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Veille & Documentation

Le Figaro - Islamisation, délinquance, trafics : ce qui se passe vraiment dan... - 0 views

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    "Pendant un an, Manon Quérouil-Bruneel, grand reporter, est allée à la rencontre des habitants d'une cité de Seine-Saint-Denis. Religion, drogue, prostitution, petits trafics et grand banditisme : son livre choc, La Part du ghetto, raconte le quotidien méconnu d'une France en marge de la République. Récit de son enquête et extraits exclusifs."
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Le Monde - Les gamines à la dérive de Barbès - 0 views

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    "Elles s'appellent Hana, Soraya ou Célia et font partie de ces dizaines d'adolescents - jeunes migrants isolés ou filles souvent mineures en rupture familiale - qui zonent depuis 2016 dans les rues de ce quartier parisien, survivant dans la violence et la débrouille sans rien attendre du lendemain."
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Marseille - Marseille : plus qu'une ville un message - 0 views

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    "La détresse, parce que Marseille est blessée dans sa chair. Sous nos yeux, des mafias meurtrières et sans scrupule transforment la jeunesse des quartiers pauvres en chair à canon pour trafics en tous genres : armes, drogues, prostitution, etc. Cet été, la liste des morts, de plus en plus jeunes, s'est dramatiquement allongée et des populations entières se sont retrouvées prises au piège de leur environnement. Quand j'étais enfant, nous habitions les Quartiers Nord, à Saint-Barthélemy, dans une cité HLM pour agents de la SNCF. Les cités avoisinantes avaient des noms poétiques : Font-Vert, La Busserine, La Marine Bleue et La Marine Blanche, Les Rosiers et les Marronniers. Aujourd'hui, ces noms poétiques sont ensanglantés, les cités sont devenues des ghettos et depuis longtemps, dans les autres quartiers de la ville, l'indifférence a étouffé l'indignation. Marseille reste fière mais elle est meurtrie : d'un côté, elle continue de sourire pour charmer les touristes et se distraire au Stade ; de l'autre, elle s'enfonce dans la violence et pleure sa jeunesse. À quand un réveil des consciences ? Pourquoi et comment les réseaux de trafic ont-ils pris autant de pouvoir, narguant la République, ses lois et sa justice ? Jusqu'à quand les consommateurs de stupéfiants ne comprendront-ils pas la complicité qu'ils entretiennent avec les réseaux de la mort ? Marseille, certes, a besoin de moyens que seul l'État peut lui donner. Mais tous les moyens du monde ne sauraient suffire si les consciences ne se réveillent pas."
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Marseille - « Seigneur, à qui irions-nous ? » - 0 views

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    "Permettez-moi d'ajouter un autre motif d'inquiétude, plus près de chez nous. Là encore, ce sont des mafias. Celles de Libye, déguisées en « Garde-Côtes libyens » pour mieux piéger les migrants et en faire des esclaves, des prisonniers détenus en camps de concentration, voire supprimés pour trafic d'organes. Et l'Europe, qui a besoin de ces mafias pour la sécurité des champs pétrolifères libyens, ferme les yeux… Et puis il y a ces mafias qui sévissent chez nous, à Marseille, transformant la jeunesse des quartiers pauvres en chair à canons pour trafics en tous genres : armes, drogues, prostitution, etc. Quand j'étais enfant, nous habitions à Saint-Barthélemy, dans une cité HLM pour agents de la SNCF. Les cités avoisinantes avaient des noms poétiques : Font-Vert, de l'autre côté de la voie ferrée, La Busserine, de l'autre côté du grand rond-point, La Marine Bleue et la Marine Blanche, de l'autre côté du Chemin de Sainte-Marthe, et enfin Les Rosiers, près des Marronniers, derrière le supermarché Casino. Mon père, membre des Conférences Saint-Vincent-de-Paul, allait régulièrement distribuer des colis alimentaires dans chacune de ces cités, déjà pauvres mais pas encore gangrénées. Aujourd'hui, ces noms poétiques sont ensanglantés, les cités sont devenues des ghettos et, dans les autres quartiers de la ville, l'indifférence étouffe l'indignation."
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