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Arnault Coulet

Le retour des communautés | InternetActu.net - 0 views

  • On peut aussi, grâce au net et à l’innovation technologique, contribuer de manière plus politique à l’entretien des espaces verts. La cartographie, comme l’avait souligné plus tôt dans la matinée John Tackarah, peut jouer un rôle important. Ainsi, la publication de deux photos montrant la destruction des forêts urbaines à Washington entre les années 70 et aujourd’hui a suscité suffisamment d’émotion pour entrainer une intense campagne de reforestation. D’autres préféreront devenir des “scientifiques citoyens” et communiquer leurs observations sur l’évolution de leur écologie locale.
  • Au-delà de la réduction de l’impact environnemental, l’objectif, selon Jégou, est de devenir “co-producteur des services dont on bénéficie“, mais aussi de “regénérer du tissu social“… I
  • Ce que François Jégou qualifie de “communautés créatives”, c’est-à-dire des communautés qui “n’attendent pas, (mais) qui inventent, ensemble, pour résoudre les problèmes eux-mêmes“.
Rem Palpitt

L'Etat français crowdsource la stratégie 2020 de l'administration - 1 views

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    Bon, et bien, on dirait que le ministère des finances et du budget embrasse de plus en plus le participatif dans son fonctionnement (peut-être car il s'agit du ministère le plus proche du secteur privé, qui a compris depuis quelques années déjà l'intérêt de faire appel à la communauté pour optimiser son fonctionnement?)
Arnault Coulet

Le crowdsourcing, c'est aussi un jeu - 0 views

  • Une étude du Georgia Institute of Technology (pdf) a montré en 2005 que les Wikipédiens travaillaient souvent dans le but d’obtenir une reconnaissance de la communauté
  • En plus de la gratification de long-terme (la crédibilité, la reconnaissance des pairs), certains trouvent dans la collaboration une gratification immédiate, dans le divertissement.
Arnault Coulet

#regionales Intéressante analyse de @rslnmag : la révolution des contenus est... - 0 views

  • chez RSLNmag.fr, on a l’impression que cette campagne des régionales 2010 marque également une évolution nette sur les sites classiques des partis, hors des dispositifs communautaires. On s’explique : c’est la première fois, nous semble-t-il, que l’on parle autant de contenus, au point que certains sites basculent du champ purement institutionnel, vers un modèle plus proche des sites d’actu ou de commentaire de l’actu.
  • « Nous gérons deux types de contenus différents : des contenus fixes, comme les pages « Adhérez », « Contactez-nous », etc, et des contenus d’actualité », explique Emile Josselin
  • Cette ressemblance avec les sites d’infos va encore un peu plus loin : elle se retrouve également dans les formats éditoriaux adoptés pour traiter l’actu chaude. « Jusqu’à présent, le site servait surtout à mettre en ligne des communiqués de presse. C’est indispensable, mais pas suffisant », poursuit Emile Josselin. La palette dans laquelle l’équipe pioche s’est nettement élargie : chats, déplacements de candidats suivis en live, ou carte : tous ces éléments sont ceux utilisés par les médias en ligne.
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  • la « carte des divisions et des erreurs de l’UMP » a, par exemple, été un carton d’audience, au-delà des reprises dans les médias. « Cette page a été vue 26.000 fois. Sur un site d’info classique, ce serait déjà considéré comme un bon score », commente Emile Josselin, ancien journaliste web de 20minutes.fr
  • « C’est vrai que le PS a réalisé un joli coup avec sa carte. Mais on y répondra  … » : à l’UMP, c’est Benoist Apparu, 39 ans, secrétaire d’Etat chargé du Logement et de l’Urbanisme, tête de liste du parti présidentiel dans la Marne, mais également secrétaire national du parti en charge « des communautés numériques », qui répond aux questions sur la stratégie web
  • Benoist Apparu reconnaît bien volontiers que le site lemouvementpopulaire.fr est d’abord « un site vitrine ». Mais, précise-t-il aussitôt, « sur ce site de marque, on veut également permettre l’expression d’un point de vue, pour les internautes : nous proposons donc régulièrement des formats interrogatifs, dans lesquels les internautes peuvent commenter. »
  • Cette différence a une explication très politique, selon le secrétaire d’Etat : « La stratégie internet ne peut pas être la même selon que l’on est dans la majorité ou dans l’opposition, juge-t-il. Quand on est le parti de gouvernement, on est avant tout dans une démarche positive. » Et quand on l’interroge sur le bon score de la carte socialiste, Benoist Apparu s’exclame : « Mais notre lipdub, c’est 1,5 millions de vues ! … »
Arnault Coulet

