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Tibor Katelbach

Exploring what open government means at Code for America Summit | opensource.com - 1 views

  • It’s being open, inclusive, and collaborative with citizens so they feel comfortable with what government is doing. So that citizens want to be part of the solution. It’s also about driving efficiencies from the governments. We do things based on tradition, not law and policy. The open government process is a vehicle to fix that
  • Governments that work like the Internet. Networked. Generative. And reflective of who we are
  • What does open government mean to you?
  • ...2 more annotations...
  • Open government means the re-establishment of trust in democratic values. Today, we hear a lot of noise in politics. The open government approach is non-partisan and it’s really about connecting people back to their communities. That means people will be connected with each other. And that’s exciting!"
  • "I think of it in slightly different terms. A government is for citizens and it must deliver a cycle of trust so that citizens can participate in government. There are three design values that are part of this: respect, participation, and unity. The important one is unity, because it brings citizens and government back on the same side.
Tibor Katelbach

Licence ouverte / Open licence - Etalab, mission chargée de l'ouverture des d... - 1 views

  • Etalab a conçu la « Licence Ouverte / Open Licence ». Cette licence, élaborée en concertation avec l’ensemble des acteurs concernés, facilite et encourage la réutilisation des données publiques mises à disposition gratuitement. La plateforme des données publiques gratuites de l’Etat
  • Une grande liberté de réutilisation des informations :
  • Une licence ouverte, libre et gratuite, qui apporte la sécurité juridique nécessaire aux producteurs et aux réutilisateurs des données publiques ; Une licence qui promeut  la réutilisation la plus large en autorisant la reproduction, la redistribution, l’adaptation et l’exploitation commerciale des données ; Une licence qui s’inscrit dans un contexte international en étant compatible avec les standards des licences Open Data développées à l’étranger et notamment celles du gouvernement britannique (Open Government Licence) ainsi que les autres standards internationaux (ODC-BY, CC-BY 2.0).
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  • Une exigence forte de transparence de la donnée et de qualité des sources en rendant obligatoire la mention de la paternité. Une opportunité de mutualisation pour les autres données publiques en mettant en place un standard réutilisable par les collectivités territoriales qui souhaiteraient se lancer dans l’ouverture des données publiques.
Tibor Katelbach

[Revue de presse] Démocratie participative: "Les entreprises disposent d'une ... - 0 views

  • "Open Source Démocratie", c'est le thème de la 12e édition des Up conférences qui se tiendra ce jeudi soir à partir de 19 heures à Paris
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    "Open Source Démocratie", c'est le thème de la 12e édition des Up conférences qui se tiendra ce jeudi soir à partir de 19 heures à Paris"
Tibor Katelbach

La démocratie participative 2.0, l'avenir ? | Europe Créative - 1 views

  • aller chercher l’information sur les projets du gouvernement est devenu une tâche particulièrement compliquée. Les citoyens seraient-ils plus intéressés par le buzz que la vie politique ?
  • L’histoire ne s’arrête pas là, chaque visiteur du site peut désormais s’abonner aux travaux de son député, ou à un sujet particulier pour obtenir les informations qui l’intéressent. L’objectif : devenir un outil de valorisation du travail parlementaire.
  • Nosdéputés.fr
  • ...6 more annotations...
  • TheyWorkForYou
  • Open Congress
  • L’Open des Législatives Data Conférence. Toutes ces communautés ont décidé de se rassembler autour de la déclaration pour l’ouverture et la transparence qui vise à être présentée à l’ensemble des Parlements représentés. Ce sont des revendications générales sur ce que devrait faire un Parlement à minima en termes de transparence et d’ouvertures pour redonner confiance aux citoyens et permettre à chacun de s’impliquer dans la vie parlementaire. Ce sont donc 44 points ralliés par 100 organisations à travers plus de 65 pays. Elle vient d’être présentée à l’Union interparlementaire lors de sa réunion annuelle au Québec. ».
  • 60% des personnes interrogées s’intéressent à la politique, toutefois un même pourcentage de gens pensent que la démocratie fonctionne plutôt mal. 83% pensaient alors que les responsables politiques ne se préoccupaient pas  ou peu de ce qui les préoccupaient. Pour Benjamin, « Il y a énormément de suspicion et de fantasmes qui alimentent les débats sur la vie politique aujourd’hui. Je pense notamment à la réserve parlementaire, qui est un sujet très fréquemment évoqué.», la transparence des données permet de rétablir une part de vérité entre les abus et des initiatives utiles.
  • Un sondage datant de 2011 et commandé par Sciences Po prouve que
  • Nous souhaiterions lever le flou qui entoure le vote parlementaire. Il y a peu de pays dans le monde où c’est le cas, en France nous n’avons pas accès aux détails individuels des votes de chaque parlementaire
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    "aller chercher l'information sur les projets du gouvernement est devenu une tâche particulièrement compliquée. Les citoyens seraient-ils plus intéressés par le buzz que la vie politique"
sylvainb

