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lelapin _

"Travailler moins pour dépenser moins de pétrole !", PRIX DU GAZOLE - 0 views

  • pourquoi la semaine de 4 jours ? L'idée est d'organiser l'activité économique pour la rendre plus efficace et faire de solides économies d'énergie. On va travailler dix heures par jour, au lieu de huit, mais n'être présent que quatre jours par semaine au boulot, et non plus cinq. L’idée a déjà été expérimentée aux Etats-Unis : Un exemple, la Birmingham, en Alabama, une ville de 250.000 habitants, vient de proposer ce schéma à ses 3.400 employés municipaux. Les premières évaluations prévoient déjà des économies, pour les salariés, proches du million de dollars pour leurs seules dépenses de carburant. Voilà du pouvoir d'achat intelligemment récupéré.
    • lelapin _
       
      Pourquoi travailler 4 jours de 10 heures chaque et non pas 5 jours, moins long, dont un non déplacé compensé par le travail à la maison. N'est-ce pas l'idée du télétravail?
Nessy Lupino

Racket sur les cotisations sociales des travailleurs sans papiers | Mediapart - 0 views

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    Non content de s'en prendre violemment aux migrants, l'Etat français organise aux dépens de ceux d'entre eux qui travaillent sur son sol un véritable racket social et fiscal, que le collectif « Halte au racket sur les cotisations sociales des travailleurs sans papiers » dénonce depuis la fin de l'année 2008.
Emmanuel AURAY

La semaine bâclée du cumulard - Libération - 0 views

  • les parlementaires cumulards n’ont pas le temps d’examiner les textes que propose le gouvernement ni de contrôler l’action gouvernementale, et encore moins de concevoir eux-mêmes des lois un tant soit peu crédibles et différentes des textes issus de la technostructure dont ils se plaignent tout le temps devant leurs auditoires locaux
  • arrivé le mardi matin dans la capitale, il rejoint la réunion hebdomadaire de son groupe politique, où il discute et prend les consignes, puis il déjeune avec des collègues ou un interlocuteur parisien, le plus souvent sur un dossier local ; le mardi après-midi et le mercredi sont consacrés aux rendez-vous parisiens de l’élu local, à toutes ces «prises de contact» nécessaires pour «faire avancer les dossiers», ou, plus rarement, aux dossiers législatifs lorsque le parlementaire assume le rôle de rapporteur d’une commission législative.
  • le cumulard, c’est d’abord le boss territorial que le mandat parlementaire élève au rang de super-boss territorial. Et c’est pourquoi, à Paris, il utilise, au service de son mandat local, tout ou (une grosse) partie des moyens que le Parlement met à sa disposition, en particulier deux assistant(e)s qui se consacrent surtout à l’agenda parisien de l’élu local.
  • ...2 more annotations...
  • lorsque les parlementaires sont réunis en commission législative, c’est bien leur impréparation aux sujets abordés, leur dépendance à la technostructure et encore le faible niveau des débats : faute d’avoir pris connaissance du sujet du jour - le rapport technique rédigé par les services n’est disponible qu’à l’issue des travaux de la commission, un peu comme si le rapport d’activité n’était communiqué qu’à l’issue des conseils d’administration - les parlementaires ne peuvent guère que «réfléchir à voix haute» et se prononcer depuis leur position d’élu local.
  • les cumulards accaparent les postes au Parlement, de rapporteur législatif, de présidents de missions et de groupes d’études et, finalement, des principales instances de la décision parlementaire. N’ayant pas le temps de travailler les dossiers ni de négocier des compromis, ils n’ont plus que la discipline à faire jouer à l’égard de leurs collègues, loin, très loin d’assumer leur rôle législatif indispensable à l’équilibre des pouvoirs constitutionnels.
Emmanuel AURAY

Dominique Cardon : Pourquoi l'internet n'a-t-il pas changé la politique ? « I... - 0 views

