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Conférence sur l'islam
le 25 novembre 2016 de 20h00 à 22h00 [Formation]
avec le Père Sébastien Neuville et Michèle Poulain
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"Conférence/débat avec Ghaleb Bencheikh, présentateur à l'émission religieuse Islam du dimanche matin sur France 2, Président de la Conférence mondiale des religions pour la paix. "
Le chef de l'Etat s'est rendu à la Grande mosquée de Paris, ce dimanche, aux alentours de midi, peu après la fin de la commémoration place de la République. Une visite qui n'était pas prévue sur son agenda officiel.
"Le jeudi 13 octobre 2016, à 20h30, aura lieu la conférence intitulée « L'islam et nous » assurée par Marie Thérèse Urvoy, à l'espace multimédia Saint Paul à Toulon.
Cette même conférence est organisée à Fréjus (Cathédrale) le mercredi 12 octobre 2016."
"Soirée Débat animée par Eugénie Bastié, journaliste au Figaro, avec:
Saïd Hichouri, Président de l'Association culturelle des musulmans de La Garde
Hayette Hamidi, avocate, fondatrice du think tank France Fière, élue LR au Blanc-Mesnil, Sens Commun
P. Fabrice Loiseau, fondateur des Missionnaires de la Miséricorde"
Depuis la mort du Prophète Mohammed, le récit islamiste a kidnappé la foi musulmane, pour en faire un projet politique dominant des esprits et des territoires. Après quatorze siècles, ce même panislamisme s'emploie à imposer son agenda à l'Orient et à l'Occident. Sa branche armée se charge de l'accélérer via une stratégie sanguinaire du « jihad global », considérant l'Europe comme ce « ventre mou de l'Occident ». En France, un tel projet totalitaire, criant systématiquement à l'islamophobie, initie des revendications communautaristes, des radicalisations islamistes et des violences jihadistes. De défi en défi, il met les décideurs politiques et les divers acteurs sociétaux dans une situation embarrassante. Ces derniers se trouvent tiraillés entre le nécessaire sursaut vital pour préserver les acquis démocratiques fondamentaux et la peur de stigmatiser une partie de la communauté nationale, en raison de sa foi religieuse. La décision politique se montre timorée.
Cette note fait le pari de la connaissance comme prérequis fondamental d'une action politique éclairée, visant à réaffirmer l'identité et les valeurs du récit progressiste français et européen, face au péril islamiste voulant ressusciter le Moyen Âge. Elle invite à différencier la foi musulmane du récit islamiste : islam et islamisme ne sont pas synonymes. Cela passe nécessairement par un voyage vers les premiers temps de l'islam politique pour mieux comprendre la genèse et le sens de toutes ses revendications visant à imposer à la République, la visibilité d'une idéologie dans un paysage sécularisé. La France, de par ses valeurs démocratiques universelles et non négociables, issues de la Réforme, des Lumières et de la Révolution française, se trouve en pole position pour impulser cette réforme vitale, mettant en marche ma règle des 3 R : Redéfinir le sacré, Repenser les textes et Réconcilier l'islam avec la modernité e