Pas de grand soir pour une démocratie numérique, selon le think tank Renaissance numérique.
C’est pas à pas qu’il faut changer le logiciel des démocraties. Son dernier livre blanc Démocratie Mise à Jour, propose 13 idées assez simples à mettre en œuvre, pour y arriver.
Les 13 Propositions concrètes :
Créer des tiers-lieux créatifs dédiés à la vie politique : ouvrir des lieux à destination de tous (agents, citoyens, élus) qui permettront d’expérimenter des « bonnes idées » pour les transformer en innovations.
Créer un portail web unique pour réunir sur une même page et donner de la visibilité aux différents dispositifs citoyens et participatifs en place. Il proposerait une cartographie et un agenda interactif et participatif des initiatives citoyennes.
Mettre en place une plate-forme participative incluant à la fois des instances de proposition, de question-réponse aux politiques et de modération des idées présentées, et de suivi de la fabrique des lois.
Article long mais complet sur l'utilisation des données personnelles et l'avenir politique où les décisions ne seraient prises que par les données. Attention aux dérives.
Welp est un réseau d'entraide qui met en relation des personnes qui ont besoin d'aide (particuliers et associations) avec des personnes prêtes à les aider ponctuellement et gratuitement.
Communecter dans le réel ou comment passer de l'information aux habitants en faisant du porte à porte. A coupler avec un outil comme le notre, ça peut être intéressant.
Des fablabs en passant par les écovillages, les jardins collectifs, les coworkings, les fermes de permacultures et Terre de lien, les villes et villages bio ou sans pesticides, les monnaies locales, jusqu’aux AMAPs et lieux de résistances, tout y passe.
Tour d’horizon de la géographie des alternatives et de la transition.
Smart tourisme : grâce à l'open data, Lisbonne donne le pouvoir aux start-up… et aux visiteurs
CitySDK, un programme financé par la Commission européenne
D'abord en libérant des données – publiques et privées – dans des formats uniformisés, via des processus partagés, puis en créant des interfaces de programmation (API), mises à disposition de la communauté de développeurs.
"Through my eyes", une application basée sur le crowdsourcing qui propose de découvrir la ville à travers le regard de ses visiteurs et de ses habitants.
Deuxièment, « smart » induit, apparemment, la collection et le traitement de données, le data mining. Et depuis l’affaire Snowden, ce n’est pas pour rassurer les gens qui pensent qu’ils vont être par là contrôlés.
Il existe une autre version de la ville intelligente, qu’il faudrait rééquilibrer et valoriser davantage : celle qui met en avant la participation des gens pour contribuer directement à améliorer leur rue, leur quartier, leur ville, leur région, leur territoire.
il ne faut pas, pour autant, rester dans l’approche de la ville intelligente par les données.
C’est pour ça que je pense que la notion de participation donnera une ville meilleure.
Beauséjour est vraiment exemplaire. C’est ce qui a motivé le jury à tous niveaux : concertation globale (maîtrise d’œuvre, maîtrise d’ouvrage, riverains, habitants... ), qualité de la mise en œuvre et des réalisations, innovation...
Je pense notamment aux associations, aux riverains,
aux habitants, qui prennent tant à cœur le devenir de leur quotidien,
tout autant que la ville et la vie qu’ils veulent dessiner
pour eux et leurs enfants
En Côte d’Ivoire, l’ingénieur Florent Youzan, promoteur inlassable du logiciel libre, est le co-fondateur d’Ovillage, un tiers-lieu d’Abidjan où se co-créent des projets d’innovation sociale, basés sur l’open source.
Quatre règles, liées au respect des libertés fondamentales, régissent le logiciel libre : liberté d’utilisation sans restriction ; liberté d’étude du fonctionnement ; liberté de modification pour l’adapter aux besoins (accès au code source) ; liberté de partage des modifications et de contribution aux améliorations en cours. Le logiciel libre place l’utilisateur au centre du processus, comme acteur de ses droits.
Ovillage encourage l’entrepreneuriat des jeunes avec le libre, comme par exemple avec OpenDjeliba. Cette plate-forme permet de produire et partager du contenu grâce à un hashtag envoyé par SMS à un serveur hébergé sur un ordinateur Jerry. Ce projet 100% logiciel libre a été développé à zéro franc, et s’adosse à un ordinateur reconstitué dans un bidon en plastique, à partir d’éléments fonctionnels recyclés et ré-assemblés.
Travailler entre humains,
sur des projets éthiques et intéressants,
tout en privilégiant le bien-être
et le plaisir de chacun.
Nous sommes un laboratoire d’expériences bienveillantes. Nous souhaitons concevoir des des applications utiles en vous accompagnant aussi bien dans votre réflexion que dans sa réalisation
Depuis sa Bretagne natale, le nouveau site web Mon P'ti Voisinage
vise large : « devenir l’un des réseaux sociaux les
plus utilisés par les Français». Comment ? En regroupant les
services de l'économie collaborative (BlablaCar, Deways, La Ruche
qui dit oui...), en tant qu'agrégateur.
Autopartage,
« cocourse », covoiturage quotidien, financement
participatif, ils sont au cœur du projet d'agrégation de
services : Derrière chacun, un
partenaire unique assure le service : Ulule, Deways, Cocource,
wedrive
Promenade sur
Mon P'ti Voisinage
Je
crée mon compte avec une double adresse (email et postale) et sans
clic de confirmation j'obtiens un accès visiteur limité à 48h.
Pour conserver cet accès, il faudra faire vérifier mon adresse
physique, soit en géolocalisant ma connexion internet, soit en
renvoyant une carte postale codée, que j'aurai préalablement reçue
par la poste, ou par cooptation. C'est un gage de confiance.
Au vu de cette première visite, la plateforme est assez agréable et réussie, surtout
si on prend en compte qu'elle a été créée sans financement
externe
Et quels sont les services qui marchent le mieux ?
Je découvre
aussi six groupes d'intérêt créés
par ces voisins
les alertes entre
voisins
Une des premières
originalités de la plateforme est de proposer une section
« Consommer local ».
Modèle économique
: agrégateur de services
Le modèle
sera celui de l'affiliation : nous prendrons une légère
commission, sur l'utilisation ou sur l'inscription des services
Bel article sur un beau concurrent qui reprend un paquet des thèmes du PH. La concurrence c'est bien : ça veut dire qu'il y a un marché. A nous d'imposer nos idées ou de s'inspirer de leurs bonnes :)