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Tibor Katelbach

Éthique et solidarité sur les réseaux sociaux numériques | Le Cercle Les Echos - 1 views

  • engagement éthique et de solidarité.
  • tenté de mettre en évidence de façon concrète la façon dont les nouvelles technologies démultiplient l’impact que chacun peut avoir sur le monde
  • mouvement open source et évidemment de financement participatif
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  • Les nouvelles technologies peuvent changer le monde grâce au collectif
  • ". Les initiatives de crowdfunding, crowdmapping, crowddigning, crowdsourcing nous montrent qu’en agissant chacun à notre niveau, nous pouvons participer au changement que nous voulons voir dans le monde".
  • à tout individu notamment aux personnes ayant des liens de sociabilité faible, l’opportunité de se connecter et de tisser des liens à distance en temps réel avec des personnes connues ou inconnues, et en favorisant l’émergence de nouvelles formes de sociabilité, ainsi que de nouvelles formes de mobilisation et d’action collective.
  • Le langage numérique est ainsi devenu l’une des productions les plus et les mieux partagées de la globalisation.
  • Les initiatives et actions de la solidarité numérique sont légion.
  • Les multiples initiatives relevant du mécénat de compétence les engagent sur des projets dans lesquels associations et salariés volontaires agissent ensemble pour faire progresser l’intérêt général
Tibor Katelbach

Vers des plateformes réellement coopératives « InternetActu.net - 1 views

  • La plupart des technologies inventées (radio, télévision, internet, blockchain…) prônent dans leurs premières versions un idéal de liberté et de démocratie, de décentralisation. Mais récupérées par “l’ordre social en place” (entreprises, gouvernements et surtout investisseurs…) elles tendent à devenir des monopoles centralisés bien loin de leurs idéaux originels.
  • Malgré tous les discours sur le partage et la démocratisation, l’industrie de la technologie est devenue accro à un modèle d’investissement à la recherche de retour sur investissements massifs et à court terme.
  • “l’économie solidaire mérite un internet de la solidarité”.
  • ...22 more annotations...
  • A l’inverse, l’économie sociale et solidaire, elle, est créative et énergique
  • où les gens peuvent cocréer des liens de solidarité et pas seulement accepter les modalités des services en ligne”.
  • Nous ne sommes pas les seuls à vouloir un internet dont les gens partagent la propriété collective
  • Si l’internet a répandu l’esprit du partage, il l’a pour l’instant trop peu étendu au partage de la propriété réelle des plateformes, estiment les chercheurs
  • rassembler le mouvement coopératif et la culture technique pour qu’ils trouvent ensemble leurs points communs et leurs modalités d’action
  • “Les entreprises coopératives exigent un autre type d’écosystème que celui qui alimente les monopoles d’aujourd’hui.”
  • Uber ou Airbnb, par leur idéologie de domination sont semblables à l’Etoile de la mort de la Guerre des étoiles : elles exploitent l’insécurité économique et le vide politique actuel de réponses autour des transformations qu’elles imposent. Leur modèle d’affaires repose sur le précariat
  • Elles se drapent dans le manteau du progrès, du libre marché et du bien commun pour asseoir leur domination.
  • leur développement nécessite néanmoins d’améliorer l’incubation des modèles coopératifs, d’améliorer les services comme le niveau de coopération (notamment au niveau de la gouvernance de ces structures), de créer un écosystème qui distribue la richesse plutôt que de la retenir et enfin de construire un mouvement de masse.
