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Tibor Katelbach

Collective Intelligence 2012 - 0 views

  • Collective intelligence has existed at least as long as humans have, because families, armies, countries, and companies have all--at least sometimes--acted collectively in ways that seem intelligent. But in the last decade or so a new kind of collective intelligence has emerged: groups of people and computers, connected by the Internet, collectively doing intelligent things. For example, Google technology harvests knowledge generated by millions of people creating and linking web pages and then uses this knowledge to answer queries in ways that often seem amazingly intelligent. Or in Wikipedia, thousands of people around the world have collectively created a very large and high quality intellectual product with almost no centralized control, and almost all as volunteers! These early examples of Internet-enabled collective intelligence are not the end of the story but just the beginning. And in order to understand the possibilities and constraints of these new kinds of intelligence, we need a new interdisciplinary field. Forming such a field is one of the goals of this conference.We seek papers about behavior that is both collective and intelligent. By collective, we mean groups of individual actors, including, for example, people, computational agents, and organizations. By intelligent, we mean that the collective behavior of the group exhibits characteristics such as, for example, perception, learning, judgment, or problem solving.
Tibor Katelbach

La démocratie participative absorbée par le système politique local - Métropo... - 0 views

  • La démocratie participative absorbée par le système politique local
  • Alors que les dispositifs participatifs ne cessent de se multiplier, l’abstention aux élections locales n’a jamais été aussi forte. Loin de renouveler la « démocratie locale », les expériences de participation tendent plutôt à renforcer des pouvoirs locaux de moins en moins proches de leurs citoyens.
  • La démocratie participative est devenue une norme de l’action publique locale. Chez les élus locaux, il est désormais considéré comme incontournable d’associer les citoyens aux décisions entre deux échéances locales et de le faire savoir. L’augmentation régulière de l’abstention aux élections, qui affaiblit la légitimité des élus, renforce encore la prégnance de « l’impératif participatif » qui a saisi l’ensemble des pouvoirs locaux.
  • ...13 more annotations...
  • L’heure est à l’innovation, à l’expérimentation et au bricolage de nouveaux outils.
  • Il s’agit, à ce niveau, d’enrôler les citoyens pour débattre d’enjeux quotidiens et de cadre de vie qui convoquent leur expertise d’usage. Mais l’injonction à participer a désormais dépassé l’échelle micro-locale pour se disséminer dans l’ensemble des pouvoirs locaux, selon une logique de circulation mimétique qui a sans doute été jusque-là trop peu interrogée
  • Les élus sont d’autant plus libres d’organiser l’offre participative que les mobilisations sociales et politiques en faveur de la participation sont assez limitées. Un des paradoxes de la démocratie participative est, d’ailleurs, qu’elle se développe alors qu’on peut mettre en doute l’existence d’une réelle demande sociale de participation, laquelle est le plus souvent construite par les élus pour légitimer leurs dispositifs que véritablement portée par les citoyens.
  • permettent de toucher par le tirage au sort le citoyen « profane » et cherchent à concilier la logique du nombre (ou du moins celle de la représentativité) et de la raison (à travers la mise en place de procédures obéissant au modèle de la démocratie délibérative). Les budgets participatifs font leur apparition et introduisent le citoyen, ou le lycéen, dans des processus décisionnels où ils n’avaient pas leur place.
  • La dernière réforme territoriale de 2010, votée sous le gouvernement Fillon, a, quant à elle, complètement évacué la problématique de la citoyenneté local
  • le design organisationnel des dispositifs est laissé à la discrétion des autorités locales. La participation est le plus souvent conçue par les élus en fonction de leurs objectifs propres et de leurs stratégies locales
  • Les jurys citoyens qui s’y développent
  • Sous le label « démocratie participative » coexistent des procédures, des techniques et des démarches d’inégale importance dont l’objectif commun est d’« associer » les citoyens à la prise de décision politique. Le mot « participation » subsume ainsi des logiques diverses : communication, information, consultation, concertation, implication, co-décision, délibération, etc. La frontière entre ces diverses approches se révèle poreuse et le lien avec la décision reste souvent obscur. On peut, par exemple, faire de la simple information sous couvert de participation. Les élus cherchent, d’ailleurs, à entretenir cette confusion et ces ambiguïtés, tout en tirant les profits symboliques attachés à la « participation ».
  • Le rôle des dispositifs est ici de retisser du « lien social », de reconstruire une confiance mutuelle entre citoyens et administrations locales.
  • un contexte de « crise de la représentation » de plus en plus intériorisé par les élus, qui font feu de tout bois pour susciter de l’assentiment, de la loyauté et de la légitimité
  • semblent jouer un rôle critique croissant.
  • La participation aux élections municipales n’a cessé de baisser depuis 1983
  • l’abstention a atteint un nouveau record des élections locales sous la Ve République (53,6 %).
Tibor Katelbach

