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Arnault Coulet

Miroir politique - Internet - Copé et la régulation d'Internet - - 1 views

  • "Internet est une chance pour la démocratie et la politique. Mais l'absence de règles est l'anarchie et la loi du plus fort".
  • .Copé explique ainsi avoir reçu des menaces anonymes sur son blog suite à ses prises de positions sur la loi Hadopi, menaces et insultes qu'il qualifie lui-même de "grotesques". Cependant, en quoi ces messages sur son blog font ils d'internet une zone anarchique où tout est permis ?
  • "bouleversement profond de notre vision du monde, de nos modes de vie, de nos relations aux autres, de l'organisation de notre société et de l'économie"
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  • A en croire le texte voté par le parlement, il s'agit bien de la première définition.
  • qu'il est du devoir des politiques "de faire en sorte que les progrès soient mis au service de l'homme, et particulièrement des plus vulnérables". Une description des hommes vulnérables et alors plus que requise ! Deux possibilités: -Soit il s'agit des majors et artistes qui ont besoin d'Hadopi pour pouvoir nourrir leurs familles. -Soit il s'agit de l'internaute débutant qui, se faisant pirater, se verra sous le coup d'une amende pour négligence caractérisée (voir mon article sur Hadopi et le wifi).
  • l'intérêt nourri par les politiques vis à vis du net (parallèlement à la peur qu'il leur inspire) et Jean-François Copé ne déroge pas à la règle. Pour lui, Internet est un moyen d'établir "un contact plus direct et moins formel avec des citoyens parfois éloignés du débat politique".
  • liste de ce qu'il faut mettre en place sur Internet selon lui.
stan mag

L'observatoire hebdomadaire du web politique #14 : Spécial Tunisie | Facebook - 0 views

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    "Les tenants de la Web révolution Nouvel Observateur, le Figaro, Le Monde : les plus ardents défenseurs d'un rôle décisif du web dans la révolution tunisienne sont, paradoxalement, les médias traditionnels. Le Web comme catalyseur de la « révolution » : le Nouvel Obs, par la voix de J-F Julliard, qualifie purement et simplement les événements actuels de « e-révolution », le mécontentement exprimé sur le Web ayant contribué à déloger le président tunisien. Le Monde, lui, publie une tribune d'un chercheur à l'IRIS, lequel affirme que le Web contribue à former des citoyens éclairés et politisés, donc rebelles. In fine, c'est donc bien le Web qui serait le catalyseur de la révolte. Enfin, certains médias algériens relaient par ailleurs la thèse selon laquelle Wikileaks et Facebook ont joué un rôle complémentaire dans le mécontentement : le premier en publiant certaines informations gênantes, l'autre en les popularisant. Le Web comme outil d'organisation : sur le Nouvel Obs, un article revient plus en détail sur l'organisation du mouvement via le Web, un Web devenu un « outil indispensable de l'opposant » en Tunisie. Numerama adopte le même ton : Internet aurait été en mesure de renverser le régime tunisien en raison de l'efficacité accrue de la mobilisation, une efficacité permise par le Web. Le Web comme transmetteur d'informations : par la voix de Pierre Haski (Rue89), l'AFP se range également dans le camp des tenants de la « Web révolution » : sans Internet, de telles émeutes ne seraient pas permises, notamment grâce la bonne circulation de l'information qui a rendu possible la diffusion de l'appel à la mobilisation. Les « pure players », incrédules À l'inverse, les sceptiques trouvent leur place au sein des pure-players et medias spécialisés. Les blogs comme Netpolitique, Meilcour ou Guy Birenbaum figurent parmi ces incrédules. Le Web ne fait que transmettre
Arnault Coulet