  • l’économie du partage n’est rien d’autre qu’un système de travail à la demande, où les plateformes sont avant tout des monopoles de la logistique qui restructurent le travail organisé comme les infrastructures mises en place pour le réguler en déplaçant les risques
  • sur les travailleurs eux-mêmes
  • Un travailleur américain sur trois est un entrepreneur indépendant rappelant quand ils sont sans emploi, ils ne sont que des travailleurs sans droits. Pour Scholz, les entreprises qui profitent de cet état de fait ne célèbrent ni l’innovation ni l’efficacité : elles favorisent l’érosion des droits, esquivent les régulations, contournent les lois du travail.
  • dépasser les constats pour imaginer des alternatives. Ce qui nécessite de réinventer la propriété, la gouvernance démocratique et la solidarité pour que chacun puisse récolter les fruits de son travail.
  • imaginer développer des services publics participatifs
  • Les plateformes coopératives ne sont pas une solution miracle pour la société”, conclut Trebor Schulz. “Mais elles sont un véhicule pour que les personnes qui ont des vues similaires puissent organiser et lutter pour les droits fondamentaux des travailleurs”.
  • Les démocratiser permettrait de dégrouper la relation de pouvoir entre le travailleur et ses supérieurs. Mais le principal défi consiste à convaincre les gens que les coopératives sont possibles et bénéfiques pour tous et qu’elles ne se résument pas à la dilution de la décision comme on l’entend trop souvent, mais de donner une voix à tous pour rééquilibrer les pratiques
  • les coopératives sont similaires à l’idéologie du logiciel libre”
  • Uber ne sait pas comment générer un revenu constant à ses auto-entrepreneurs.
  • Plutôt que de développer des applications en concurrence les unes des autres, il semble plus important de réfléchir à un écosystème pour créer des coopératives sous forme de bien commun ouvert, estime le chercheur.
  • WeAreDynamo, qui permet à tout utilisateur de la plateforme d’Amazon de dire et parler de ses griefs vis-à-vis des microtâches qui lui sont assignées
  • Turkopticon, créé par des chercheurs, était la seule solution pour noter les employeurs et les tâches proposées et répondre aux conditions de travail précaires établies par Amazon. Un moyen pour que la technologie rende des comptes. L’entraide mutuelle responsable est une réponse aux problèmes sociaux auxquels les gens sont confrontés en ligne, estime Nathan Matias, à l’image de Block Together ou du Block Bot pour aider les victimes de harcèlement sur Twitter à bloquer leurs harceleurs ou encore de Snuggle, un robot qui aide les Wikipédiens à distinguer les nouveaux éditeurs coopératifs des vandales pour rendre l’encyclopédie plus ouverte aux nouveaux arrivants. “Si le code est la loi en ligne et les concepteurs de plateformes ses législateurs, qui identifie les problèmes et définit les objectifs de ces lois ?”
  • Pour répondre à la montée des inégalités, il va y avoir besoin d’une diversité de stratégies, comme le montrent bien ces initiatives, conclut Yochai Benkler. Reste que l’enjeu n’est pas de contourner les Etats, mais à nous engager avec lui pour changer les institutions. Pas si simple. Comme le souligne encore Nathan Matias : l’entraide mutuelle responsable imaginée par ceux qui ont conçu le Turkopticon, il y a déjà 7 ans, n’a eu aucun impact sur la plateforme développée par Amazon. La surveillance citoyenne est efficace lorsqu’elle parvient à convaincre les puissants de la prendre au sérieux. Et pour cela, développer des plateformes, même “réellement coopératives”, ne suffit pas.
Tibor Katelbach

