Skip to main content

Home/ ShaREvolution/ Group items tagged marché

Rss Feed Group items tagged

julien camacho

Pourquoi croire dans le crowdfunding. Le cas stéphanois décortiqué | Pourparlers - 0 views

  •  
    En mars, l'autorité des marchés financiers (AMF) publiait conjointement avec l'Autorité de contrôle prudentiel de la Banque de France un guide prudentiel à destination des plate-formes et des porteurs de projets. Un tacle ? Non ! Une Bonne nouvelle pour les associations et porteurs de projets, ce guide laisse une large marge de manoeuvre pour lever de l'argent en crowdfunding. Sur la Loire, un groupe accompagné par Zoomacom est en phase de tests avec une amorce de rencontre avec les banques. Rencontre avec Renaud Denis, salarié de Zoomacom et initiateur du groupe crowdfunding à Saint-Etienne
marinealbarede

Why Airbnb wants you to know how much its users are spending - Washington Post - 2 views

  •  
    La plupart des startups ne sont pas autant préoccupées qu'AirBnb a montrer ses résultats : des utilisateurs qui restent deux fois plus longtemps que des touristes normaux et qui dépensent 300$ de plus en moyenne par voyage... Parce que les startups de l'économie collaborative doivent montrer qu'elles favorisent la consommation et l'activité économique pour justifier leur place dans le bouleversement qu'elles instaurent et limiter les effets de la réglementation qui les menace. Pour répondre à la critique que les locations d'AirBnb auraient un impact à la hausse sur les loyers, la startup a commandé une étude à Ken Rosen, président du Centre Fisher pour la recherche en économie urbaine de Berkeley. Pour Rosen, à San Francisco, le nombre de propriété offert à la location sur AirBnb est trop faible pour que le site ait un impact sur la hausse des loyers. Sans compter que 82% des offreurs de biens sur AirBnb partagent la maison qu'ils habitent.
  •  
    Airbnb enquête auprès de ses usagers, afin de savoir combien ils dépensent lors d'un séjour... afin de démontrer comment les villes en bénéficient d'un point de vue économique. La startup en a même fait un véritable argument de promotion (comment ses utilisateurs consomment plus, consomment différemment, comment les retombées économiques se font dans des quartiers moins touristiques que ceux concernés habituellement par l'hôtellerie, etc.)
  •  
    Il existe déjà des formes de coopération dans le vieux monde. Les impôts, les taxes, les aides, notamment les aides au logement en France. Prenons un exemple: le coût élevé du logement social (loyer modéré, ou programmes types Duflot), en particulier dans Paris, est un effort positif auquel consent la société pour permettre de réduire la charge incombant au bénéficiaire à la partie congrue. Cet effort sera complètement dévoyé lorqu'il serva à démultiplier la rentabilité d'une location de ce logement en chambre d'hôte. Hors qu'est ce qui empêche fondamentalement que le marché ne se développe dans ce sens, dans une ville touristique où nombre de logement à faible loyer sont indiscernables de logement classiques en terme de standing? Tout business qui va dans le sens d'une déconcentration et d'une collaboration de pair à pair comporte sans doute en lui une vertue. Mais la valeur d'une innovation ne peut pas se fonder uniquement sur la suppression pure et simple de mécanismes de régulation ou de redistribution sociale. Sans quoi la société s'y opposera, et malheureusement elle aura toute légitimité à le faire.
dkaplan

New Research: The Number of Sharers to Double Next Year - Shareable - 1 views

  •  
    Par Crowd Companies, un rassemblement de très grandes entreprises américaines qui s'interrogent sur l'avenir de leurs modèles, une vaste étude aux Etats-Unis et au Canada sur les perspectives de la consommation collaborative. Conclusions : le marché pourrait doubler l'an prochain ; le partage d'objets est le chemin d'accès vers d'autres formes de partage ; la composition démographique des "partageurs" est en voie de banalisation...
marinealbarede

Berlin 'borrowing shop' promotes the benefits of sharing | World news | theguardian.com - 1 views

  •  
    Leila, une "librairie" pour les objets implantée à Berlin a si bien marché, que de tels projets ont essaimé ailleurs en Allemagne. Avec une vision locale, ancrée dans le territoire du partage, contrairement aux grandes plateformes, et centrée sur le "partage", plus que l'économie.
Veronique Routin