Les élus municipaux représentent-ils le peuple ? Portrait sociologique - Métr... - 0 views

  • certains individus préfèrent sous-estimer leur catégorie socioprofessionnelle (CSP) pour se « rapprocher » de leurs électeurs ; d’autres la surestiment ou la masquent, quand ils jugent que cela peut améliorer leur image. Souvent, la profession est indiquée sur les tracts électoraux et obéit ainsi à une stratégie de présentation publique de soi
  • Malgré ces imperfections, l’analyse de ces données permet de montrer que plus la fonction politique occupée est élevée, plus la sélection sociale pour y accéder est discriminante.
  • (55 % des communes ont aujourd’hui moins de 500 habitants et 86 % moins de 2 000)
  • ...2 more annotations...
  • Les maires retraités sont, eux, en très forte augmentation : ils ont quasiment doublé en vingt-cinq ans.
  • En l’absence de toute politique de formation permettant à tout un chacun de se préparer au travail d’élu, ce sont les discriminations sociales habituelles qui prennent le dessus et favorisent ceux qui ont acquis, par leur milieu familial et/ou durant leur cursus de formation et au cours de leur pratique professionnelle, les compétences et les motivations nécessaires à l’exercice du pouvoir.
Tibor Katelbach

Changing Democracy With Code: A Word From The Developers - Political Memory - 1 views

  • Bridging the gap between politics and citizens
  • Changing Democracy With Code: A Word From The Developers
  • During an election
  • ...14 more annotations...
  • help you make a choice
  • the political world and the citizen world, our world
  • They barely talk to each other and they hardly understand each other.
  • This situation is barely acceptable. Let’s be proactive citizens: how can we try to improve this?
  • The complexity of the system, as in “the political system is horribly complex, it’s hard for a citizen to really understand it”.
  • let’s say that we have coded it, and let’s call it our magic box.
  • Now, let’s use our magical box. We are asked to choose between several candidates, so let’s ask our box to tell us what it knows about them. Well here’s the catch: we end up with a mountain of data that we can barely understand. Complexity just hit us.
  • Complexity is annoying because we can’t solve it by coding.
  • Magic box + la Quadrature du Net’s voting recommendations = semi accurate concrete data on who represents me the best
  • Magic box + voting recommendation of all citizen groups that represent our interests = way more accurate concrete data of who represents me the best
  • In fact, what I want to see (and to build) in the future would be a website that allows me, and every citizen, to: Select a series of representatives I can vote for; Select a list of citizen groups that I personally trust to represent my interests; Decide if I want to give certain groups more weight to better represent my concerns and priorities (we could even imagine giving negative weight to citizen groups we dislike); And have in result concrete data on which I can rely to make my choice.
  • The best reward will come when elected representatives start realising that we actually know what they are doing and that their actions matters. Guess how they will change their behaviour.
  • What this magical box is offering you is a paradigm shift, a bridge between those two worlds for them to better understand each other and to work together again
  • Memopol is the magical box we are building. It’s time for us, citizens, to take back our role in politics.
Tibor Katelbach