L'Internet comme miroir des exclusions (via @internetactu) - 0 views

  • ySpace a été un des premiers site de réseau social1 et le transfert d’une partie de sa population vers Facebook tient pour une part à l’attrait de la nouveauté. Mais Facebook s’est développé d’une façon particulière. Le site était d’abord réservé aux étudiants de Harvard, puis s’est ouvert aux universités de la Ivy LeagueW c’est-à-dire aux universités les plus prestigieuses. Lorsque l’inscription a été ouverte au grand public, le travail effectué par les premiers membres a fait le reste. Dans une communauté, les premiers membres sont très importants, car ils donnent la tonalité de l’ensemble. Les groupes se construisent, au moins a leurs commencement, sur une base communautaire : les nouveaux membres ressemblent aux membres plus anciens.
  • C’est cette homophilie qui a fait de MySpace et de Facebook des espaces sociaux si différents.Le peuplement de départ de Facebook est celui des universités et des grandes écoles c’est à dire des personnes qui pour la plupart sont issues de milieux aisés et instruits. Il s’est fait ensuite a partir des proches de ces étudiants.  Ce peuplement de base a servi d’amorce à la migration des utilisateurs de MySpace vers Facebook. Tous ceux qui se sentaient proches de la population d’origine de Facebook n’ont pas hésité à migrer. Les autres sont restés sur MySpace. Le phénomène est le même que celui qui a vidé les grandes villes des bourgeois et des classes moyennes. MySpace a subi des effets d’ostracisation, tout comme les quartiers de banlieue peuvent être ostracités : on a en fait un lieu peu recommandable, et les médias ont diffusé des histoires de prédateurs sexuels, contribuant ainsi à créer une panique morale qui a encore accentué l’ostracisation.
Arnault Coulet

Green Knowledge Trust, wikipedia militant : Et si le Web 2.0 menait la lutte ... - 0 views

  • Il faut bâtir une « coalition of the willing », une coalition engagée. Plus qu'éteindre la lumière en sortant d'une pièce, prendre des douches et non des bains, c'est désormais sur Internet que l'enjeu climatique se joue. Tim Rayner explique : « La “ Coalition of the willing ” est une tentative de concentration de l'attention du peuple sur la manière dont les nouvelles technologies telles qu'Internet, transforment celui-ci en agent politique armé de pouvoir. »
  • Aujourd'hui, Internet est devenu un espace de collaboration. Tim Rayner rêve d'y créer un « mouvement d'essaim » tel que celui engendré en 2004 par le site SorryEverybody [créé suite à la réélection de George W. Bush à la présidence américaine, ndlr].
  • En travaillant tous ensemble à travers les frontières vers un but commun, les gens vont pouvoir réaliser une nouvelle forme d'identité politique au-delà de la nation. Ceci est l'ultime contribution du Web 2.0 dans la lutte écologique. »
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  • L'objectif de « The Coalition of the Willing » est de regrouper une communauté d'internautes en vue de la création du Green knowledge trust, un site sur le modèle de Wikipédia, et d'une plate-forme innovante que le philosophe appelle un Open innovation Center, dont le prototype a déjà été réalisé.
  • « A cette étape, le film est un manifeste optimiste qui sert à faire réfléchir. Mais une fois que les sites seront en ligne, le film pourra être utilisé comme une publicité. »
Rem Palpitt

Bloomberg Campaign Connects to Facebook - 0 views

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    Facebook Connect could ultimately give political campaigns more viral exposure for their online efforts. Campaign supporters who join Mr. Bloomberg's social network can easily invite their friends to join them in various online activities; if they sign up to attend a political event, that gets transferred back to Facebook too. Users are presented with options to withhold any and all of this information from Facebook if they wish.
Arnault Coulet

Le "Web 2.0", nouvelle arme des politiques via @trupheeme - 2 views

  • Deux sites "communautaires" aux philosophies sensiblement différentes. Le site de l'UMP se veut ascendant, pour permettre à tout un chacun de créer des groupes de discussions sur les thèmes les plus variés. Celui du PS entend d'abord "mieux organiser la vie du parti", selon son concepteur, Benoît Thieulin, patron de la Netscouade. Selon lui, le site d'un parti solidement implanté doit d'abord avoir l'objectif de "révéler une communauté existante", avant d'en élargir les frontières. L'UMP part à la chasse aux adhérents, le PS réforme le travail des siens.
Arnault Coulet

Pour un Mysociety.org en France ! via @albanmartin - 0 views

  • Mysociety, c’est quoi ? C’est la principale initiative d’une association anglaise a but non lucratif, fondée en 2003 et regroupant une communauté de volontaires et de développeurs open-source rémunérés. Cette dernière est à l’origine du développement de sites que P. Rosanvallon qualifierait de « contre-démocratique »: par exemple Theyworkforyou pour découvrir ce que font les députés anglais (historique des prises de position, archives des textes et speech) ou WritetoThem pour contacter n’importe quel député à partir de son code postal (plus de 400 000 messages déjà envoyés à ce jour via la plateforme). Mysociety a également développé le site officiel de G. Brown de pétition citoyenne. A noter qu’en France, le collectif « regards citoyens »  en France a lancé récemment le site nosdeputés.fr permettant, comme theyworkforyou, de s’intéresser à l’activité des députés à l’assemblée nationale.
  • Pourquoi c’est important et comment s’impliquer ? Les responsables de l’initiative mysociety.org sont joignables via leurs coordonnées sur le site web (http://www.mysociety.org/about/contact/), et se disent prêt à étudier toute opportunité de collaboration, notamment à l’international (traduction, adaptation, support au développement). Pledgebank par exemple est conçu dès l’origine comme un site international, reposant sur le mode « si je trouve 10 personnes comme moi prêtes à faire ça alors je le fais)
  • se déroulera le premier Open Government Data Camp français à « La Cantine » à Paris samedi 12 décembre 2009.
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