Une carte des bonnes initiatives | Pourparlers - 0 views

  • Une carte locale pour les bonnes initiatives et la consommation collaborative
  • En somme, un projet intéressant, ambitieux, qui nous concerne tous et qui nécessite beaucoup de discussions… Affaire à suivre.
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    Projet open source, tout juste sorti du four, voir même pas assez cuit...
sylvainb

Remplacer ses amis virtuels par ses véritables voisins - SoonSoonSoon - 0 views

  • Rencontrer ses voisins sur des réseaux sociaux malins
  • Nextdoor vous propose donc de transposer l'expérience des réseaux sociaux à un niveau beaucoup plus local : celui de votre voisinage.
  • Comme Nextdoor, de nombreux autres réseaux sociaux encouragent les relations de bon voisinage : en France, c'est Bonjour Voisins ou Ma Résidence qui se sont installés sur le créneau. A découvrir!
  • ...1 more annotation...
  • A l'heure où l'on annonce le déclin de Facebook, les réseaux sociaux spécialisés semblent promis à un bel avenir.
sylvainb

Strasbourg met en ligne 64 "bases" de données d'intérêt local - 0 views

  • Strasbourg met en ligne 64 bases de données d'intérêt local
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    Open data à Strabourg
Tibor Katelbach

"Les collectivités peuvent être protecteurs des communs" - Valérie Peugeot - 0 views

  • d’abord la formation d’une communauté, qui se mobilise autour d’une ressource… Cette ressource est gérée selon des logiques de partage qui ne sont ni celles de la propriété publique, ni celles de la propriété privée. Des bouquets de droits d’usage viennent se substituer à la propriété. Le troisième élément, c’est une gouvernance, mise en place par cette communauté, pour protéger la ressource, en organiser la gestion, la faire grandir
  • un bien commun, c’est une communauté, une ressource, et sa gouvernance.
  • En France, le code civil évoque les biens communaux, à l’article 542, ou encore à l’article 714
  • ...33 more annotations...
  • XIIIe siècle, siècle de la première consécration juridique des communs,
  • es idées, les faits, méthodes… – soit des ressources
  • Wikipedia
  • Open Street Map
  • Open Food Fact
  • Cela signifie-t-il qu’il n’y pas un modèle unique ?
  • qui a le droit d’utiliser la ressource ? A quelles conditions ? Comment sont gérés les conflits si quelqu’un abuse de la ressource ? Est-ce qu’il y a des relations avec la puissance publique qui va être garante, ou pas, de la protection de cette ressource ?
  • La pensée marxiste
  • monopole public des moyens de production
  • libéral affirme que c’est le marché qui va tout régler
  • C’est ce que les communs tentent de faire, non pas contre le marché ou l’Etat, mais à côté, avec des porosités possibles entre les 3 sphères.
  • réintroduire de la diversité dans notre pensée politique
  • Pourquoi ce concept, très ancien, semble particulièrement pertinent aujourd’hui, et ce dans le monde entier ?
  • Internet et le web ont été construits
  • comme des communs.
  • Aujourd’hui nous sommes entrés dans un temps historique du web qui tend à se refermer en silos autour de grands acteurs monopolistiques ou oligopolistiques, ce qui est nuisible à notre capacité créative collective.
  • Elles peuvent circuler quasi instantanément via les réseaux pour un cout marginal qui tend vers zéro
  • cela en fait des candidats potentiels à des régimes de partage, et non pas de propriété.
  • communautés de logiciel libre
  • ont été les premières à mettre en place un dispositif que je qualifie de droit ascendant, c’est-à-dire du droit créé par les communautés en dehors du législateur ou de la jurisprudence
  • Y’a-t-il d’autres raisons, hors du numérique, qui expliquent l’efficacité du concept de commun ?
  • défenseurs en expliquant que ces derniers sont partisans du « tout gratuit », contre le marché
  • marché et communs peuvent cohabiter
  • multiplication des enclosures, c’est-à-dire des phénomènes d’appropriation, de privatisation de communs existants.
  • Aujourd’hui, des pays africains vendent des milliers d’hectares de ces terres à des acteurs étrangers en faisant fi de tous les droits d’usage qui reviennent aux habitants.
  • Selon moi, le marché, dans sa fonction première, ne pose aucun problème ; par contre, lorsqu’il devient un marché spéculatif qui ne répond plus aux besoins des humains. Il faut alors imaginer d’autres manières de faire. Les communs ouvrent des pistes.
  • Les communs sont-ils en concurrence avec le service public ?
  • Quand on est face à un commun qui revendique de participer de l’intérêt général, notamment dans le cas de commun universel, la question peut effectivement se poser.
  • les collectivités peuvent jouer plusieurs rôles. Elles peuvent être protecteur des communs, pour éviter des enclosures, elles peuvent être producteurs de communs – c’est le cas avec les données mises en open data. Enfin, la puissance publique peut encourager des communautés qui produisent des communs, en mettant par exemple du foncier à disposition.
  • Selon votre expérience, quelle est la perception des communs par les élus locaux ?
  • Pour certains élus, les communs peuvent apparaître comme des communautés qui veulent faire à leur place.
  • Les communs ambitionnent d’aller un cran plus loin, par des processus ascendants d’innovation sociale. Il s’agit alors de co organiser, et dialoguer avec ces communautés qui ne se contentent pas de l’espace délégatif mais qui passent à l’action.
  • Le rôle de l’élu peut alors être de repérer ces initiatives, et de les soutenir, d’imaginer comment leur permettre d’essaimer ailleurs dans le territoire. L’acteur public devient un catalyseur. Cela modifie sa posture qui à côté de sa culture du faire, doit porter une culture de l’accompagnement des innovations ascendantes et sociales.
sylvainb