Un numéro de téléphone fixe pour les sans-domicile-fixe - 0 views

  • L'association Reconnect, lauréate du concours Jeunes Talents Innovation organisé par SFR, propose aux plus démunis un numéro de téléphone fixe et une messagerie. L'intérêt ? Rester joignable et maintenir un lien social.
  • our Eric Chatry, fondateur de Reconnect, le constat est simple : « On parle beaucoup de l'ordinateur, mais le premier outil permettant de maintenir un lien social, c'est le téléphone. »
  • une étude faite par Reconnect montre que 60 % des personnes en situation précaire ont un téléphone mobile, avec dans la plupart des cas le recours aux cartes prépayées.
  • ...3 more annotations...
  • C'est là que le bât blesse. Ces offres, souvent présentées par les opérateurs comme des solutions idéales pour les utilisateurs ayant des revenus faibles ou irréguliers, posent plus de problèmes qu'elles n'en résolvent. Elles sont d'abord très coûteuses, avec un prix tournant autour de 0,50 euro par minute, bien supérieur à n'importe quel forfait. Elles obligent de plus à une consommation assez rapide des minutes achetées, sans quoi le numéro de téléphone est attribué à un autre utilisateur. « 70 % des utilisateurs n'ont plus d'unité et courent le risque de perdre leur numéro », estime-t-on chez Reconnect. Sans parler des problèmes de perte ou de vol des appareils.
  • Déployé l'an dernier en Ile-de-France, le système est actuellement utilisé par quelque 500 personnes. Il est encore en phase de test et dépend de subventions. L'objectif est de le déployer à plus grande échelle pour un prix de 10 euros par trimestre qui sera supporté par l'utilisateur ou l'association
  • L'originalité du concours organisé par SFR est en effet d'organiser un partenariat avec des villes, « afin d'avoir un ancrage local et de bénéficier de développements rapides », précise Pierre-Emmanuel Struyvel, responsable de l'innovation et des nouveaux marchés chez SFR.
stan mag

Les cartes de maillage de la Coopol - 1 views

  • Comment partir en campagne sans savoir précisément qui a voté quoi aux précédentes élections? Avec la coopol, c'est aujourd'hui possible. Régionales 2004, présidentielle 2007, européennes 2009: vous avez accès à tout ce qu'il faut pour vous faire une idée précise des rapports de force électoraux sur des zones d'une taille de 2.000 habitants:
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    Comment partir en campagne sans savoir précisément qui a voté quoi aux précédentes élections? Avec la coopol, c'est aujourd'hui possible. Régionales 2004, présidentielle 2007, européennes 2009: vous avez accès à tout ce qu'il faut pour vous faire une idée précise des rapports de force électoraux sur des zones d'une taille de 2.000 habitants:
Arnault Coulet

Gov 2.0: It's All About The Platform - Tim O'Reilly sur la def de la Netgouvernance (vi... - 0 views

  • But as with Web 2.0, the real secret of success in Government 2.0 is thinking about government as a platform. If there’s one thing we learn from the technology industry, it’s that every big winner has been a platform company: someone whose success has enabled others, who’ve built on their work and multiplied its impact
  • Behind Federal CIO Vivek Kundra’s data.gov site is the idea that government agencies shouldn’t just provide web sites, they should provide web services
  • Location is the key to the relevance of government to its citizenry, as well as to a host of non-governmental services. But there are already disputes about who owns the data. For example, the New York Metropolitan Transportation Authority issued a takedown order against the StationStops iPhone application. This is exactly the kind of bad policy that we hope to remedy by shedding light on best practices in government platform building
stan mag

Les réseaux sociaux, vecteurs de changement social : Tech Ethique - 0 views

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    "Prenons l'exemple de l'écologie. La plupart des citoyens sont pétris de bonnes intentions, mais pourtant, peu militent pour cette cause, ou modifient sérieusement leurs comportements dans ce sens. Cela peut venir d'un manque d'intérêt, de connaissance, ou simplement d'un certain scepticisme : "impossible que mon action, elle seule, puisse avoir le moindre impact". Les réseaux sociaux peuvent permettre d'abattre ces barrières, selon cette étude. Les petites actions militantes, qui autrefois restaient dans l'anonymat, sans jamais connaître aucun écho, se voient soudain relayées à des centaines, voire des milliers de personnes."
Rem Palpitt

Twitter et les régionales, entre platitudes et invectives - 0 views

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    Seulement voilà : pas une semaine sans qu'un média ne fasse sa "une" ou ne consacre une émission à la "révolution Twitter" et ses bienfaits. Rares sont donc les candidats à oser dire que cet outil censé être magique ne leur est que de peu d'utilité. Chantal Jouanno a osé. Pour elle, "le message politique ne peut pas passer sur Twitter", qui "relève plus de la sphère personnelle". Et "quand on fait de la politique sur Twitter, ça ne donne pas grand chose de bon". On peut partager cet avis ou non. Force est cependant de constater qu'au-delà de l'effet de mode et de la nécessité "d'y être", les régionales ne se joueront certainement pas sur le réseau de microblogging. Les candidats peuvent se consoler en pensant qu'elles leur auront au moins permis de s'essayer à cet outil, qui pourrait prendre une plus grande ampleur lors de la prochaine campagne, en 2012.
Arnault Coulet

