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L'observatoire hebdomadaire du web politique #14 : Spécial Tunisie | Facebook - 0 views

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    "Les tenants de la Web révolution Nouvel Observateur, le Figaro, Le Monde : les plus ardents défenseurs d'un rôle décisif du web dans la révolution tunisienne sont, paradoxalement, les médias traditionnels. Le Web comme catalyseur de la « révolution » : le Nouvel Obs, par la voix de J-F Julliard, qualifie purement et simplement les événements actuels de « e-révolution », le mécontentement exprimé sur le Web ayant contribué à déloger le président tunisien. Le Monde, lui, publie une tribune d'un chercheur à l'IRIS, lequel affirme que le Web contribue à former des citoyens éclairés et politisés, donc rebelles. In fine, c'est donc bien le Web qui serait le catalyseur de la révolte. Enfin, certains médias algériens relaient par ailleurs la thèse selon laquelle Wikileaks et Facebook ont joué un rôle complémentaire dans le mécontentement : le premier en publiant certaines informations gênantes, l'autre en les popularisant. Le Web comme outil d'organisation : sur le Nouvel Obs, un article revient plus en détail sur l'organisation du mouvement via le Web, un Web devenu un « outil indispensable de l'opposant » en Tunisie. Numerama adopte le même ton : Internet aurait été en mesure de renverser le régime tunisien en raison de l'efficacité accrue de la mobilisation, une efficacité permise par le Web. Le Web comme transmetteur d'informations : par la voix de Pierre Haski (Rue89), l'AFP se range également dans le camp des tenants de la « Web révolution » : sans Internet, de telles émeutes ne seraient pas permises, notamment grâce la bonne circulation de l'information qui a rendu possible la diffusion de l'appel à la mobilisation. Les « pure players », incrédules À l'inverse, les sceptiques trouvent leur place au sein des pure-players et medias spécialisés. Les blogs comme Netpolitique, Meilcour ou Guy Birenbaum figurent parmi ces incrédules. Le Web ne fait que transmettre
Arnault Coulet

Comment éviter les fuites de résultats électoraux sur Internet ? (@stephanedr... - 0 views

  • Quelles sont-elles ? Selon l’article 12 de la loi 19 juillet 1977 relative à la publication et à la diffusion de certains sondages d'opinion, ainsi que l’article L. 52-1 du code électoral associé à la sanction pénale définie par l’article L. 90-1 du même code, la publication la veille et le jour du scrutin de sondages est punie d’une amende de 75.000 €. Cette interdiction frappe donc aussi les sondages « sortie des urnes », élaborées à partir d’enquêtes réalisée à la sortie des bureaux de vote. Par ailleurs, selon l’article L. 52-2 du code électoral, dont l'infraction est sanctionnée par l’article L. 89 du même code, prohibe la publication « de résultat d'élection, partiel ou définitif (…) par la voie de la presse ou par tout moyen de communication au public par voie électronique, en métropole, avant la fermeture du dernier bureau de vote sur le territoire métropolitain ».
  • Cette interdiction concerne donc les estimations publiés à 18h30, projections calculées par les instituts de sondages à partir des résultats d’un certain nombre de bureaux test ayant des comportements de vote semblables au reste de la France. Sans que l’on comprenne bien pourquoi, la sanction est dans ce cas beaucoup plus légère que dans le premier cas : 3.750 €. « Il y a un peu d’ordre à mettre dans tout cela, constate Marie-Eve Aubin, présidente de la Commission de sondages. D’autant que nos pouvoirs et notre champ d’intervention sont limités ». « Il faudra préciser les moyens de la commission des sondages », confirme Jean-Pierre Sueur, sénateur PS du Loire, chargé, avec Hugues Portelli, sénateur UMP du Val d’Oise, d’un rapport pour la Commission des lois du Sénat sur la question des sondages, qui doit être rendu en juin ou en septembre prochains.
  • Peut-être proposeront-ils également une surveillance accrue du Net. En 2007, la Commission de contrôle de la campagne et la Commission des sondages avait en effet mis en place un dispositif de surveillance sur Internet afin de repérer les infractions au code électoral.
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