Dataville - 0 views

shared by sylvainb on 31 Jan 14 - No Cached
  • Dataville Dataville est une plateforme de visualisation de données, permettant d'exploiter des données locales.
  • Des "Widgets" de villes, pour générer automatiquement des graphiques.
  • 120 jeux de données sur les villes Démographie, Emploi, Economie, Formation,Revenus, Budget, Politique, Famille ...
  • ...3 more annotations...
  • Couverture nationale Les données concernent toutes les communes de France, les départements, régions et zones d'emploi.
  • Transparence des données Nous mettons à disposition les fichiers sources. Toutes les données sont issues de sources officielles (INSEE, Ministères, Préféctures etc.)
  • Accès par abonnement L'accès à la plateforme se fait par abonnement mensuel, sans engagement.
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    Open data de la ville : dataville. Pas mal mais accès payant.
Tibor Katelbach

Open Data culturel : enfin des archives libres, sous le signe du partage à l'... - 0 views

  • La réponse à l’enclosure existe et elle n’est pas dans l’interdiction de réutilisation. Elle consiste, je pense, à considérer que le patrimoine est un bien commun et qu’il doit le rester quel que soit son mode d’exploitation. La clôture est interdite, seul l’accès à l’innovation peut être soumis à un paiement. Autrement dit : le patrimoine doit toujours être en accès libre. [...] Il y aurait quelque chose de noble pour les archivistes à abandonner leurs réticences pour adopter ce genre de licence. Ils feraient ainsi du patrimoine culturel un bien commun contaminant, dont les caractéristiques se transmettraient à chaque création qu’il aurait suscitée. Toute innovation réalisée à partir d’un bien commun devient elle-même un bien commun.
sylvainb

"L'open data est un révélateur violent de l'inadaptation de l'administration"... - 1 views