FixMyStreet - 0 views

  • Report, view, or discuss local problems (like graffiti, fly tipping, broken paving slabs, or street lighting)
Tibor Katelbach

e-Révolutions et Révolutions | Démocratie & Participation - 0 views

  • Les mobilisations matérialisées à travers l’utilisation des réseaux numériques produisent-elles de nouvelles pratiques de politisations ? Représentent-elles des mécanismes d’adaptation de pratiques de participation politiques plus traditionnelles déployées via de nouveaux outils ? Au-delà de l’expression d’une classe générationnelle, s’agit-il d’une réelle transformation des objectifs institutionnels, d’une refondation des pouvoirs et d’une mutation des normes fondamentales ?
  • la révolution Web 2.0 a-t-elle véritablement eu lieu ?
  • en Tunisie, il y avait 1,5 million de personnes connectées simultanément à Facebook dans un pays de 11 millions d’habitants. En Egypte, l’appel à manifester le 25 janvier 2011 lancé sur Facebook par le site «  a été vu par plus de 500 000 personnes
  • ...5 more annotations...
  • a brutalement révélé l’absence de cette « e-génération
  • Le résultat des élections constituantes, législatives, présidentielles, qui a traduit un retour des des rapports de forces classiques
  • les animateurs web de ces révolutions, n’ont-ils été que les « idiots utiles » d’une révolution manipulée par d’autres plus au contact d’une réalité qui leur échappait ?
  • Y a-t-il eu substitution des enjeux ? A-t-elle été confisquée ? Que reste-t-il de cette « e-révolution » et que sont devenus ceux qui ont eu le courage de s’y lancer ?
  • ce colloque a été organisé. Son objet ne peut être encore de prétendre à l’explication. Il importe pour autant de tenter d’en dissiper certaines zones d’ombre, d’en définir le véritable contour et d’essayer, en croisant les points de vue, les angles et les genres, de saisir un évènement dont la projection dans le futur peut être polymorphe
Tibor Katelbach

Donner, échanger sans argent - Vidéo Dailymotion - 2 views

  • Face aux excès de notre société de sur-consommation, de plus en plus de citoyens retrouvent la voie de l'échange, du partage et du don. Cela vaut pour la Tente des Glaneurs à Lille qui a choisi de redistribuer gratuitement des denrées qui auraient fini à la benne, cela vaut aussi pour les Systèmes d'Echange Locaux qui créent des communautés d'échanges de biens et de services. Et puis encore, cela vaut pour ces deux garagistes lillois de l'Atelier solidaire qui ont choisi de partager leurs connaissances plutôt que d'assommer des clients
Tibor Katelbach

UCL - Représentative ou participative, la démocratie ? - 0 views

  • Dans le cadre de son cours "Théories de la démocratie" qu'elle donne sur le site de l'UCL à Mons, le Pr Nathalie Schiffino a invité ses étudiants au débat. Quels sont les particularités de la démocratie dite réprésentative ? Et celles de la démocratie participative ? Et leurs inconvénients ?
  • consulté les théories existantes et les auteurs ayant écrit sur le sujet.
  • vidéo de 13 minutes, didactique
Tibor Katelbach

