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"Caritas Internationalis lance un appel d'urgence pour aider les personnes déplacées au Burkina Faso à survivre à la grave crise alimentaire. "

"Aujourd'hui, une fois de plus, et sans doute une fois de trop, le monde assiste dans une sorte d'impuissance coupable au renouvellement de cette tragédie qui touche ces milliers de migrants en quête d'un monde meilleur. Il ne faut pas se tromper, face à tant de situations de guerres, de famines, de persécutions religieuses et ethniques un nombre toujours plus grand de ces populations essentiellement africaines n'ont d'autre solution que l'exode et la fuite vers des terres qui portent encore la paix et l'espérance d'une vie meilleure."

"oute la misère du monde, à l'est mais surtout au sud, continue de frapper à notre porte. En mer, c'est la mort toujours recommencée. Le drapeau noir flotte sur la « grande bleue », pas un jour sans qu'on y découvre de nouveaux cadavres. Le pape François redoute même que la Méditerranée ne devienne « un cimetière ». Crainte fondée, hélas ! Cette année, 3419 migrants ont péri pendant la traversée… sur les 207 000 qui tentèrent l'aventure. Soit trois fois plus que le précédent record de 2011, lorsque le présumé « printemps arabe » poussait les populations à l'exil. Depuis, en Afrique et au Moyen-Orient, la situation n'a fait qu'empirer. Le malheur conduit les hommes à aller survivre ailleurs. Quel autre choix laisse-t-on, par exemple, aux Syriens, Irakiens ou Érythréens ? Ils fuient la guerre, la famine, le travail forcé, la répression brutale, les violences aveugles…."

"« Vous qui écrasez le malheureux pour anéantir les humbles du pays […]. Voici venir des jours où j'enverrai la famine sur la terre ; […] la faim d'entendre les paroles du Seigneur » (Am 8, 4.11)."

"La réalité d'être réfugié est inconcevable pour la plupart d'entre nous. À travers le monde, les guerres, les violences, la pauvreté, la famine et les catastrophes provoquées par les phénomènes météorologiques extrêmes poussent sur les routes des personnes comme vous et moi qui doivent affronter un voyage périlleux avant de trouver refuge. Des familles sont déchirées et beaucoup finissent par vivre dans des conditions sordides, manquant de nourriture, d'eau potable et d'installations sanitaires convenables. Des hommes, des femmes et des enfants gardent le statut de réfugié des dizaines d'années durant, sans perspective d'un emploi formel ni d'une éducation décente. Qui qu'ils soient et d'où qu'ils viennent, tous les réfugiés et toutes les personnes déplacées au sein de leur propre pays ont le droit à une aide et à une protection contre les abus et doivent être libres de demander asile. Pourtant, leurs droits ne sont que rarement respectés et leurs besoins les plus fondamentaux satisfaits."

"Le président et le directeur général d'Action Contre la Faim plaident pour que les mobilisations nationales des pays riches ne se fassent pas au détriment des pays pauvres et des réfugiés, particulièrement vulnérables" [RDP du 07 avril 2020]

"Au Burkina Faso, en raison des violences djihadistes ainsi que des conditions climatiques extrêmes, une partie de la population court le risque de mourir de faim."

"Le patriarche d'Antioche des maronites appelle la communauté internationale à protéger cette «neutralité positive» qui est la vraie «vocation du Liban»."

"La Journée des chrétiens d'Orient, le 17 mai "