  • L’Etat avance aussi vite qu’il le peut. Les initiatives d’Etalab (2) et du SGMAP pour libérer vont dans le bon sens…mais très lentement. On libère les fichiers un par un, on les arrache à l’administration, mais on reste dans un cycle très artisanal de fabrication de ces fichiers.
  • Dans ces conditions, l’open Data fait office de révélateur violent de cette situation et met en évidence l’approche morcelée et peu cohérente entre les systèmes d’informations des administrations.
  • D’un point de vue technique, l’Open data est la partie visible de l’iceberg, l’important se passe en amont. Nous sommes actuellement, et dans de nombreux pays, à un stade très artisanal de la diffusion des données produites par les administrations. A l’exception d’administrations telles que la DILA, l’IGN ou l’INSEE qui sont équipées nativement, pourrait-on dire, pour diffuser des données, les ministères ou les établissements publics peinent à diffuser. C’est tout à fait normal : tant qu’on cherchera à faire diffuser des données sans s’intéresser aux back-offices de production de ces données, aux logiciels aux normes et aux process, on ne réussira qu’à diffuser ponctuellement des fichiers extraits au forceps et, le plus souvent, manuellement.
  • ...3 more annotations...
  • L’open data ce n’est pas cela. C’est un mode industriel et production et de diffusion de données organisé en conséquence.
  • Le soutien à l’innovation et à la réutilisation qu’effectue Etalab avec l’organisation des concours « Dataconnexions » méritent d’être salués car il faut du courage, de la persévérance…et du temps pour qu’un écosystème de réutilisateurs « jeunes pousses » se mette en place.
  • Je crois que la France, avec son administration très puissante et présente, a pris l’open data dans le mauvais sens. Ouvrir un robinet dont rien ne sort n’a pas de sens. Au-delà de la refonte nécessaire de notre politique numérique administrative qui prendra entre 3 et 10 ans, il faut convaincre, voire forcer, l’administration à diffuser ses données. Ce n’est possible que si on crée les conditions pour que l’administration devienne la première bénéficiaire de l’open data. Il faut que l’administration y trouve des avantages, son intérêt. Sinon les freins perdureront.
Tibor Katelbach

Des projets open-source qui changent le monde | Même pas mal - 0 views

  • Il est donc réjouissant de voir une région se positionner pour "promouvoir l’ouverture des savoirs et des données, la connaissance libre et la collaboration peer-to-peer dans la création et la gestion de biens communs",
sylvainb

Thématique: élections municipales - data.gouv.fr - 1 views

  • Vous y trouverez notamment:
  • Cette page présente une compilation par l'équipe de data.gouv.fr de ressources en lien avec les élections municipales. Vous y trouverez notamment:
  •  
    Un open data intéressant....
Tibor Katelbach

L'open data peut-il (encore) servir les citoyens ? | Clément Mabi and Samuel ... - 0 views

  • L’impératif d’ouverture imposé « par le haut » constitue un important bouleversement qui n’est pas toujours bien évalué en interne.
  • la circulaire adoptée en 2011 en vue du lancement de data.gouv.fr n’impose pas la publication des données. Elle exige seulement la désignation d’un correspondant open data dans chaque ministère chargé d’identifier et de coordonner l’ouverture des données de son ministère. Des données dont la décision de publication reste à l’appréciation seule des agents et de leur hiérarchie.
  • L’arbitrage entre risques et avantages de la libération de données incite donc l’administration à la prudence.
  • ...5 more annotations...
  • Le gouvernement vient également de nommer un administrateur général des données ( Chief Data Officer  ) qui sera autorisé à inspecter les données de l’administration pour favoriser de nouvelles vagues d’ouvertures
  • Le passage à l’open data peut être une opportunité pour les militants, mais l’activité réelle ne
  •   témoigne certainement pas de l’émergence d’un contre-pouvoir citoyen qui tirerait appui des données ouvertes.
  • Pour arbitrer les litiges dans la production et l’ouverture d’une information publique, il est nécessaire de créer un Conseil National de l’Information Publique (CNIP) avec une composition similaire. Il permettra d’éviter une trop grande prudence de l’administration dans l’ouverture de ses données par une évaluation collégiale des risques d’anonymisation des données ou du coût financier de l’ouverture qui restreignent souvent leur publication.
  • Comme nous avons pu le voir, le mouvement open data doit être compris comme le fruit d’une rencontre entre différents milieux socio-économiques, d’une tension entre la recherche de profits économiques et la défense de valeurs politiques liées à l’empowerment   citoyen et à la plus grande transparence de l’action publique. Plusieurs conditions d’ordres techniques et politiques sont nécessaires pour que les données publiques puissent se transformer en outil d’émancipation des citoyens. La partie n’est pas encore perdue pour qui veut bien s’atteler à ce défi, et ces conditions peuvent constituer l’horizon normatif des politiques de libération des données. S’engager pour les mettre en place peut, en soi  , être considéré comme un objet de lutte.
Tibor Katelbach