Un grand du transport face aux taxis - Le blog de Stéphane Soumier - 2 views

  • Cela rentre dans un plan Global des géants du transport pour développer ce qu'ils appellent le "transport à la demande", la gestion des derniers kilomètres, un transport totalement individualisé. Pour Transdev cela représente 8% du chiffre d'affaire, et l'ambition est de la porter à 13%
  •  
    Transdev se lance sur le marché du VTC. Cela rentre dans un plan Global des géants du transport pour développer ce qu'ils appellent le "transport à la demande", la gestion des derniers kilomètres, un transport totalement individualisé. Pour Transdev cela représente 8% du chiffre d'affaire, et l'ambition est de la porter à 13%
pierremallet

Airbnb va-t-il enterrer le secteur hôtelier ? - 1 views

  •  
    "VERS UN AIRBNB POUR LES PROS ? Cela justifierait aussi le lancement en juillet dernier d'une offre à destination de professionnels, laquelle a même été conçue en partenariat avec Concur Triplink, l'un des leaders  de la saisie des notes de frais professionnelles pour les voyages d'affaire. Bref, Airbnb n'en a pas fini de partir à la conquête de nouveaux marchés. Et pour financer tout cela, selon une rumeur persistante, une introduction en bourse serait imminente…"
pierremallet

[Exclusif] Parkadom, une plate-forme de location de places de parking, lève 3... - 1 views

shared by pierremallet on 03 Nov 14 - No Cached
  •  
    "Comment rentabiliser une place de parking vacante ponctuellement ? C'est à ce besoin que répond Parkadom, start-up parisienne fondée en 2012 par Alexandre Poisson et Benjamin Pozzi. Elle vient de boucler un tour de table pour un montant de 350 000 euros auprès d'investisseurs privés dont l'identité reste confidentielle. Le concept: une plate-forme de location d'emplacements de parking privés. A l'origine, il s'agissait uniquement de consommation collaborative entre particuliers. Grâce à ce tour de table, Parkadom entend étendre son activité aux locations de places de parking détenues par des entreprises. Le modèle économique est celui généralement observé concernant les places de marchés: une commission de 20% est prélevée sur chaque transaction. Alexandre Poisson précise: « Une dizaine de transactions sont réalisées chaque jour."
pierremallet

La SNCF lance le covoiturage courte distance pour les Franciliens - 0 views

  •  
    "Le marché du covoiturage se structure peu à peu. Alors que Blablacar, le leader européen, a annoncé il y a quelques semaines avoir franchi la barre des 10 millions d'utilisateurs, c'est au tour de la SNCF de lever le voile, mardi 9 décembre, sur son offre de covoiturage courte distance pour l'Ile-de-France. Ce dispositif destiné aux voyageurs franciliens est lancé avec la plate-forme de covoiturage, iDVroom.com, filiale de la compagnie de chemins de fer."
asselinj

Taxes Won't Kill Bitcoin, but Tax Reporting Might - 0 views

  •  
    Conclusion applicable aux alternatives aux hotels, taxis, transports en communs, dispositifs d'échanges de services de pair à pair en général?
  •  
    Si on est favorable à ces évolutions, mieux vaut anticiper ces questions plutôt que d'attendre qu'elles ne se constituent en menaces. Le "sharing" de "sharing economy" crée de la valeur ajoutée. L'extraction des contraintes sociales classiques (réglementations, impôts, charges sociales,...), auxquelles sont soumis les autres acteurs économiques, ne peut pas être l'unique source de cette valeur. Au-delà du marché et des questions de concurrence par corporation, ce risque pèse sur une assiette de bénéficiaires large. Exemple: si je propose un service sans payer les charges sociales afférentes, je peux quand même subir une maladie professionnelle, et être soigné, simplement ce sont les autres qui paieront pour moi -la réciproque n'étant pas vrai. La nouvelle économie, basée sur un model distributif, peut certainement trouver des solutions pour organiser de façon vertueuse son "empreinte sociétale". Et sans doute être plus efficiente que la "vielle économie", où la dissymétrie des profits entre société, consommateur et producteur domine les rapports. Cette question de responsabilité devient un évidence dans un contexte ou de nombreux petits ou grands opérateurs de l'économie du partage trouvent des façons de monétiser ces nouveaux usages; de leur donner des coordonnées tangible dans le champs de l'économie. C'est une très bonne chose (et surement le sens de l'Histoire), à condition que cela ne devienne pas une version relookée du "mutualiser les risques, privatiser les profits"...
pierremallet