DOSSIER ÉCONOMIE ALTERNATIVE (I) : Salariat et impuissance VS petites entrepr... - 0 views

  • il n’y a plus vraiment de projet alternatif de société qui soit au devant de la scène, qui ait su convaincre et rassembler une part significative des citoyens. D’aucuns ont pu parler de « fin de l’histoire », de l’avènement universel et définitif de la démocratie de marché, en souscrivant à la formule de Churchill selon laquelle le système dans lequel nous sommes serait le moins mauvais.
  • Salariat et impuissance VS petites entreprises autonomes et solidarités locales : un projet de société non débattu
  • RETROUVER L’ESPOIR D’AMÉLIORER LA SOCIÉTÉ DE MANIÈRE PACIFIQUE, TRANQUILLE ET RATIONNELLE
  • ...15 more annotations...
  • Faute d’alternative, et par peur que toute tentative de changement radical de la société soit nous fasse perdre notre qualité de vie et nos avantages, soit, pire, conduise à un remède bien pire que le mal (fascisme, totalitarisme, destruction des libertés…) nous nous résignons à un a-politisme dégoûté
  • et passons notre temps à critiquer nos dirigeants, sans toutefois bien savoir ce qu’ils devraient faire.
  • Si nous envisageons l’histoire du développement économique dans sa globalité, il n’y a rien d’étonnant à conclure qu’il a partout été imposé par le haut.
  • L’imposition des dogmes, de la législation libérale et de la société de marché (tout est fait notamment pour que la terre et le travail, jusqu’alors considérés comme hors commerce, deviennent des marchandises comme les autres, soumises à la loi de l’offre et de la demande
  • Autonomies économiques et autonomies politiques sont indissociables.
  • C’est pourquoi, aux États-Unis par exemple, quand apparait le salariat, il est tout de suite perçu comme une nouvelle forme d’esclavage et considéré comme très très dangereux pour la société. « Les travaux historiques récents sont curieusement silencieux sur l’opposition largement répandue au travail salarié des XVIII et XIX siècles (…) Le malaise général lié à l’ordre nouveau économique trouvait pourtant son opposition la plus saisissante dans la condamnation presque universelle du travail salarié. Langton Byllesby, un imprimeur de Philadelphie, avançait en 1826 que le travail salarié, qui mettait fin au « choix de travailler ou non », était l’ « essence même de l’esclavage ».
  • out homme n’ayant comme moyen de subsistance que ce que lui rapporte son travail ne peut être un homme libre, dans le présent état de la société. Il se doit d’être un humble esclave du capital.
  • Un combat mettant en avant la tradition de Républicanisme participatif et de Démocratisme radical et le fait que tout être humain non seulement était compétent pour participer à la prise de décision politique, mais devait le faire, pour le bien de tous.
  • MARCHANDISATION DU MONDE ET DESTRUCTION DES PETITS PRODUCTEURS AU BÉNÉFICE DES GRANDES ENTREPRISES : UN MOUVEMENT IMPOSE PAR LE HAUT à RENVERSER PAR LE BAS
  • Une loi du marché qui conduit automatiquement aux concentrations et absorptions, et à la destruction des petites entités productives : une loi du marché, qui sous couvert de concurrence, détruit en réalité toute concurrence, ou plutôt impose une concurrence unique entre une poignée de grands géants économiques et financiers, aux dépens des milliards d’êtres humains qui ne comptent pas parmi leurs actionnaires.
  • Il ne s’agit pas de mettre fin au salariat. Il s’agit de mettre un terme à sa généralisation excessive, pour permettre au maximum de personnes d’être maîtresses d’elles-mêmes et de leur activité, de leurs moyens de production, de leur travail et de leur vie.
  • Enfin, nous ne ferions pas ce que le « marché » nous ordonne de faire, mais ce que nous voudrions faire au service de notre communauté.
  • Nous consacrerions nos vies et nos énergies à quelque chose dont nous pourrions être fiers.
  • La seule difficulté, au-delà du défaut de volonté politique, à une complète alternative sociale et économique de ce type, est la non-viabilité financière de ces petites entreprises artisanales, industrielles ou agricoles face à la concurrence des grands groupes, des multinationales et des produits importés d’Asie ou d’ailleurs et ne coûtant rien. De nombreux outils économiques existent qui nous permettraient de soutenir un tel changement de société. Mais nous ne pourrons sûrement pas faire l’impasse sur des mesures protectionnistes sectorielles
  • La seule solution pour faire face à la fois à nos problèmes de société et à la déliquescence de l’économie nationale et du système économique international est de recréer de vraies économies locales, basées sur nos besoins, nos désirs et nos aspirations, librement.
Tibor Katelbach

Donner, échanger sans argent - Vidéo Dailymotion - 2 views

  • Face aux excès de notre société de sur-consommation, de plus en plus de citoyens retrouvent la voie de l'échange, du partage et du don. Cela vaut pour la Tente des Glaneurs à Lille qui a choisi de redistribuer gratuitement des denrées qui auraient fini à la benne, cela vaut aussi pour les Systèmes d'Echange Locaux qui créent des communautés d'échanges de biens et de services. Et puis encore, cela vaut pour ces deux garagistes lillois de l'Atelier solidaire qui ont choisi de partager leurs connaissances plutôt que d'assommer des clients
Tibor Katelbach

À propos : Reflets - 0 views

  • Le reflet n’existe pas sans le modèle originel. Reflets.info fait le pari de devenir le reflet d’une société, des individus qui la composent. De leurs interrogations, de leurs inquiétudes, mais surtout, de leurs espoirs.
  • Des espoirs de démocratie, de partage, de solidarité, de bien-être et de tant d’autres choses. Reflets.info est le point de rencontre entre des journalistes, des hackers et ceux qui se sentiront concernés par notre démarche.
  • Le site est né d’un constat. Celui d’une presse qui s’auto-détruit. Dans une course effrénée à l’immédiateté, les journaux négligent la réflexion, ne prennent plus le temps d’analyser les faits, d’en tirer des enseignements, encore moins de faire de la prospective. Il faut être le premier à répercuter une information. Quitte à la développer au fil de la journée. Cette démarche pose un petit problème : une information chasse l’autre en permanence. In fine, rien n’est approfondi. Quant au droit de suite, il est marginal, peut-être même inexistant.
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  • Notre ambition est de rendre sa valeur à l’information. Nous voulons l’analyser, la mettre en perspective, la remettre dans un contexte et pouvoir faire de la prospective. Fournir ce genre de contenus, c’est avant tout vous respecter, vous, les lecteurs
Tibor Katelbach

La ville intelligente, l'Iconomie et l'évolution nécessaire du mananagement p... - 0 views