Interview du NPA de Besancenot : vers la galaxie Web anti-capitaliste (@elu20) - 0 views

  • Afin de matérialiser sur le Web la blogosphère NPA et ainsi aider les militants à interagir entre eux, le NPA a le projet Web de mettre en ligne une interface graphique facilitant le repérage des blogs. La base du projet sera une carte de France cliquable qui reprendra en particulier les sites Web et blogs créés - région par région - par les militants à l'occasion des élections européennes 2009 et des élections régionales 2010.
  • Le NPA et les réseaux sociaux : une réunion stratégique à l'automne Le NPA a dans son équipe Web une personne en charge de veiller sur facebook et Twitter. Elle gère également la page facebook du NPA (page bloquée actuellement par facebook sans que le NPA en connaisse la raison) et son compte Twitter sur lequel elle renvoie des informations publiés sur le site ou concernant des évènements du NPA. Cependant, selon Frédéric BORRAS, le NPA fait à ce jour une faible utilisation de Twitter et il n'existe pas de coordination au niveau des élus et des militants sur ces 2 réseaux sociaux (il nous indique également qu'il n'y a pas à ce jour de plan de formation généralisé pour que les élus et militants s'approprient davantage les outils et services Web). Les choses sont néanmoins appelées à changer puisque Frédéric BORRAS nous annonce une grande réunion à l'automne sur la stratégie Web du NPA. Twitter sera un des points clés du programme de cette réunion.
  • ce qui résume le plus ses propos sur l'utilisation du Web pour le NPA, c'est le Web comme lieu pouvant favoriser l'émergence d'une galaxie anti-capitaliste. A ce titre et en plus de la blogosphère NPA existante, Frédéric BORRAS cite la structure Louise Michel montée hors du NPA qui va bientôt disposer d'un site Web permettant le regroupement de personnes qui défendent les mêmes causes. Il nous précise par ailleurs que le NPA va créer, aider à créer et répertorier de plus en plus de sites thématiques (par exemple, un site sur l'automobile, la santé, les jeunes...) lui permettant d'étendre ses idées à toute la société.
Arnault Coulet

Nous sommes tous Khaled Said : la plus grande campagne d'activisme en ligne d... - 0 views

  • Révolte sur Facebook La cam­pagne « Nous sommes tous Khaled Said », lan­cée sur Facebook et qui réuni à ce jour pas loin d’un quart de mil­lions de «fans» (lien de la page en arabe), soit près de 10% des uti­li­sa­teurs de Facebook en Egypte, a fait voler en éclat le men­songe gou­ver­ne­men­tal en mon­trant la photo de Khaled après son décès. Mutilé et com­plè­te­ment défi­guré, il était clair qu’il était mort sous la tor­ture (la photo est à décon­seiller aux âmes sen­sibles)
  • L’une des com­po­santes qui a fait le suc­cès de cette cam­pagne d’activisme en ligne a sans nul doute été l’existence d’une adresse email de contact et d’un blog assez com­plet, ras­sem­blant toutes les infor­ma­tions sur l’affaire Khaled Said.
  • des acteurs pré­sents dans les média Egyptiens se sont mobi­li­sés et ont même par­ti­cipé aux « silent stands » qui s’organisaient régu­liè­re­ment sur la page Facebook. Plus effi­cace encore que les flash­mobs, ce mode de mani­fes­ta­tion paci­fique a beau­coup fait par­ler de lui en Egypte. Les «silent stands» avaient lieu simul­ta­né­ment dans plu­sieurs régions égyp­tiennes, et ont réuni de très nom­breux citoyens. La vio­lence employée par la police pour répri­mer les mani­fes­tants n’a fait qu’envenimer les choses.
  • ...2 more annotations...
  • Ayant réa­lisé que la situa­tion était deve­nue incon­trô­lable, le gou­ver­ne­ment a changé de stra­té­gie : ils ont pré­senté une nou­velle ver­sion des faits, affir­mant que Khaled Said se serait fait tuer suite à la conver­sion de ses frères au judaïsme et à leur demande de natu­ra­li­sa­tion amé­ri­caine. Khaled, soupçonné d’être tenté de les rejoindre, aurait donc été assas­siné par des isla­mistes, ce qui, au regard de son tout nou­veau sta­tut de traitre, n’était pas bien grave, fina­le­ment. Par contre, plus ques­tion de toxicomanie. Pour appuyer ses affir­ma­tions, le gou­ver­ne­ment fit cir­cu­ler une photo qui ne fai­sait guère que démon­trer sa faible mai­trise de Photoshop. Elle fut immé­dia­te­ment dénon­cée sur Facebook.
  • Les mili­tants, de leur coté, sont pas­sés à l’étape sui­vante : ils ont demandé à tout le monde d’écrire « Non à la tor­ture, non à l’Etat d’urgence, ce pays est le nôtre : Nous sommes tous Khaled Said », ainsi que d’autre mes­sages reven­di­ca­tifs sur tous les billets de banque qui leur pas­sait dans les mains afin de dif­fu­ser leur mes­sage sur quelque chose dont il est dif­fi­cile d’arrêter la cir­cu­la­tion : l’argent.
Arnault Coulet

