 views

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    Service permettant la gestion de projets assez proche d'un réseau social d'entreprise. Très intéressant. #RSE
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Liste de sites permettant de créer des réseaux sociaux - 0 views

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    SocialMedias_ Thematique_ Outil_ Contenu_ Liste_
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La part de mystère des communautés de pratique - 0 views

  • A l'origine entités indépendantes qui choisissaient elles-mêmes leurs thèmes de réflexion, les communautés de pratique sont amenées à se focaliser sur des sujets déterminés par le haut management. Une évolution qui ne remet pas nécessairement en cause leur nature, mais nécessite de bien articuler leur rôle dans l'organisation.
  • Alimentée en sujets par des services de l'entreprise, fournisseur de livrables, la communauté de pratique se fond dans le fonctionnement de l'entreprise. Elle conserve néanmoins quelques spécificités qui sont sa raison d'être : adhésion volontaire des membres, fonctionnement à plat sans hiérarchie, approche le plus souvent transversale des problématiques...
  • la communauté de pratique doit chercher à se protéger de l'extérieur et donc assumer un côté « boîte noire » : ce qui se dit et ce qui se fait à l'intérieur de la communauté ne concernent que ses membres. Le making off n'est pas souhaitable, tout du moins tant que les objectifs qui ont été fixés n'ont pas été atteints.
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    La conclusion est essentielle KnowledgeManagement Entreprise20 Cop_ Contenu_ ArticleDivers
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Collaborating Takes More than Technology - 0 views

  • American society, says Rosen, encourages individualism and a star system, which inhibits the very collaboration that he maintains can make companies more effective.
  • When some people refer to collaboration, they're talking about technology. And that's part of the problem. Companies think that if they introduce certain technologies, that they're collaborating. But a central point in my book is that tools and technologies never create collaboration. Culture creates collaboration.
  • Star culture is the antithesis of "collaborative culture." In a star culture, the best people supposedly rise to the top in a Darwinian survival-of-the-fittest fashion. Some companies regularly eliminate the bottom 5 percent of the workforce.
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  • Collaboration is about creating value, because if we're not creating value, what's the point? When you start looking at shaving months off product development cycles—in everything from automobile manufacturing to aerospace to animation—that is real, measurable value. And that is what collaboration can deliver.
  • But perhaps even more important would be the recognition and rewards system of the company. Are they recognizing and rewarding people for internally competitive, command-and-control behavior? Or are they recognizing and rewarding people for collaborative behavior?
  • And that's the way organizations have been operating: Paying a few people to think, and paying everyone else to carry out orders. But we've learned that just doesn't work any more. Now it's "all hands on deck." There is a realization that we need to come together to make decisions and solve problems and even develop products, regardless of level, role, or region.
  • Because if everything is being graded on a curve, and we are competing with everyone around us, how are we ever going to be able to effectively collaborate in an organization?
  • What paralyzes an organization is when management compromises value by failing to tap ideas, expertise, and assets. What also paralyzes an organization is when requests for decisions languish in in-boxes rather than hashing out issues spontaneously. Paying a few people to think and paying everybody else to carry out orders creates far less value than breaking down barriers among silos and enabling people to engage each other spontaneously.
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    Interview d'Evan Rosen, auteur de The culture of collaboration Collaboration_ Entreprise20 Innovation_ Management_ Contenu_ CompteRenduLecture
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