  • il y a là des enjeux stratégiques qui ne peuvent se contenter de mots-valises qui consisterait à « mettre du rouge à lèvre à un bull-dog »
  • C’est là l’oubli que la ville est historiquement le cœur de la création de richesse, s’inscrit dans une histoire, une culture et une philosophie des institutions.
  • asabiyya – la vertu de la cohésion sociale du groupe
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  • proverbe allemand du XV° siècle « l’air de la ville rend libre
  • la ville est un écosystème stable basé sur la cohérence politique – la poursuite du Bien commun comme finalité politique, « la grandeur de la Cité, c’est le Bien commun » (Machiavel)
  • une ville peut croître à l’infini, ainsi que ses externalités négatives et positives, à la différence d
  • econde révolution industrielle et le développement des télécommunications, la distance structurait la ville et sa périphérie et sa mesure était la vitesse de propagation de l’informatio
  • La II° révolution industrielle permet un première « mort de la distance »
  • une entreprise qui ne pourra maintenir une cohérence interne au-delà d’une certaine taille et qui verra sa productivité par travailleur décroître avec leur nombre.
  • la fin du XIX° siècle, la croissance de la ville devient guidée principalement par la recherche de rendements d’échelles, aux dépens des solidarités sociales et de la vie civique
  • modéliser les villes comme systèmes de systèmes[4] (SoS)
  • le coût pour corriger une ville conçue de manière dysfonctionnelle (par exemple, les villes américaines conçues pour l’automobile) est de loin supérieur aux coûts à investir en amont pour construire une ville durable
  • la nature est parvenue à concevoir des systèmes aussi résilients que complexes basés sur une énergie renouvelable : le soleil.
  • l’acteur public est le mieux placé – pour autant qu’il comprenne ce rôle et développe les compétences appropriées – pour jouer le rôle de pivot et d’intégrateur pour lequel une firme, quelles que soient la culture et la pratique de la « coopétition » qu’elle ait développée, n’est pas la mieux placée pour incarner ce qui est le bien commun du système
  • Ainsi, même si une ville peut paraitre « verte » dans son périmètre administratif, l’évaluation de son écosystème doit intégrer les externalités des activités délocalisées. Par exemple, le bilan carbone d’une « ville verte » doit intégrer le CO2 importé : la ville peut être verte mais l’écosystème gris foncé.
  • « Qui va réguler les régulateurs ? ».
  • La stratégie urbaine chinoise reconnaît aujourd’hui l’erreur d’avoir imité l’Occident alors que Singapour est une réussite qui se conçoit comme un tout, une nation intelligente plus qu’une ville intelligente[6], et fait aujourd’hui référence pour le développement urbain.
  • La ville n’est pas intelligente parce qu’elle est numérique : la connexion de tout avec tout, la capacité intrusive du traitement de masse des données et la menace sur leur confidentialité des données peut vite faire dériver la ville vers le panoptique de Jérémie Bentham
  • La conception d’écosystèmes complexes ne peut être assurée par des démarches de planification descendantes d’autorité publique qui définit des « master plans »
  • voyait les germes d’un ordre totalitaire incapable d’évolution organique.
  • Les nouvelles approches de l’innovation basées sur les systèmes complexes (Von Hippel, 1986) soulignent la nécessité d’intégrer l’utilisateur final, l’habitant, qui sera non seulement un utilisateur mais également un producteur d’information, que la littérature désigne désormais sous le terme de « prod-user »
  • au lieu de consommer encore plus d’énergie pour refroidir ces machines, il s’agit d’utiliser leur puissance de calcul pour optimiser leur approvisionnement en différentes sources d’énergies et d’intégrer leur production d’énergie dans la conception de la ville.
  • la base de tout système vivant, et les dynamiques de réseaux virtuels offertes au territoire et à la ville connectée comme source de l’innovation territoriale.
  • « dynamiques territoriales de connaissances »
  • dont la conception et l’animation repose sur l’existence d’un acteur pivot. En l’absence d’un
  • Là où les rétroactions entre causes et effets, à la base de l’apprentissage, prenaient a minima une génération, elles peuvent être désormais de l’ordre de la milliseconde.
  • a ville intelligente ne peut pas être une collection de « smarties », un empilement de « smart services » : smart grids, smart buildings, smart mobility, smart IT
  • mais un écosystème vivant dont l’intelligence provient du comportement des habitants faisant de la technologie un levier endogène de développement de la vie civique en devenant en même temps producteurs et utilisateurs de l’information, dans la logique du web 2.0.
  • L’ère du bureaucrate wébérien axé sur la procédure et sur la tâche laissera donc la place aux systémiers en charge de penser l’intégration des sous-systèmes que constituent les fonctions urbaines, et considérant la dépense publique plus comme un investissement qu’un coût par l’intégration des externalités positives et négatives.
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