« L'économie collaborative va se développer dans tous les secteurs», Jeremiah... - 3 views

shared by pierremallet on 15 Dec 14 - No Cached
  •  
    "Selon une étude PwC parue fin novembre, le marché de la « sharing economy » pourrait atteindre les 335 milliards de dollars (268,5 milliards d'euros) d'ici à 2025, contre seulement 15 milliards de dollars aujourd'hui (12 milliards d'euros). En France, une start-up comme BlaBlaCar symbolise l'essor de cette nouvelle mouvance. La start-up a levé 100 millions d'euros en juillet."
pierremallet

Le modèle de la mobilité de demain : le partage - 7 octobre 2014 - Sciences e... - 2 views

  •  
    "De ce fait, selon l'étude la moitié des possesseurs de voiture envisageraient désormais de prêter leur voiture de temps en temps. Et selon elle, le marché mondial des véhicules partagés et des offres de mobilité va croître de 35% par an jusqu'en 2020."
julien camacho

Octopousse & Ulule: un mariage stratégique, oui mais la communauté ? - 1 views

  •  
    Il y a quelques jours, Ulule, l'un des leaders européens du crowdfunding, annonçait le rachat d'Octopousse, plateforme bretonne née il y a deux ans. Un rapprochement plutôt sensé dans un paysage du crowdfunding très éclaté mais qui pose une question : les plateformes collaboratives ne sont-elles pas des entreprises différentes dans la mesure où les communautés co-construisent la valeur économique de celles-ci ?
julien camacho

Parole de VC: "Tout reste à faire dans l'économie collaborative" - 1 views

  •  
    Avec des participations dans KissKissBankBank, La Ruche Qui Dit Oui !, A Little Market et Sculpteo, le fonds français Xange s'est spécialisé dans des startups de l'économie collaborative. Rencontre avec Rodolphe Menegaux et Nicolas Debock, deux investisseurs visionnaires et pionniers de l'économie collaborative.
abrugiere

Silke HELFRICH : pour une société des communs - Millenaire3 - 2 views

  •  
    La reconnaissance et la préservation de ce monde commun qui fonde la vie en société (le vivant, les ressources naturelles ou encore le patrimoine immatériel de l'humanité) est au cœur de la réflexion et de l'engagement de SilkeHelfrich. Prenant acte des difficultés rencontrées par le marché et le politique pour apporter de véritables réponses à l'enjeu des communs, elle a pris le parti d'explorer, de partager et de promouvoir les solutions développées par les communautés locales elles-mêmes. Reposant sur une attention et une implication de chacun, ces initiatives témoignent de la capacité de ces communautés à se donner des normes et des règles, et parviennent non seulement à protéger durablement leurs ressources mais également à renforcer les liens sociaux qui les animent. Pour SilkeHelfrich, chacun est appelé à prendre conscience de ses responsabilités en tant que copossesseur des « choses qui nous sont communes », afin d'en tirer davantage de liberté et de communauté.
  •  
    Le terme « communs » décrit les relations particulières qui se nouent entre des ressources d'usage commun (ou biens communs) et un groupe d'individus, la communauté. Ces relations particulières ne sont pas des relations de propriété mais plutôt de possession collective et de responsabilité. Ce dont il est question n'est pas l'eau, l'atmosphère, ou les connaissances partagées sur Wikipédia, mais plutôt des humains, de leurs relations sociales et des décisions qu'ils prennent par rapport à ces bien partagés.  Le processus des communs est un processus réflexif qui fait qu'un individu qui s'engage dans la communauté contribue à transformer le monde mais se transforme lui-même en même temps. Et pour faciliter cette bascule d'une société de l'argent à une société des liens, la logique des communs est particulièrement intéressante. Plutôt que de se focaliser sur « de quoi avons-nous besoin ? », nous devrions nous demander « qu'est-ce que nous avons ? », « sur quoi pouvons-nous compter ? », et surtout « quelles ressources pouvons-nous mettre en commun ? ». En effet, c'est en mettant nos ressources en commun que nous pouvons produire de la nourriture, se loger et résoudre toutes sortes de problèmes auxquels nous sommes confrontés. Cette logique de mise en commun de ressources nous permet aussi de reprendre confiance en nous et du coup de se sentir capable de se prendre en main et gérer ces ressources ensembles.
marinealbarede

