"À l'occasion des rencontres nationales de Lourdes, aumôniers et évêques se sont rendus dans cette ville chargée d'histoire autour d'un thème : "Rejoint pas le Christ, cheminer ensemble au pas de l'autre ? ". L'occasion pour notre invité Jean-Paul Tourvieille, aumônier catholique de la maison d'arrêt d'Angoulême, de présenter un objet fabriqué spécialement par les détenus..."
"Ce dimanche 13 octobre se conclut dans le sanctuaire marial en France le rassemblement national des aumôniers de prison sur le thème «Rejoins par le Christ, cheminer ensemble au pas de l'autre». Bruno Lachnitt, aumônier national des prisons, explique de quelle manière la vocation de l'aumônier de prison s'incarne dans l'écoute, l'humilité et la conversion intérieure."
"Bruno Lachnitt est aumônier national des prisons et diacre du diocèse de Lyon. À l'occasion de l'ouverture des Rencontres nationales de l'aumônerie catholique des prisons, du 10 au 13 octobre à Lourdes, il revient sur le rôle des aumôniers et dénonce la surpopulation carcérale dans les prisons françaises."
"Du 10 au 13 octobre, plusieurs centaines d'aumôniers catholiques des prisons françaises sont rassemblés, dans la cité mariale, en présence de dix évêques."
"À la une dans SIC du lundi 14 octobre 2024 : La lettre de François aux futurs cardinaux, Les 50 ans du diocèse du Havre, La prière pour la Martinique... Mais aussi : La veillée de prière oecuménique en marge du Synode à Rome, Le décès de Carlos Payan, pasteur engagé pour l'unité des chrétiens, Les Rencontres nationales 2024 des aumôniers de prison à Lourdes, La Vierge de Rocamadour arrivée aux Sables d'Olonne pour le départ du Vendée Globe, Le Festi'frat dans le diocèse de Nantes, Les 150 ans de la Maison Médicale Jeanne Garnier à Paris, Et un nouveau site pour la revue d'art sacré "Narthex". Avec SIC, retrouvez en 6 minutes la sélection de l'info catholique du week-end à ne pas manquer !"
"Les rencontres de l'aumônerie catholique de prison ont lieu jusqu'à ce dimanche à Lourdes. Parmi les problématiques mises en avant : la surpopulation carcérale qui n'épargne pas les maisons d'arrêt de Loire-Atlantique et de Vendée. Témoignage."
"e congrès national de l'aumônerie catholique des prisons se déroulait à Lourdes les 19, 20 et 21 octobre 2012 sur le thème « Appelés à la liberté, l'insertion, un défi, une espérance »."
"Le congrès de l'aumônerie catholique des prisons a rassemblé plus de 500 personnes à Lourdes du 19 au 21 octobre 2012. Notre évêque, Dominique Lebrun était présent avec cinq personnes de l'aumônerie de la Talaudière. Sous le titre « Appelés à la Liberté », ils ont réfléchi aux conditions dans lesquelles l'aumônerie des prisons peut être acteur de la préparation à la réinsertion, sujet d'actualité brûlante."
"Imaginer réformer la justice est bien ambitieux. La tâche est immense, le poids du facteur humain et des connivences est extrêmement lourd ; et l'adage de Jean Bodin peut, ici comme ailleurs, être renversé : il n'est de problèmes que d'hommes. Si les contributions de professionnels distingués sont fort nombreuses, elles sont difficiles à ajuster et résumer pour les non-juristes."
En 2014, moins d'un délinquant traité par la justice sur cinq est une femme. Proportionnée à la gravité des faits et à la personnalité de l'auteur, la réponse pénale de l'institution judiciaire donne globalement la priorité aux mesures alternatives par rapport aux poursuites pour six femmes sur dix tandis que quatre hommes sur dix en font l'objet. A l'inverse, 35 % des femmes auteures sont poursuivies devant une juridiction de jugement contre plus de la moitié des hommes (53 %). Quand elles sont condamnées, les femmes bénéficient de sanctions moins lourdes que les hommes tant en type de peines qu'en durée d'emprisonnement. Ainsi, plus on avance dans la chaîne judiciaire et pénale et plus le taux de féminisation diminue : de 18 % des personnes mises en cause, à 15 % des auteurs faisant l'objet d'une réponse pénale, 10 % de ceux poursuivis devant un tribunal et moins de 4 % de la population carcérale.
