"Nous ne sommes pas là pour préparer des sacrements mais pour faire des disciples
Ce n'est pas « l'après-vente » qu'il faut améliorer, c'est notre pastorale sacramentelle qu'il faut repenser. Nous ne sommes pas là d'abord pour préparer des sacrements mais pour faire des disciples (cf. Mt 28,19). Nous sommes là pour éveiller la soif de Dieu qui est dans le cœur de tout homme et l'accompagner sur le chemin qui mène à la source d'eau vive, c'est-à-dire à Jésus. Nous n'avons rien à vendre, juste à relier l'homme et Dieu : le désir de l'homme qui aspire à voir Dieu et le désir de Dieu qui veut faire alliance avec nous"
"Le Pape estime qu'une réelle conversion pastorale et missionnaire kérygmatique est nécessaire. Il a ainsi invité les membres du dicastère pour la Doctrine de la Foi, réunis en assemblée plénière, à aider l'Eglise à se faire proches de ceux qui œuvrent pour la dignité des plus faibles, mais surtout à défendre l'administration des sacrements, fondamentale au témoignage. «Notre temps a besoin avec une urgence particulière de prophètes de vie nouvelle et de témoins de charité»."
"Un samedi par mois de 15h à 18h, venez nous retrouver pour annoncer l'amour de Dieu par des visites à domicile ou l'accueil dans l'église avec un stand sur le marché.
Tout baptisé est invité à soutenir cette évangélisation par l'adoration du Saint-Sacrement exposé pendant ce temps à l'église à Saint-François de Paule."
"La communion Priscille et Aquila a pour vocation singulière de rassembler en Église des couples unis dans le sacrement de mariage, ayant reçu un appel missionnaire conjugal : « Annoncer en couple, dans l'Esprit-Saint et en Eglise, l'Evangile du Christ de manière explicite et kérygmatique, et susciter d'autres couples missionnaires. »"
"Vivre l'Evangile de la joie !
en suivant notre pape François
de Novembre 2016 - février 2017
En prenant appui sur l'exhortation apostolique du pape François, La joie de l'Evangile (le 24 novembre 2013 - Fête du Christ Roi). Désir d'annoncer l'Evangile et de faire connaitre Jésus, à travers la figure de ce pape, apprécié par de nombreuses personnes. Il nous invite à avancer au large, en allant aux périphéries!
Pour tous les paroissiens, les parents qui présentent leur enfant au baptême, les fiancés et les parents du catéchisme, les étudiants et jeunes professionnels...
Chaque rencontre de 1h15 maximum se déroulera à la maison paroissiale (2, rue Notre Dame du pré 27500 Pont-Audemer) de la manière suivante: un exposé sur le texte du saint Père, le reliant à 1 sacrement qui nous permet de vivre la joie de l'Evangile
Suivi d'un bref échange sur un texte d'Evangile (celui de la fête la plus proche) pour goûter la joie de l'Evangile.
Une conclusion sur "Ne nous laissons pas voler " et une une prière."
"Olivier, chef d'entreprise de 44 ans, s'est marié très jeune, à 19 ans, et à l'église, bien qu'à l'époque il soit éloigné de la foi, ce qu'il ne cache pas au prêtre qui le prépare avec sa fiancée au sacrement. Ce mariage précoce est un échec. Il se solde huit ans plus tard par un divorce. Olivier se remarie civilement en 2012 avec Lise, mère d'Elie, un enfant d'une dizaine d'années. C'est par ce dernier qu'il va retrouver le chemin de la foi."
"Mgr Brouwet publie cinq catéchèses sur l'évangélisation. Il explique son intention.
Nous venons de vivre, avec toute l'Eglise, une très belle Année de la Foi. Ces mois ont certainement été un temps de grâce pour notre diocèse. Et nous louons le Seigneur, en particulier, pour les cinquante adultes qui ont reçu le sacrement de la Confirmation lors de la vigile de Pentecôte."
"Comment attirer plus de gens à l'Eucharistie ? Comment évangéliser par les temps qui courent, alors que tant de choses ont changé autour de nous ? Le blogueur américain Marc Barnes propose un chemin intéressant : mettre l'accent sur la préservation de l'identité propre au mystère, et soigner la forme du sacrement afin que la liturgie ne finisse pas par ressembler au reste de la culture et perde de vue le singulier (et l'inégalable) apport qu'elle représente pour la vie."
"Ceux qui sont appelés dans l'Eglise à administrer les sacrements doivent laisser de l'espace à la grâce de Dieu et ne pas mettre d'obstacles de type « bureaucratique » qui empêcherait une personne de rencontrer Dieu. C'est ce qu'a affirmé le Pape dans son homélie prononcée lors de la messe qu'il présidait ce jeudi matin dans la chapelle de la maison Sainte Marthe. « Celui qui fait l'évangélisation, c'est Dieu ». Une vérité sur laquelle a insisté le Pape, qui a critiqué l'excès de bureaucratie qui, parfois dans l'Eglise, peut empêcher des personnes de s'en rapprocher."
"«24 heures avec le Seigneur», ou comment remettre au centre l'importance de la prière, de l'adoration eucharistique et le don du sacrement de la réconciliation. Vendredi 4 mars 2016, en fin d'après-midi, le Pape François lancera la troisième édition de cette initiative par une célébration pénitentielle dans la basilique Saint-Pierre, lors de laquelle il se confessera. Les diocèses du monde entier s'uniront spirituellement au Saint-Père pour offrir à tous la possibilité de faire l'expérience personnelle de la miséricorde de Dieu."
