Pourquoi l'internet n'a-t-il pas changé la politique ? Peut-être parce que la politique sur internet n'est pas là où, par habitude, on va la chercher, suggère-t-il. Voire même parce que les formes représentatives traditionnelles ne sont pas nécessairement solubles dans l'internet. Et que l'internet nourrit peut-être un autre espace démocratique que celui de la compétition pour la représentation politique
A écouter une journée durant, les projets autour de l'open data, on se rend compte combien le sujet de prospective est devenu, en l'espace d'un peu plus d'un an, une réalité. On voit bien combien la réutilisation des données publiques a joué un rôle stratégique notamment dans le cadre de la libération des informations de transports. Bien souvent, l'ouverture des données publiques a permis de lever la tension, ancienne, récurrente entre institutions et délégataires du service public autour de la question de l'ouverture des informations de transports.
"We will use social media and the latest technology available to fuel the energy and commitment of folks on the ground, community by community, neighborhood by neighborhood, house to house, all around the country," said Katie Hogan, a spokeswoman for Mr. Obama's re-election campaign
Now that President Obama, former Massachusetts Governor Mitt Romney and former Minnesota Governor Tim Pawlenty have all declared their intentions to run for President in 2012 and rolled out their initial campaign websites, and another leading contender, Sarah Palin, has also unveiled a revamped website for her political operation, SarahPac, it's possible to begin sketching the contours of the 2012 election online. And so far, the inside-the-beltway political media is missing the big story. It's not Facebook. It's the data, stupid.
Actualité du monde arabe oblige (en fait, on espère que cela durera encore un peu !) : ce billet, un peu plus long que les « chroniques ordinaires », est à nouveau sur la question du web social et de la révolution arabe.
More than a quarter of American adults - 26% - used their cell phones to learn about or participate in the 2010 mid-term election campaign.
In a post-election nationwide survey of adults, the Pew Research Center's Internet & American Life Project found that 82% of adults have cell phones. Of those cell owners, 71% use their phone for texting and 39% use the phone for accessing the internet. With that as context, the Pew Internet survey found that:
uelles sont les sources privilégiées par les Français pour se tenir au courant de l'actualité politique ? L'Internet tend-il à supplanter les médias traditionnels en matière d'information ? Les réseaux sociaux en ligne redonnent-ils une nouvelle jeunesse aux conversations dans la formation des opinions ? Alors qu'il existe de nombreux travaux sur les effets politiques des médias, on connaît beaucoup moins bien les pratiques d'information politique des Français. Les premiers résultats d'une enquête réalisée par le Cevipof (Centre de recherches politiques de Sciences Po), dans le cadre du projet Mediapolis, permettent d'analyser comment l'Internet modifie nos manières de nous informer.
Brad Burnham, optimiste, estime que les grands réseaux devront trouver un équilibre entre pouvoir étatique et initiative privée, à l'image de Craiglist qu'il cite en exemple et dont le crédo est "un gouvernement gouverne mieux quand il gouverne moins". Nul service n'est une île, rappelle l'analyste… Sauf que pour l'instant, le web ouvert semble bien compromis face à la monarchie Apple ou à la dictature Facebook.
Organiser la protestation… C'est souvent ainsi qu'on lit l'engagement citoyen et les exemples de cette session n'échappaient pas à la règle. Mais où sont donc les engagements qui font éclore des propositions ? Sont-ils possible dans un monde où ceux qui font de la politique ne sont peut-être pas encore suffisamment attentif à ce que disent leurs citoyens ?
A chaque pays et chaque type d'élections sa stratégie de communication online. L'utilisation d'Internet lors des élections présidentielles américaines ne peut ainsi se transposer aux élections législatives britanniques.
Ce nouveau site communautaire, lancé à la rentrée prochaine, est le dernier né de Chris Hughes, le cofondateur de Facebook et ex-directeur de la e-campagne d'Obama. Objectif avoué : connecter de façon durable citoyens et associations pour favoriser la solidarité.
With the year-long debate over health care reform now entering its denouement (or a new chapter), how do you think the internet affected the course of the political battle?
Pour cela, ils font donc appel à un cercle de militants et de blogueurs sympathisants. Recrutés en ligne ou au hasard des rencontres et des réseaux des uns et des autres, ces militants sont chargés de différentes tâches. Certains font de la veille sur les sites, réseaux et forums d'autres partis et remontent de l'information
Seulement voilà : pas une semaine sans qu'un média ne fasse sa "une" ou ne consacre une émission à la "révolution Twitter" et ses bienfaits. Rares sont donc les candidats à oser dire que cet outil censé être magique ne leur est que de peu d'utilité. Chantal Jouanno a osé. Pour elle, "le message politique ne peut pas passer sur Twitter", qui "relève plus de la sphère personnelle". Et "quand on fait de la politique sur Twitter, ça ne donne pas grand chose de bon".
On peut partager cet avis ou non. Force est cependant de constater qu'au-delà de l'effet de mode et de la nécessité "d'y être", les régionales ne se joueront certainement pas sur le réseau de microblogging. Les candidats peuvent se consoler en pensant qu'elles leur auront au moins permis de s'essayer à cet outil, qui pourrait prendre une plus grande ampleur lors de la prochaine campagne, en 2012.