Vincent Ducrey - notebook - 0 views
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Les partis politiques ont décidé cette année de saisir Internet avec des stratégies différentes. Une approche très centralisée pour l'UMP. Un ordre de marche plus chaotique au PS. Par exemple, sur les 370.000 adhérents que compte l'UMP, un peu plus de la moitié d'entre eux, soit 190.000, seraient membres de UMPNet, une plate-forme participative du parti sur Internet. « Nous avons souhaité rendre les technologies le plus accessibles possible à tous les candidats sur notre site. Cent fédérations nous ont rejoints et tout le monde s'y met maintenant, petits comme grands candidats », explique Thierry Solère, secrétaire national de l'UMP chargé d'Internet.
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Les partis politiques ont décidé cette année de saisir Internet avec des stratégies différentes. Une approche très centralisée pour l'UMP. Un ordre de marche plus chaotique au PS. Par exemple, sur les 370.000 adhérents que compte l'UMP, un peu plus de la moitié d'entre eux, soit 190.000, seraient membres de UMPNet, une plate-forme participative du parti sur Internet. « Nous avons souhaité rendre les technologies le plus accessibles possible à tous les candidats sur notre site. Cent fédérations nous ont rejoints et tout le monde s'y met maintenant, petits comme grands candidats », explique Thierry Solère, secrétaire national de l'UMP chargé d'Internet.
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es partis politiques ont décidé cette année de saisir Internet avec des stratégies différentes. Une approche très centralisée pour l'UMP. Un ordre de marche plus chaotique au PS. Par exemple, sur les 370.000 adhérents que compte l'UMP, un peu plus de la moitié d'entre eux, soit 190.000, seraient membres de UMPNet, une plate-forme participative du parti sur Internet. « Nous avons souhaité rendre les technologies le plus accessibles possible à tous les candidats sur notr