Le Monde - Vendre des objets numériques d'occasion : un business-model en con... - 0 views

  •  
    Revendre sa musique ou autres fichiers numériques stockés sur l'ordinateur est pour l'heure impossible en Europe. Pour l'instant, le droit ne prévoit pas cette éventualité et aucune société ne le propose.
julien camacho

Le supermarché collaboratif débarque à Paris - 2 views

  •  
    L'expérience des magasins coopératifs new-yorkais et londoniens pourrait servir de modèle à la création prochaine d'une succursale associative francilienne. S'ils sont connus une recrudescence d'adhésions depuis les prémisses de la crise de 2008, ces initiatives existent depuis les années 70 sous leur forme actuelle, mais leur origine remonte à l'Angleterre du XIXème siècle, et aux conséquences de la paupérisation massive de la population dans l'industrie naissante (Robert Owen). En France aussi les premières associations ouvrières sont des associations de consommation...
  •  
    ..La perspective de s'alimenter à moindre coût représente un élément de motivation fort dans la structuration de ces initiatives. Mais comme toute entreprise collective qui fonctionne sur le principe de libre adhésion (au sens coopératif d'adhésion motivée, voire passionnée), elles sont également portées et traversées par des représentations et des valeurs communes qui donnent un sens à l'action collective. On peut citer le réseau coopératif BIOCOOP comme exemple français éprouvé. Il est né à la sortie des années 70 de mouvements émergents de la société civile, porté par les premiers militant écologistes, et s'est déployé en une trentaine d'années sur l'échelle nationale. Aujourd'hui, nombreux sont les acteurs du monde militant agricole qui critiquent l'isomorphisme entre le réseau et les pratiques de la grande distribution. On peut émettre l'hypothèse que c'est en trouvant un modèle économique évacuant le bénévolat que BIOCOOP s'est progressivement éloignée de sa posture politique d'origine. Cela souligne aussi le flou juridique qui entoure les modèles d'entreprises coopératives qui fonctionnent sur les principes associatifs, ou inversement. Dans leur rapport au marché libre et concurrentiel, le législateur a échoué à proposer un statut clair dont les initiatives populaires puissent se saisir, en témoigne l'aménagement du statut coopératif le plus récent, la Société Coopérative d'Intérêt Collectif.
marinealbarede

La régulation de l'économie collaborative en question - InternetActu.net - 0 views

  •  
    L'économie collaborative pourra-t-elle continuer à ne pas être régulée à l'avenir? Les précédents et les inquiétudes de certains acteurs déjà installés laissent planer le doute, et certains de revendiquer plus de régulation, ou des services avec un engagement réel, allant au-delà de la simple plateforme et du service de base.
marinealbarede

Comment ça marche ? - 0 views

  •  
    Une plateforme d'échange BtoB permettant à des entreprises d'obtenir ce dont elles ont ont besoin contre ce qu'elles vendent via l'échange multilatéral.
julien camacho

Monecocity, la consommation collaborative conjuguée localement | - 1 views

  •  
    Au niveau global beaucoup de plateformes de consommation collaborative se développent mais qu'en est-il du niveau local ? Comment permettre le développement de ces solutions à l'échelle d'une ville, d'un département ? C'est à ces questions que compte répondre le site monecocity. Rencontre avec Francis Karoleicz, fondateur de monecocity.
julien camacho

Consommation collaborative : L'heure du virage pour les marques ? | L'Atelier Du Numerique - 0 views

  •  
    La consommation collaborative émerge dans tous les secteurs. Elle repose sur le partage d'un bien ou d'un service afin de réduire les coûts d'utilisation de celui-ci. Le mode de pensée de ce type de transaction repose donc sur une économie plus responsable qui bénéficie à la planète et au portefeuille. Pour les marques il s'agit d'un virage très compliqué à gérer, si par exemple un véhicule est partagé entre plusieurs personnes. Comment une entreprise doit-elle appréhender ses objectifs marketing et de vente ?
‹ Previous 21 - 40 of 142 Next › Last »
Showing 20 items per page