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"La ministre déléguée en charge de la citoyenneté doit se rendre à Drancy (Seine-Saint-Denis) vendredi 11 décembre, pour une commémoration au mémorial de la Shoah. L'occasion de marquer son soutien au médiatique mais controversé Hassen Chalghoumi : l'imam de Drancy se dit menacé de mort à cause de ses prises de position contre l'islamisme."

"Lors d'une cérémonie en mémoire des Martyrs de la déportation, dimanche 21 septembre à la grande synagogue de la Victoire à Paris, le grand rabbin de France a souhaité que les pays réagissent plus « promptement » qu'ils ne l'ont fait « lors de la Shoah » face aux persécutions des minorités religieuses en Orient."

"aïm Korsia a appelé ce dimanche 21 septembre la communauté internationale à agir "promptement" pour protéger les minorités d'Orient persécutées, une situation "en résonance avec la Shoah", lors d'une cérémonie en mémoire des Martyrs de la déportation."

"Le catholicisme se trouve pris ainsi entre deux feux. D'un côté, sa conception de l'inspiration de l'Ecriture lui interdit de concevoir la Bible comme une météorite tombée du Ciel, un livre incréé dont l'écrivain sacré assurerait la transcription passive sous la dictée. D'un autre côté, notre religion ne peut pas renoncer aux attributs habituels de Dieu : éternité, omniscience, toute-puissance, providence, sous prétexte que le mal radical qui s'est déchaîné durant le vingtième siècle (Shoah, Kolyma) nous aurait définitivement désillusionnés à leur sujet. Le catholicisme navigue entre deux eaux, entre le fanatisme islamiste (islamiste, et non musulman, je précise) et la sécularisation intégrale de nos sociétés."

Une délégation d'imams et de responsables d'associations musulmanes de France s'est rendue hier à Yad Vashem, le mémorial de la Shoah à Jérusalem. Les imams ont prononcé une courte prière dans la crypte du Souvenir après avoir déposé une gerbe à la mémoire des 6 millions de victimes juives du génocide nazi.

"Théoriquement intégré aux programmes scolaires, l'enseignement des faits religieux peine à se faire une place à l'école. La question, trop longtemps oubliée, resurgit et exige désormais une réponse."