  • Leur idée était de refaire société localement, de façon expérimentale, parce que si des individus aliénés en venaient à prendre le pouvoir, ils ne pourraient jamais installer qu’un autre système aliénant
  • c’est paradoxalement dans l’univers hippie de la contre-culture américaine que la présence des technos a été la plus forte,
  • Contre les gros ordinateurs de la technoscience, ils se sont emparés de l’ordinateur personnel comme d’un cachet de LSD : un adjuvant technologique qui peut aider à se changer et, ce faisant, à changer le monde.
  • ...13 more annotations...
  • le noyau de cet esprit libertarien est de vouloir s’émanciper de l’Etat et des contraintes régulatrices qu’aiment tant la démocratie représentative, pour occuper un autre terrain, un espace que les individus pourraient définir à leur guise. Cet autre espace, certains le définissent comme “société civile” (”multitude”, “tiers secteur” que sais-je encore), d’autres comme “marché”. Mais c’est ne pas comprendre grand-chose à l’internet que de ne pas saisir cette volonté d’auto-organisation, cette méfiance vis-à-vis de la représentation, ce souci du collectif et du partage.
  • il y a tellement d’externalités positives dans cet espace que le marché n’y survivrait pas très longtemps s’il n’était constamment borduré par des logiques d’échanges et de symbolisation qui se laissent difficilement enfermées dans le calcul des intérêts.
  • les élites culturelles universalisent leur propre désir de société et croient que parce qu’ils ont des pratiques ouvertes, elles sont immédiatement accessibles à tous ! C’est ce que Bourdieu appelait l’ethnocentrisme de classe, cette maladie typiquement “intellectuelle” de généraliser aux autres sa propre vision du monde.
  • Il n’y a rien de moins plat et hiérarchique qu’internet avec ses métriques de visibilité et d’autorité (l’hyperlien notamment). Simplement, la hiérarchie n’est plus faite ex ante, mais ex post ; elle n’est plus produite par une autorité spécialisée, mais collectivement par les internautes et les algorithmes qui régissent les classements sur internet.
  • Penser que tout ce qui est sur internet est “public”, c’est confondre la définition juridique (ce qui est peut être vu) avec la définition normative (ce qui mérite d’être vu) du caractère public d’une information. Or, sur l’internet, certains propos sont très peu visibles et c’est très bien comme ça. D’autres sont très visibles parce qu’ils ont été collectivement appréciés par les internautes.
  • Castells qualifie de “politique du scandale” au sens où la seule manière de s’opposer est de scandaliser la personnalité centrale de l’autre camp, puisqu’il n’y a plus de programme à contredire.
  • En créant des ponts entre nos conversations et l’espace médiatique, il encourage les capacités d’auto-organisation, de sensibilisation, de mobilisation “par le bas” de publics concernés. Cette ouverture permet de donner de la visibilité à des formes de résistance qui ne sont pas prise en charge dans l’espace politique traditionnel.
  • Dans la pratique, on constate une interdépendance très forte entre le travail des professionnels de l’information et les internautes, les mécanismes de sélection sociale et culturelle continuent à jouer pleinement chez les internautes, les rapports de force et les logiques commerciales sont omniprésents, etc. Mais cela n’empêche pas la fiction agissante d’une libération des capacités d’expression d’activer des ressorts démocratiques essentiels, même si très imparfaits.
  • Derrière le succès du texte d’Etienne Chouard dans la campagne pour le non au référendum sur le Traité constitutionnel, il y a la mobilisation d’un nombre considérable d’organisations (Attac, Copernic) et de listes et de sites web pour relayer, mobiliser et engager le débat.
  • ce qui est en jeu dans ces articulations, c’est le respect de l’autonomie des internautes.
  • L’internet nous donne la possibilité de faire ces engagements avec des coûts d’entrée qui sont faibles.
  • nous avons besoin d’être beaucoup plus réflexif. On peut dénoncer le copinage journalistique ou politique et le pratiquer ouvertement sur les sites sociaux comme Twitter. Ou bien, aller chercher n’importe quelle information dans les bas-fonds du web pour lui donner une visibilité qu’elle ne mérite pas
  • la perception du fonctionnement des algorithmes, les manipulations dont ils font l’objet, la compétition qui oppose différents types de classements ne font pas partie de la literacy ordinaire des internautes. Et sans doute, cette vigilance est-elle indispensable si nous ne voulons pas que l’espace public de l’internet soit normalisé
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    Pourquoi l'internet n'a-t-il pas changé la politique ? Peut-être parce que la politique sur internet n'est pas là où, par habitude, on va la chercher, suggère-t-il. Voire même parce que les formes représentatives traditionnelles ne sont pas nécessairement solubles dans l'internet. Et que l'internet nourrit peut-être un autre espace démocratique que celui de la compétition pour la représentation politique
lelapin _

Minima sociaux : le gouvernement cherche à encourager l'intéressement des sal... - 0 views

  • Avantages et pénalités fiscales pour les entrepreneurs. Si une entreprise conclut un accord d'intéressement pour la première fois ou révise son accord d'intéressement pour augmenter les primes distribuables, l'entrepreneur recevra un crédit d'impôt sur les sociétés. Ce crédit sera égal à 20 % du montant des primes distribuées dans le cas d'un premier accord, ou à 20 % du surcroît de sommes distribuées lorsqu'il ne s'agit pas du premier accord. Au contraire, si une entreprise ne respecte pas, dès la fin de la législation actuelle en 2009, l'obligation d'ouvrir une négociation annuelle sur les salaires, elle subira une réduction de 10 % des allègements de cotisations patronales. Selon le document, un quart des entreprises ne respecte pas cette obligation .
    • lelapin _
       
      en ce qui me concerne ce serait une chose tout à fait saine que les salariés deviennent partenaires et actionnaires au sein de l'entreprise dans laquelle ils travaillent. Contrairement à ce que dit la Gauche (qui ne comprend toujours pas comment fonctionne l'économie en règle générale) trationnelle cela permettrait de donner un pouvoir réel aux travailleurs.
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