L'idée du G1000 - 0 views

  • Laissons aussi les citoyens délibérer, et pas seulement les représentants du peuple. C’est l’appel que lance un groupe de penseurs et de gens d’action indépendants. Leur proposition : le G1000, un sommet à Bruxelles le 11 novembre de mille citoyens choisis au hasard qui délibèrent sans parti pris.
  • Si le peuple manque d’expertise, il a le privilège d’être libre.
  • nouvelle impulsion pour sortir de l’impasse dans laquelle se trouve ce pays depuis de nombreuses années : le G1000, une réunion au sommet de mille citoyens de ce pays, choisis au hasard.
  • ...39 more annotations...
  • Dans une démocratie, les citoyens choisissent de se gouverner eux-mêmes, soit par suffrage direct
  • soit par suffrage indirect
  • Étant donné que tout le monde ne peut ou ne veut s’occuper en permanence de la gestion d’un pays, les citoyens désignent à intervalles réguliers quelques individus pour le faire à leur place. Ce système s’appelle la démocratie représentative : la démocratie par délégation.
  • Néanmoins, deux siècles après, nous nous heurtons aux limites de cette formule.
  • Les partis ne rationalisent plus la société, mais se coincent mutuellement en permanence.
  • la fidélité au parti n’existe plus.
  • Les syndicats, les caisses d’assurance-maladie et les coopératives faisaient office de relais entre la masse et le pouvoir
  • Cette interface est moins évidente aujourd’hui.
  • avec l’arrivée d’un internet bien plus actif, appelé le web 2.0. Le citoyen
  • n’a jamais auparavant été aussi rapidement informé des développements politiques qu’aujourd’hui. On peut à chaque instant suivre et commenter les péripéties, mais on ne peut voter qu’une fois tous les quatre ans.
  • Pourquoi s’étonner dans ce cas que les forums en ligne de sites d’information débordent de glapissements frustrés ? Le citoyen n’a donc jamais été aussi émancipé et averti – et parallèlement aussi impuissant. Le politicien n’a jamais été aussi visible – et parallèlement aussi déphasé.
  • Le corps politique en l’an 2011 semble être une équipe méfiante de chirurgiens cardiaques qui doivent pratiquer une opération extrêmement compliquée, mais au milieu d’un stade de football dont les tribunes débordent de spectateurs. La foule hurle, les supporters ont envahi le terrain et à chaque geste de l’un des cardiologues, crient ce que les médecins doivent ou ne doivent pas faire,
  • Aucun des chirurgiens n’ose encore bouger. Tout le monde attend. Les heures s’écoulent, le sort du patient ne compte plus.
  • La démocratie s’est corrompue en une dictature des élections.
  • L’innovation est stimulée dans tous les domaines, sauf dans celui de la démocratie.
  • Les entreprises, les scientifiques, les sportifs et les artistes doivent innover, mais quand il s’agit d’organiser la société, nous faisons encore appel en 2011 aux schémas hérités de 1830.
  • les citoyens sont invités à prendre activement part aux délibérations portant sur l’avenir de leur société.
  • Des citoyens qui ont l’occasion de se concerter peuvent trouver des compromis rationnels à condition d’être renseignés et d’en recevoir le temps.
  • les représentants du peuple se sont trop occupés de la réforme de l’État pour prodiguer une attention sérieuse à la réforme de la démocratie.
  • La démocratie délibérative pourrait bien être la démocratie de l’avenir.
  • Est-ce comparable à un référendum ? Non. Dans un référendum, on ne fait que voter, dans la démocratie délibérative, il faut aussi parler et écouter.
  • G1000, le sommet des citoyens
  • réunir mille citoyens
  • tirés au sort
  • D’abord nous lancerons une enquête de grande envergure en ligne
  • Quelles sont les priorités.
  • un petit groupe de citoyens tirés au sort
  • approfondir et former concrètement les décisions du sommet
  • Un sommet des citoyens tel que le G1000 peut être comparé à un jury d’assises. Si des citoyens lambda sont en mesure de décider d’une vie humaine, ils sont en état de se faire une opinion nuancée et mûrement réfléchie sur certains aspects cruciaux de l’avenir d’une société.
  • Indépendance
  • Ouverture
  • Dignité
  • Optimisme
  • Complémentarité
  • Participation
  • Transparence
  • Diversité
  • Opportunité
  • Dynamique
Tibor Katelbach

La démocratie participative locale : un outil précieux pour le « vivre ensemb... - 0 views

  • L’idée était de porter devant la population rezéenne des questionnements qui se posent à la ville et de donner au citoyen un outil pour proposer des solutions
  • Composée à l’heure actuelle de 55 membres, le conseil est divisé en quatre collèges 
  • associatif, professionnel, habitants et syndical.
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  • Les membres se réunissent lors de séances plénières ou d’ateliers organisés par le conseil. Le choix des sujets abordés est fait sur des propositions des élus. Pour chaque atelier, il y a un animateur et un rapporteur pour réguler le débat et faire un compte-rendu. Les avis minoritaires sont également notés et transmis aux élus. Un atelier dure environ une année
  • des réponses sont formulées puis votées au cours d’une séance plénière rassemblant tout le CESC. Une fois validées, ces réponses sont transmises aux édiles sous la forme d’un avis, lequel sera lu en conseil municipal par le président du CESC
  • Les élus expriment alors leur sentiment à l’égard du texte, puis donnent la réponse de la ville en prenant un engagement à moyen-long terme lorsque l’avis est adopté.
  • Le conseil est un outil précieux de dialogue citoyen, de débat sur les problèmes qui se posent à la Ville. On a besoin de ces espaces de discussion, de la construction d’une parole collective et d’une confrontation des points de vue pour faire avancer les choses.
  • créer une maison de la démocratie qui serait un lieu de décentralisation de l’information
  • un vibrant appel à la population
  • permettant d’informer, de débattre et de consulter les initiatives de la ville.
  • les entrepreneurs sont contents d’apprendre l’existence du conseil, mais ils n’ont pas le temps ou pas la volonté de s’y impliquer. Le CESC mériterait pourtant d’être plus exploité par les entreprises
  • Il faut continuer la politique d’ouverture du conseil, permettre à toujours plus de personnes de nous rejoindre, afin d’améliorer la représentativité du CESC et l’assiduité des participants ».
  • Avec une moyenne d’âge supérieure à 40 ans, il devient en effet important de capter l’attention des jeunes en les encourageant à s’investir dans la vie politique locale.
  • Plusieurs membres du conseil ont déjà fait remarquer le temps parfois très long que prennent les élus pour exprimer leurs réponses.
  • aller plus loin sur des projets plus ambitieux, et notamment dans le domaine de l’économie. « Les membres du CESC n’osent pas parler d’économie. C’est pourtant un point crucial.
  • Le budget alloué chaque année pour garder le conseil fonctionnel ? Seulement 15 000€
  • « Engagez-vous ! Il y a des places à prendre : plus les gens seront nombreux, plus leur avis sera représentatif de la cité. Le renouvellement des membres est indispensable pour que le fonctionnement du CESC se perpétue ».
sylvainb