Comment éviter les fuites de résultats électoraux sur Internet ? (@stephanedr... - 0 views

  • Quelles sont-elles ? Selon l’article 12 de la loi 19 juillet 1977 relative à la publication et à la diffusion de certains sondages d'opinion, ainsi que l’article L. 52-1 du code électoral associé à la sanction pénale définie par l’article L. 90-1 du même code, la publication la veille et le jour du scrutin de sondages est punie d’une amende de 75.000 €. Cette interdiction frappe donc aussi les sondages « sortie des urnes », élaborées à partir d’enquêtes réalisée à la sortie des bureaux de vote. Par ailleurs, selon l’article L. 52-2 du code électoral, dont l'infraction est sanctionnée par l’article L. 89 du même code, prohibe la publication « de résultat d'élection, partiel ou définitif (…) par la voie de la presse ou par tout moyen de communication au public par voie électronique, en métropole, avant la fermeture du dernier bureau de vote sur le territoire métropolitain ».
  • Cette interdiction concerne donc les estimations publiés à 18h30, projections calculées par les instituts de sondages à partir des résultats d’un certain nombre de bureaux test ayant des comportements de vote semblables au reste de la France. Sans que l’on comprenne bien pourquoi, la sanction est dans ce cas beaucoup plus légère que dans le premier cas : 3.750 €. « Il y a un peu d’ordre à mettre dans tout cela, constate Marie-Eve Aubin, présidente de la Commission de sondages. D’autant que nos pouvoirs et notre champ d’intervention sont limités ». « Il faudra préciser les moyens de la commission des sondages », confirme Jean-Pierre Sueur, sénateur PS du Loire, chargé, avec Hugues Portelli, sénateur UMP du Val d’Oise, d’un rapport pour la Commission des lois du Sénat sur la question des sondages, qui doit être rendu en juin ou en septembre prochains.
  • Peut-être proposeront-ils également une surveillance accrue du Net. En 2007, la Commission de contrôle de la campagne et la Commission des sondages avait en effet mis en place un dispositif de surveillance sur Internet afin de repérer les infractions au code électoral.
Arnault Coulet

Depuis Hadopi, le nombre de pirates en France a augmenté - 1 views

  • Inefficace et même contre-productive. La première enquête sur l'influence d'Hadopi sur le comportement des internautes devrait doucher les espoirs de l'industrie musicale et audiovisuelle. Une note de l'université de Rennes montre que depuis l'adoption de la loi en septembre dernier, le nombre de pirates a augmenté de 3% et que ceux-ci adoptent de plus en plus des pratiques qui contournent les dispositions d'Hadopi.
  • L'étude révèle également que sur l'ensemble des internautes consommateurs de musique, seuls 14% échangent des fichiers vidéo/audio via les réseaux Peer-to-Peer et tombent ainsi sous le coup d'Hadopi. C'est moins que les 16% de pirates qui ont recours aux méthodes non couvertes par la loi Création et Internet. Selon les calculs des Echos, cela veut dire que «plus de 3 millions de pirates passeraient donc au travers des mailles d'Hadopi» . «La loi ne ciblerait que 2,7 millions de Français», affirme le quotidien.
  • En outre, l'enquête, qui porte sur 2.000 internautes bretons, révèle que seulement un tiers de ces déserteurs a totalement renoncé au téléchargement illégal. Les deux tiers restants se sont reportés vers des pratiques alternatives de piratage échappant à la loi Hadopi.
  • ...1 more annotation...
  • L'enquête a également fait apparaître un effet secondaire inattendu de la loi. De nombreux adeptes du téléchargement illégal ont déclaré acheter, parallèlement, des contenus numériques. Couper la connexion internet des utilisateurs de peer-to-peer pourrait réduire la taille du marché des contenus culturels numériques de 27%.
Arnault Coulet

