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Arnault Coulet

Le site web de la présidence sera opérationnel après les régionales (via @fon... - 0 views

  • Le site web de la présidence sera opérationnel après les régionales Nicolas Sarkozy, Franck Louvrier, Web, Politique Par pierre-alain le 06/03/2010 à 17:29, vu 1152 fois, 4  Franck Louvrier , conseiller en communication de Nicolas Sarkozy indique à l' Express.fr, que la nouvelle version du site de la présidence (elysee.fr) sera opérationnel au lendemain des élections régionales.Mais pourquoi cette date?Simplement "pour éviter une polémique", dixit le conseiller en communication.Pourtant, comme le rappelle le site, le chef de l'Etat doit donner une interview au Figaro magazine, le 13 mars prochain, soit la veille du premier tour...Et le lancement de cette formule de elysee.fr se fait vraiment désirer... Il a été repoussé à deux reprises, indique L'Express.fr... Suspense donc!
stan mag

L'observatoire hebdomadaire du web politique #14 : Spécial Tunisie | Facebook - 0 views

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    "Les tenants de la Web révolution Nouvel Observateur, le Figaro, Le Monde : les plus ardents défenseurs d'un rôle décisif du web dans la révolution tunisienne sont, paradoxalement, les médias traditionnels. Le Web comme catalyseur de la « révolution » : le Nouvel Obs, par la voix de J-F Julliard, qualifie purement et simplement les événements actuels de « e-révolution », le mécontentement exprimé sur le Web ayant contribué à déloger le président tunisien. Le Monde, lui, publie une tribune d'un chercheur à l'IRIS, lequel affirme que le Web contribue à former des citoyens éclairés et politisés, donc rebelles. In fine, c'est donc bien le Web qui serait le catalyseur de la révolte. Enfin, certains médias algériens relaient par ailleurs la thèse selon laquelle Wikileaks et Facebook ont joué un rôle complémentaire dans le mécontentement : le premier en publiant certaines informations gênantes, l'autre en les popularisant. Le Web comme outil d'organisation : sur le Nouvel Obs, un article revient plus en détail sur l'organisation du mouvement via le Web, un Web devenu un « outil indispensable de l'opposant » en Tunisie. Numerama adopte le même ton : Internet aurait été en mesure de renverser le régime tunisien en raison de l'efficacité accrue de la mobilisation, une efficacité permise par le Web. Le Web comme transmetteur d'informations : par la voix de Pierre Haski (Rue89), l'AFP se range également dans le camp des tenants de la « Web révolution » : sans Internet, de telles émeutes ne seraient pas permises, notamment grâce la bonne circulation de l'information qui a rendu possible la diffusion de l'appel à la mobilisation. Les « pure players », incrédules À l'inverse, les sceptiques trouvent leur place au sein des pure-players et medias spécialisés. Les blogs comme Netpolitique, Meilcour ou Guy Birenbaum figurent parmi ces incrédules. Le Web ne fait que transmettre
Arnault Coulet

Carnet de Jean-Pierre Raffarin » Archive du blog » Mon carnet en chinois ! - 0 views

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    son blog en chinois
Arnault Coulet

Un numéro de téléphone fixe pour les sans-domicile-fixe - 0 views

  • L'association Reconnect, lauréate du concours Jeunes Talents Innovation organisé par SFR, propose aux plus démunis un numéro de téléphone fixe et une messagerie. L'intérêt ? Rester joignable et maintenir un lien social.
  • our Eric Chatry, fondateur de Reconnect, le constat est simple : « On parle beaucoup de l'ordinateur, mais le premier outil permettant de maintenir un lien social, c'est le téléphone. »
  • une étude faite par Reconnect montre que 60 % des personnes en situation précaire ont un téléphone mobile, avec dans la plupart des cas le recours aux cartes prépayées.
  • ...3 more annotations...
  • C'est là que le bât blesse. Ces offres, souvent présentées par les opérateurs comme des solutions idéales pour les utilisateurs ayant des revenus faibles ou irréguliers, posent plus de problèmes qu'elles n'en résolvent. Elles sont d'abord très coûteuses, avec un prix tournant autour de 0,50 euro par minute, bien supérieur à n'importe quel forfait. Elles obligent de plus à une consommation assez rapide des minutes achetées, sans quoi le numéro de téléphone est attribué à un autre utilisateur. « 70 % des utilisateurs n'ont plus d'unité et courent le risque de perdre leur numéro », estime-t-on chez Reconnect. Sans parler des problèmes de perte ou de vol des appareils.
  • Déployé l'an dernier en Ile-de-France, le système est actuellement utilisé par quelque 500 personnes. Il est encore en phase de test et dépend de subventions. L'objectif est de le déployer à plus grande échelle pour un prix de 10 euros par trimestre qui sera supporté par l'utilisateur ou l'association
  • L'originalité du concours organisé par SFR est en effet d'organiser un partenariat avec des villes, « afin d'avoir un ancrage local et de bénéficier de développements rapides », précise Pierre-Emmanuel Struyvel, responsable de l'innovation et des nouveaux marchés chez SFR.
Arnault Coulet