"« Nombreux sont les enfants accueillis dans nos activités paroissiales que nous ne voyons jamais à la messe ou pour lesquels nous ne connaissons pas les parents ; et malheureusement beaucoup sont tentés d'arrêter toute pratique une fois un sacrement reçu ou lors de la découverte d'une autre activité comme le sport par exemple."
"« N'ayez pas peur d'aller dans les rues et les places publiques, comme les premiers Apôtres qui prêchaient le Christ et la Bonne Nouvelle du salut sur les places des villes, des bourgades et des villages. Ce n'est pas l'heure d'avoir honte de l'Evangile. » Saint Jean-Paul II
Un samedi par mois de 15h à 18h, venez nous retrouver pour annoncer l'amour de Dieu par des visites à domicile ou l'accueil dans l'église avec un stand sur le marché.
Tout baptisé est invité à soutenir cette évangélisation par l'adoration du Saint-Sacrement exposé pendant ce temps à l'église à Saint-François de Paule."
"Les paroisses de Notre-Dame du Val d'Orne (Ecouché), Saint-Martin en Ouche (L'Aigle), Notre-Dame au Pays d'Alençon, et Saint-Gilles en haute Sarthe (Le Mêle) accueillent une mission du 24 au 30 octobre 2020 :
Des familles, des jeunes, des séminaristes venant de Toulon, Lyon, Gouzon (Creuse) ou encore de la région parisienne, mèneront avec nos communauté des actions pour ranimer notre foi et montrer à ceux qui en sont plus éloignés que l'Église est prête à les accueillir. Les actions de chaque jour sont en cours d'élaboration autour des thèmes suivants : baptême, premières communions et repas partagés, veillées de prières ou plus festives, bénédiction d'un calvaire rénové, porte à porte et évangélisation de rue, activité avec des jeunes, procession du saint sacrement, service (nettoyage d'églises, bénédiction de tombes de prêtres), bénédiction d'un chemin de croix restauré, visite de personnes malades,..."
"Il est assez fréquent que les jeunes responsables de l'école de musique (pour la Sainte Cécile), la présidente du comité des fêtes (pour la fête de son village), ou encore une municipalité (pour le 11 novembre), nous demandent une « messe » en ces occasions. Doit-on mettre derrière ce mot, utilisé souvent par commodité, toute la charge de son contenu traditionnel ?
Nous nous trouvons dans un pays pour lequel le taux de pratique de la messe dominicale avoisine désormais les 2%. Ceci nous permet de comprendre que nombre de ceux qui seront rassemblés pour ce type d'événement, non seulement ne sont pas (ou ne sont plus) initiés aux « mystères » qui se célèbrent dans la Sacrement Pascal. Mais ils ne sont pas non plus catéchumènes ; ils ne demandent pas à vivre un itinéraire de foi et de conversion.
Il nous faut sans doute entendre cette demande, mais tout en la prenant pour ce qu'elle est. Il s'agit de vivre dans l'église de la commune, un temps souvent qualifié de « spirituel », sans qu'il soit pour autant possible d'en dire beaucoup plus sur ce terme. Alors comment répondre de façon adéquate à cette demande tout en ne nous berçant pas de l'illusion nous donnant à croire que nos contemporains seraient encore chrétiens ou même catholiques ?
Le travail réalisé par la fraternité diaconale de notre diocèse (l'ensemble des diacres permanents), intitulé : « Petit guide pour célébrer à l'église lors d'une fête de village », représente une tentative de proposer une démarche spirituelle, éclairée par la Parole de Dieu, mais aussi par d'autres sources de sagesse, en ces occasions décrites plus haut. Il s'agit de développer ce que nous pourrions appeler une « liturgie du seuil », susceptible peut-être (si le Seigneur le souhaite) de donner envie, un jour, aux personnes présentes d'aller plus loin et de franchir ce fameux « seuil ». Ils seraient alors, peu à peu, « initi
"Par cette expression audacieuse, « Je continue à rêver d'un nouveau printemps missionnaire… », le pape nous rappelle que l'évangélisation est la tâche essentielle, primordiale de l'Eglise en toute situation et circonstance. C'est « sa raison d'être ».
Qu'est-ce qui a poussé ces disciples, hommes et femmes, à se mettre en route, souvent dans des circonstances difficiles, et même très difficiles, tout au long de l'histoire de la mission de l'Eglise ? Ils avaient probablement comme dit encore le pape « de bons alibis pour ne pas partir » mais ils sont partis parce qu'ils avaient gardé vivant le feu qui brûle en nous et qui nous pousse à chercher au-delà de l'immédiat, au-delà du visible, au-delà des statistiques, au-delà des obstacles. Nous avons donc comme une responsabilité essentielle de garder vivant le feu intérieur auprès du Christ, en fréquentant l'évangile, les sacrements, en vivant de sa charité auprès de tous, auprès et avec les plus petits, les plus pauvres, les plus fragiles…
À cause de l'Évangile, disons « me voici », car le temps de la mission n'est pas achevé, le champ de la mission n'est pas clos, la nécessité de la mission n'est pas périmée… Ensemble témoignons de Jésus-Christ pour la gloire de Dieu et le salut du monde."