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Laurent Fabius sur twitter. il twitte pas trop là

"À quel canal Twitter s'abonner quand on anime un compte d'un organisme public ?"

"Les tenants de la Web révolution Nouvel Observateur, le Figaro, Le Monde : les plus ardents défenseurs d'un rôle décisif du web dans la révolution tunisienne sont, paradoxalement, les médias traditionnels. Le Web comme catalyseur de la « révolution » : le Nouvel Obs, par la voix de J-F Julliard, qualifie purement et simplement les événements actuels de « e-révolution », le mécontentement exprimé sur le Web ayant contribué à déloger le président tunisien. Le Monde, lui, publie une tribune d'un chercheur à l'IRIS, lequel affirme que le Web contribue à former des citoyens éclairés et politisés, donc rebelles. In fine, c'est donc bien le Web qui serait le catalyseur de la révolte. Enfin, certains médias algériens relaient par ailleurs la thèse selon laquelle Wikileaks et Facebook ont joué un rôle complémentaire dans le mécontentement : le premier en publiant certaines informations gênantes, l'autre en les popularisant. Le Web comme outil d'organisation : sur le Nouvel Obs, un article revient plus en détail sur l'organisation du mouvement via le Web, un Web devenu un « outil indispensable de l'opposant » en Tunisie. Numerama adopte le même ton : Internet aurait été en mesure de renverser le régime tunisien en raison de l'efficacité accrue de la mobilisation, une efficacité permise par le Web. Le Web comme transmetteur d'informations : par la voix de Pierre Haski (Rue89), l'AFP se range également dans le camp des tenants de la « Web révolution » : sans Internet, de telles émeutes ne seraient pas permises, notamment grâce la bonne circulation de l'information qui a rendu possible la diffusion de l'appel à la mobilisation. Les « pure players », incrédules À l'inverse, les sceptiques trouvent leur place au sein des pure-players et medias spécialisés. Les blogs comme Netpolitique, Meilcour ou Guy Birenbaum figurent parmi ces incrédules. Le Web ne fait que transmettre

Comme avant chaque grande élection, les politiques se précipitent sur les nouvelles technologies pour tenter de mieux diffuser leurs idées. Nous avons donc souhaité, avec la complicité de l'agence Edelman, mesurer comment les cinq candidats socialistes, et leurs équipes proches, ont su utiliser Twitter.

This article by Polis Summer School student Ida Ebbensgaard asks to what extent citizens are being politically empowered by having access to Twitter. She points out that there are severe limits to Twitter's political power, but she identifies its critical role as a kind of whistleblower to mainstream media.

Since early 2008, American University's Center for Social Media has been producing a series of field reports that profile innovative media for public knowledge and action. Published as part of the Center's Ford Foundation-supported Future of Public Media project (www.futureofpublicmedia.net), these case studies are designed to explore how publics form around participatory and multiplatform media projects. In this report, Nina Keim and Jessica Clark examine two linked projects related to the 2008 presidential election: Twitter Vote Report (TVR) and Inauguration Report '09 (IR09).

Twitter etiquette for the UK Cabinet

While the panel explored the disruptive nature of Twitter, it also exposed its weaknesses and opportunities. Scoble compared this disruption to that of CNN's impact on the news industry when it first debuted. All concurred that citizen media was going to

When you review the Twitter stream of the past week, it reads like a stream of constantly shifting consciousness. It is a kind of journalistic pointillism. From a distance it gains heft. It is history rendered in the collective, scattered mind and it has

For hardcore lovers of politics, Twitter served up the real-time nuts and bolts of campaigns racing to the finish line.

Qu'en pensez vous Arnaud, Stan ?