Comment éviter les fuites de résultats électoraux sur Internet ? (@stephanedr... - 0 views

  • Quelles sont-elles ? Selon l’article 12 de la loi 19 juillet 1977 relative à la publication et à la diffusion de certains sondages d'opinion, ainsi que l’article L. 52-1 du code électoral associé à la sanction pénale définie par l’article L. 90-1 du même code, la publication la veille et le jour du scrutin de sondages est punie d’une amende de 75.000 €. Cette interdiction frappe donc aussi les sondages « sortie des urnes », élaborées à partir d’enquêtes réalisée à la sortie des bureaux de vote. Par ailleurs, selon l’article L. 52-2 du code électoral, dont l'infraction est sanctionnée par l’article L. 89 du même code, prohibe la publication « de résultat d'élection, partiel ou définitif (…) par la voie de la presse ou par tout moyen de communication au public par voie électronique, en métropole, avant la fermeture du dernier bureau de vote sur le territoire métropolitain ».
  • Cette interdiction concerne donc les estimations publiés à 18h30, projections calculées par les instituts de sondages à partir des résultats d’un certain nombre de bureaux test ayant des comportements de vote semblables au reste de la France. Sans que l’on comprenne bien pourquoi, la sanction est dans ce cas beaucoup plus légère que dans le premier cas : 3.750 €. « Il y a un peu d’ordre à mettre dans tout cela, constate Marie-Eve Aubin, présidente de la Commission de sondages. D’autant que nos pouvoirs et notre champ d’intervention sont limités ». « Il faudra préciser les moyens de la commission des sondages », confirme Jean-Pierre Sueur, sénateur PS du Loire, chargé, avec Hugues Portelli, sénateur UMP du Val d’Oise, d’un rapport pour la Commission des lois du Sénat sur la question des sondages, qui doit être rendu en juin ou en septembre prochains.
  • Peut-être proposeront-ils également une surveillance accrue du Net. En 2007, la Commission de contrôle de la campagne et la Commission des sondages avait en effet mis en place un dispositif de surveillance sur Internet afin de repérer les infractions au code électoral.
Arnault Coulet

La règle des 1% s'applique aussi au politique ! @albanmartin - 0 views

  • On trouve depuis peu une analogie troublante avec la participation au fonctionnement des instances publiques. En effet, Pierre Rosanvallon, professeur au collège de France et auteur de  La légitimité démocratique paru en 2008, nous explique que « si l’on considère la fréquence de l’engagement régulier dans de telles instances organisées (comités de quartiers, jurys citoyens, commissions d’enquête etc) on a estimé dans le cas britannique qu’environ 1% des adultes étaient concernés. » C’est à dire qu’un seul pour-cent des citoyens anglais contribue de manière active à la vie publique, au « bénéfice » de 100% de la population. Cette estimation se fonde sur l’étude de Tom Bentley détaillée dans  Everyday Democracy paru en 2005. Ce dernier relève également qu’on retrouve à peu près ce même niveau de membres actifs quelque soit les pays où il a mené son étude, exception faite du Brésil qui atteint les 2%.
  • il est troublant de noter que les chantres de la démocratie représentative, reposant par ailleurs sur les partis politiques et la règle des 1%, sont bien souvent les opposants les plus virulents à tout saupoudrage de « collaboration citoyenne » dans les différents processus de décision gouvernementale, au prétexte « d’équité » non respectée : inégalité d’accès à l’information si celle ci transite par les nouvelles technologies, caractère non exhaustif d’une consultation citoyenne ponctuelle, pas de majorité numérique absolue atteignable via ces dispositifs etc.
  • n’aurait-on pas intérêt à accorder les deux méthodes, plutôt qu’à les opposer sans cesse ? en effet, leurs limites respectives ont la chance d’être complémentaires : imaginez un représentant qui peut compter sur une intelligence collective représentée par 1% de citoyens bénévoles prêt à contribuer à un sujet de société. Ces 1% de citoyens ne seraient bien sûr pas représentatifs (et ce n’est pas ce qui est attendu d’eux, ce rôle étant joué par l’élu qui encadre les échanges et tranche en dernier ressort). Par contre, ils seraient créateurs d’une masse de données et de remontées terrains capables d’éclairer la prise de décision
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