Ce traitement judiciaire différencié, en apparence plus clément envers les femmes, repose en partie sur trois facteurs appréhendables statistiquement : la nature des infractions commises, la complexité de l'affaire (approchée par le nombre d'infractions) et le passé délinquant de l'auteur de l'infraction. En effet, la délinquance féminine est dans l'ensemble différente et moins violente que celle des hommes. Les femmes sont condamnées pour des affaires moins complexes et ont surtout deux fois moins souvent d'antécédent judiciaire.
La prise en compte simultanée du nombre d'infractions et de l'existence d'antécédent judiciaire réduit les écarts observés entre femmes et hommes, notamment pour le contentieux routier et l'usage de stupéfiants, où hommes et femmes font l'objet de sanctions identiques. Elle ne va pas jusqu'à les abolir pour les autres catégories d'infractions, notamment en matière d'atteintes aux biens ou aux personnes, pour lesquelles les femmes bénéficient de pein
"Ce n'est pas la première fois qu'un prisonnier belge préfère la mort à la prison: une dizaine de détenus en auraient fait la demande. En septembre 2012, un prisonnier gravement malade et condamné à une lourde de peine l'avait obtenu. Certains y voient un retour de la peine de mort déguisée sous des motifs humanitaires."
"Sur un an, les violences intrafamiliales, à l'école, dans la rue ont grimpé de façon inquiétante. Les policiers, qui paient un lourd tribut à la délinquance, dénoncent un «délitement du lien social» et un certain laxisme judiciaire."
"En 2014, moins d'un délinquant traité par la justice sur cinq est une femme. Proportionnée à la gravité des faits et à la personnalité de l'auteur, la réponse pénale de l'institution judiciaire donne globalement la priorité aux mesures alternatives par rapport aux poursuites pour six femmes sur dix, tandis que quatre hommes sur dix en font l'objet. À l'inverse, 35 % des femmes auteures présumées sont poursuivies devant une juridiction de jugement contre plus de la moitié des hommes (53 %). Quand elles sont condamnées, les femmes bénéficient de sanctions moins lourdes que les hommes, tant en type de peines qu'en durée d'emprisonnement. Ainsi, plus on avance dans la chaîne judiciaire et pénale et plus le taux de féminisation diminue : de 18 % des personnes mises en cause à 15 % des auteurs faisant l'objet d'une réponse pénale, 10 % de ceux poursuivis devant un tribunal et moins de 4 % de la population carcérale
Ce traitement judiciaire différencié, en apparence plus clément envers les femmes, repose en partie sur trois facteurs appréhendables statistiquement : la nature des infractions commises, la complexité de l'affaire (approchée par le nombre d'infractions) et le passé délinquant de l'auteur de l'infraction. En effet, la délinquance féminine est dans l'ensemble différente et moins violente que celle des hommes. Les femmes sont condamnées pour des affaires moins complexes et ont surtout deux fois moins souvent d'antécédent judiciaire.
La prise en compte simultanée du nombre d'infractions et de l'existence d'antécédent judiciaire réduit les écarts observés entre femmes et hommes, notamment pour le contentieux routier et l'usage de stupéfiants, où femmes et hommes font l'objet de sanctions identiques. Elle ne va pas jusqu'à les abolir pour les autres catégories d'infractions, notamment en matière d'atteintes aux biens ou aux personnes, pour lesquelles les femmes bénéf
"Comme chaque année, nous venons vers vous pour la confection des 260 colis ! Notre objectif est que chacun des détenus à Tarbes et à Lannemezan puisse recevoir son colis de Noël
Nous savons combien ce colis contenant quelques denrées de base et friandises est important pour nos frères détenus. Pour certains, Il sera le seul cadeau."
"Alors que l'aumônerie catholique des prisons ouvre ce jeudi 10 octobre ses rencontres nationales à Lourdes, Bruno Lachnitt, aumônier national, rappelle auprès d'Aleteia l'importance pour les détenus et l'Église d'une telle mission. "En se faisant proche de ceux qui sont en prison, les chrétiens sont au plus près de ce que dit l'Évangile", confie-t-il. Entretien."
"Bruno Lachnitt, l'aumônier national catholique des prisons, tire la sonnette d'alarme face à une surpopulation carcérale sans précédent en France. En septembre, 73 établissements affichaient un taux d'occupation supérieur à 150%."