LiquidFeedback - Interactive Democracy - 0 views

  • LiquidFeedback is an open-source software, powering internet platforms for proposition development and decision making.
  • direct referendum
  • Considering nobody has enough time and knowledge for every issue, votes can be delegated by topic
  • ...14 more annotations...
  • Delegated or Proxy Voting.
  • Proposition development process
  • Preferential voting
  • Interactive Democracy
  • communication between an initiative and the voters
  • Initiatives shall get an idea how successful a proposition is likely to be and what to change in order to gain more support.
  • Likewise voters can try to influence propositions by their feedback or instigate a new initiative with an own proposition if they so wish.
  • very advanced voting system based on Cloneproof Schwartz Sequential Dropping (CSSD) also known as the Schulze method
  • new communication channel between voters and representatives
  • Political parties | Along with associations this is the original purpose of LiquidFeedback
  • Associations/NGOs | LiquidFeedback allows all members to participate not only in voting but also in developing ideas while board members understand what the majority really want and can make responsible decisions based on the “popular vote“
  • Government/Civic Participation | LiquidFeedback is an offer to participate in any question of particular interest to the individual citizen. People will participate if they think it makes sense and representatives at least acknowledge the will of the participants.
  • Constituency/Electoral District | Representatives can use LiquidFeedback as a commitment to their constituency to fullfill the promise of a  government of the people, by the people, for the people.
  • Economy/Corporations | Visionary boards are interested in unleashing the creativity of their employees. This use case takes a special position as there we are not talking about democratic systems. The board will have the last word and reliability of results can be subject to a risk assessment.
Tibor Katelbach

Éthique et solidarité sur les réseaux sociaux numériques | Le Cercle Les Echos - 1 views

  • engagement éthique et de solidarité.
  • tenté de mettre en évidence de façon concrète la façon dont les nouvelles technologies démultiplient l’impact que chacun peut avoir sur le monde
  • mouvement open source et évidemment de financement participatif
  • ...6 more annotations...
  • Les nouvelles technologies peuvent changer le monde grâce au collectif
  • ". Les initiatives de crowdfunding, crowdmapping, crowddigning, crowdsourcing nous montrent qu’en agissant chacun à notre niveau, nous pouvons participer au changement que nous voulons voir dans le monde".
  • à tout individu notamment aux personnes ayant des liens de sociabilité faible, l’opportunité de se connecter et de tisser des liens à distance en temps réel avec des personnes connues ou inconnues, et en favorisant l’émergence de nouvelles formes de sociabilité, ainsi que de nouvelles formes de mobilisation et d’action collective.
  • Le langage numérique est ainsi devenu l’une des productions les plus et les mieux partagées de la globalisation.
  • Les initiatives et actions de la solidarité numérique sont légion.
  • Les multiples initiatives relevant du mécénat de compétence les engagent sur des projets dans lesquels associations et salariés volontaires agissent ensemble pour faire progresser l’intérêt général
sylvainb

OaklandOpenBudget ou quand les citoyens se saisissent de l'Open Data - Lagazette.fr - 2 views

  • OaklandOpenBudget ou quand les citoyens se saisissent de l’Open Data
  • Voici un exemple où la mise à disposition des données publiques permet à une communauté de se saisir du vivre ensemble.
  • Le prochain budget d’Oakland aura un parfum particulier. Les habitants de cette ville moyenne de Californie (400 000 habitants tout de même) auront eu, grâce à l’open data et l’initiative de quelques uns, une vue approfondie des dépenses et rentrée fiscale des années 2013 à 2015.
  • ...8 more annotations...
  • Mais avec Oakland, c’est la première fois que la démarche vient d’une initiative ascendante, des citoyens.
  • Nouvelles technologies au service de la cohésion sociale
  • Adam Stiles a compris que l’idée ne pouvait se résumer à l’utilisation d’un outil, mais devait partir des attentes des différentes communautés de la ville, puis de solliciter la ville pour obtenir les données nécessaires
  • Si la mairie n’a pas été motrice dans la démarche, « elle n’a rien fait pour l’empêcher »
  • rté d’actions aux citoyen
  • Liberté d’actions aux citoyens
  • parce qu’il comprenait la valeur ajoutée de ce que nous faisions
  • Malgré l’enthousiasme que cette démocratie locale 2.0 pourrait inspirer, Adam Stiles reste pragmatique : « Notre première ambition, c’est d’informer les citoyens, afin que chacun tire ses propres conclusions. Nous sommes encore au stade du prototype, et le défi sera de rendre l’outil réellement utile aux citoyens
  •  
    Quand le budget d'une ville est décidé en fonction des avis des citoyens.
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