Environnement: en France, le public participera aux décisions à partir de 2013 - 0 views

  • PARIS - (AFP) - La participation du public à l'élaboration des décisions concernant l'environnement, prévue par la Constitution, sera effective à partir de 2013 et s'appliquera notamment aux futures demandes de permis de recherche d'hydrocarbures
  • a Constitution depuis février 2005, dispose dans son article 7 que "toute personne a le droit (...) de participer à l'élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l'environnement"
  • principe de participation n'était pas correctement appliqué.
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  • Si elle ne change rien pour les permis déjà accordés, cette loi soumet à la participation du public les futures demandes de permis exclusifs pour la recherche d'hydrocarbures, dont les gaz de schiste, estime-t-il.
Tibor Katelbach

How to Govern Intelligently in the 21st Century - YouTube - 0 views

  •  
    Nicolas Berggruen Institute and Nathan Gardels is editor of New Perspectives Quarterly. democracy is getting harder and harder to accept reforms and to reform itself power must govern downward towards the grass roots involve & decision dvision knowledgeeable democracy and acountable meritocracy lack of democratic legitimacy consensus building institutions
Tibor Katelbach

Akoma Ntoso - Site - 0 views

  • Akoma Ntoso (“linked hearts” in Akan language of West Africa) defines a “machine readable” set of simple technology-neutral electronic representations (in XML format) of parliamentary, legislative and judiciary documents.   Akoma Ntoso  XML schemas make “visible” the structure and semantic components of relevant digital documents so as to support the creation of high value information services to deliver the power of ICTs to increase efficiency and accountability in the parliamentary, legislative and judiciary contexts.
Tibor Katelbach

Exploring what open government means at Code for America Summit | opensource.com - 1 views

  • It’s being open, inclusive, and collaborative with citizens so they feel comfortable with what government is doing. So that citizens want to be part of the solution. It’s also about driving efficiencies from the governments. We do things based on tradition, not law and policy. The open government process is a vehicle to fix that
  • Governments that work like the Internet. Networked. Generative. And reflective of who we are
  • What does open government mean to you?
  • ...2 more annotations...
  • Open government means the re-establishment of trust in democratic values. Today, we hear a lot of noise in politics. The open government approach is non-partisan and it’s really about connecting people back to their communities. That means people will be connected with each other. And that’s exciting!"
  • "I think of it in slightly different terms. A government is for citizens and it must deliver a cycle of trust so that citizens can participate in government. There are three design values that are part of this: respect, participation, and unity. The important one is unity, because it brings citizens and government back on the same side.
Tibor Katelbach

Et si les collectivités locales favorisaient le crowdfunding ? - 1 views

  • une plateforme permettant aux citoyens et à la collectivité territoriale de financer des entreprises locales.
  • En partenariat avec la plateforme de prêt en P2P Funding Circle,
  • Une collectivité britannique utilise le crowdfunding pour financer les entreprises locales
  •  
    "une plateforme permettant aux citoyens et à la collectivité territoriale de financer des entreprises locales."
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