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"Du 27 au 31 juillet, la ville de Bayonne est en fête ! A cette occasion, le Bar du Curé rouvre ses portes. Situé 7 rue Gosse (entre la rue d'Espagne et les Halles), c'est le lieu idéal pour une petite pause au coeur des fêtes. Le bar du curé rouvre ses portes pour l'édition 2022 des fêtes de Bayonne ! Avec 50 centimes ou 1 €, on peut y siroter une boisson ou un cocktail sans alcool, y boire un café ou faire une partie de babyfoot !"

"Objectifs : Proposer un parcours de formation globale, qui soit vraiment, pour notre diocèse, une « école de la mission. Former des « disciples-missionnaires » dans l'esprit de l'Exhortation du Pape François : « La joie de l'Evangile »."

Programme du festival : concerts, théâtre, témoignages, conférences

"Dans l'évangile de ce dimanche, Jésus donne des consignes à ses disciples - lesquels restent valables pour nous aujourd'hui. 1. La moisson est abondante et les ouvriers sont peu nombreux.(...) 2. La mission est une affaire urgente.(...) 3. Le missionnaire ne doit pas compter sur des moyens humains mais sur Dieu.(...) 4. La mission fonctionne par rayonnement.(...) 5. Evangéliser suppose que l'interlocuteur soit libre. (...)"

"Vous êtes tous invités  à Uzès le samedi 15 octobre, fête de Sainte Thérèse d'Avila, pour nous encourager dans la mission avec les prêtres, les diacres, les consacrés et tous les fidèles. Tous, vous êtes les bienvenus !"

"Sanctuaire de la paix (1/6) Cet été, La Croix vous fait découvrir des sanctuaires où l'on prie pour la paix. Aujourd'hui, la Maison de la paix à Sainte-Mère-Église."

"Les dominicains organisent chaque été un pèlerinage de la mer avec les reliques de Marie-Madeleine. Ils vont à la rencontre des paroisses et des estivants au gré des escales entre Toulon et Marseille pour leur permettre de vénérer les reliques de la Patronne de Provence. À Toulon, vous pourrez les rencontrer et prier avec eux le 21 aout à 18.00 à la Cathédrale de Notre-Dame de la Seds."

"Il est assez fréquent que les jeunes responsables de l'école de musique (pour la Sainte Cécile), la présidente du comité des fêtes (pour la fête de son village), ou encore une municipalité (pour le 11 novembre), nous demandent une « messe » en ces occasions. Doit-on mettre derrière ce mot, utilisé souvent par commodité, toute la charge de son contenu traditionnel ? Nous nous trouvons dans un pays pour lequel le taux de pratique de la messe dominicale avoisine désormais les 2%. Ceci nous permet de comprendre que nombre de ceux qui seront rassemblés pour ce type d'événement, non seulement ne sont pas (ou ne sont plus) initiés aux « mystères » qui se célèbrent dans la Sacrement Pascal. Mais ils ne sont pas non plus catéchumènes ; ils ne demandent pas à vivre un itinéraire de foi et de conversion. Il nous faut sans doute entendre cette demande, mais tout en la prenant pour ce qu'elle est. Il s'agit de vivre dans l'église de la commune, un temps souvent qualifié de « spirituel », sans qu'il soit pour autant possible d'en dire beaucoup plus sur ce terme. Alors comment répondre de façon adéquate à cette demande tout en ne nous berçant pas de l'illusion nous donnant à croire que nos contemporains seraient encore chrétiens ou même catholiques ? Le travail réalisé par la fraternité diaconale de notre diocèse (l'ensemble des diacres permanents), intitulé : « Petit guide pour célébrer à l'église lors d'une fête de village », représente une tentative de proposer une démarche spirituelle, éclairée par la Parole de Dieu, mais aussi par d'autres sources de sagesse, en ces occasions décrites plus haut. Il s'agit de développer ce que nous pourrions appeler une « liturgie du seuil », susceptible peut-être (si le Seigneur le souhaite) de donner envie, un jour, aux personnes présentes d'aller plus loin et de franchir ce fameux « seuil ». Ils seraient alors, peu à peu, « initi

"Appelée aux quatre coins de la France, la communauté Saint-Martin multiplie ses implantations. Le dynamisme missionnaire des jeunes prêtres et leur vie de communauté semble séduire les diocèses. Enquête."