Le gouvernement lance Waka avec Skyrock, lâchez vos comm' ! - 0 views

  • « Waka, ce "canoë" sur le web, c'est avant tout un outil adapté à notre temps, aux besoins des jeunes de trouver vite, sur un espace virtuel qui leur appartient et qu'ils se sont appropriés, des réponses à leurs questions les plus quotidiennes, tout en gardant la liberté d'échanger et de dialoguer sans tabous. »
Arnault Coulet

Internet Sans Frontières » Blog Archive » Le bloquage de Facebook en Iran et ... - 0 views

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    blocage de facebook en iran à 3 semaine des élections
Arnault Coulet

Le ministère de la Culture oublie de renouveler Jaimelesartistes.fr #hadopi (... - 0 views

  • le site intitulé j'aime les artistes pas les majors, affiche quantité de liens vers les pages de la Quadrature du Net, Canard PC, une de nos actus sur un best of des casseroles de Christine Albanel, des articles de Maitre Eolas, Numérama, La Bataille Hadopi, etc.
  • Cette gestion du domaine va provoquer sans doute des remous : le site officiel défendu par Christine Albanel avait été facturé au ministère de la Culture, et donc aux contribuables, entre 50 000 et 85 000 euros selon les estimations que nous avait fait la Rue de Valois (hors taxes)
  • L'internaute derrrière ce site nous a avoué qu'il filtrait, en guise de clin d'oeil tout accès "d'une ip appartenant au ministère de la culture"  (technique). "Ces IP sont redirigées vers  vers http://www.jaimelesartistes.info/block.php en m'envoyant un mail au passage". Le premier mail est tombé peu après cette actualité, preuve qu'une IP appartenant à proxy-valois.culture.fr s'est à nouveau préoccupé de Jaimelesartistes.fr.
Arnault Coulet

La règle des 1% s'applique aussi au politique ! @albanmartin - 0 views

  • On trouve depuis peu une analogie troublante avec la participation au fonctionnement des instances publiques. En effet, Pierre Rosanvallon, professeur au collège de France et auteur de  La légitimité démocratique paru en 2008, nous explique que « si l’on considère la fréquence de l’engagement régulier dans de telles instances organisées (comités de quartiers, jurys citoyens, commissions d’enquête etc) on a estimé dans le cas britannique qu’environ 1% des adultes étaient concernés. » C’est à dire qu’un seul pour-cent des citoyens anglais contribue de manière active à la vie publique, au « bénéfice » de 100% de la population. Cette estimation se fonde sur l’étude de Tom Bentley détaillée dans  Everyday Democracy paru en 2005. Ce dernier relève également qu’on retrouve à peu près ce même niveau de membres actifs quelque soit les pays où il a mené son étude, exception faite du Brésil qui atteint les 2%.
  • il est troublant de noter que les chantres de la démocratie représentative, reposant par ailleurs sur les partis politiques et la règle des 1%, sont bien souvent les opposants les plus virulents à tout saupoudrage de « collaboration citoyenne » dans les différents processus de décision gouvernementale, au prétexte « d’équité » non respectée : inégalité d’accès à l’information si celle ci transite par les nouvelles technologies, caractère non exhaustif d’une consultation citoyenne ponctuelle, pas de majorité numérique absolue atteignable via ces dispositifs etc.
  • n’aurait-on pas intérêt à accorder les deux méthodes, plutôt qu’à les opposer sans cesse ? en effet, leurs limites respectives ont la chance d’être complémentaires : imaginez un représentant qui peut compter sur une intelligence collective représentée par 1% de citoyens bénévoles prêt à contribuer à un sujet de société. Ces 1% de citoyens ne seraient bien sûr pas représentatifs (et ce n’est pas ce qui est attendu d’eux, ce rôle étant joué par l’élu qui encadre les échanges et tranche en dernier ressort). Par contre, ils seraient créateurs d’une masse de données et de remontées terrains capables d’éclairer la prise de décision
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