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Véronique Ginouvès

Ce que le numérique fait aux sciences humaines et sociales. - 0 views

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    "Les sciences humaines et sociales (SHS) ont pendant longtemps été l'objet de débats s'agissant de leur nature scientifique, de la posture du chercheur (neutre, engagée, critique), de leur essence prétendue subjective ou encore du rôle des méthodes et outils mobilisés… Toutefois, dans le contexte du numérique, les enjeux se sont déplacés et les débats renouvelés. Les SHS sont sujettes à de profondes transformations du fait des nouvelles méthodes qu'elles déploient, des nouvelles conditions pratiques de recherche auxquelles elles sont confrontées et de leur nouvel enracinement dans le monde social. Si on peut se réjouir des bienfaits du numérique pour les SHS, un regard critique s'impose à propos des caractéristiques des outils qui sont mobilisés et des valeurs que ces outils portent en eux."
Véronique Ginouvès

Ce que le numérique fait aux sciences humaines et sociales - 0 views

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    "Les sciences humaines et sociales (SHS) ont pendant longtemps été l'objet de débats s'agissant de leur nature scientifique, de la posture du chercheur (neutre, engagée, critique), de leur essence prétendue subjective ou encore du rôle des méthodes et outils mobilisés… Toutefois, dans le contexte du numérique, les enjeux se sont déplacés et les débats renouvelés. Les SHS sont sujettes à de profondes transformations du fait des nouvelles méthodes qu'elles déploient, des nouvelles conditions pratiques de recherche auxquelles elles sont confrontées et de leur nouvel enracinement dans le monde social. Si on peut se réjouir des bienfaits du numérique pour les SHS, un regard critique s'impose à propos des caractéristiques des outils qui sont mobilisés et des valeurs que ces outils portent en eux."
Véronique Ginouvès

Héloïse, Romeo et Dulcinea : des services pour guider le dépôt dans les archi... - 0 views

  • Dans le cadre de la semaine internationale de l’Open Access, OpenEdition publie une série de billets sur les différents aspects de l’articulation entre édition scientifique et libre accès. Ce premier billet est consacré à la publicisation de la politique des éditeurs scientifiques vis-à-vis des dépôts en archives ouvertes. Héloïse est un nouveau service d’information sur les politiques des éditeurs en matière de dépôt des articles par les auteurs, développé par le CCSD (Centre pour la communication scientifique directe/CNRS). Il permet aux éditeurs et aux revues scientifiques de définir et de rendre publique leur politique en matière de diffusion des revues et de leurs articles sur différents supports, notamment sur les sites d’archives ouvertes tels que Hal-SHS. Sur le modèle de ROMEO en Angleterre et de DULCINEA en Espagne, Héloïse est un outil à la disposition de l’ensemble de la communauté francophone. Il est important que les éditeurs déclarent en toute transparence ce qu’ils autorisent leur auteurs à faire ou non. Ils leur permettent ainsi de rester maîtres de leurs publications et les aident à établir des stratégies cohérentes de dissémination de leurs travaux. OpenEdition est favorable au développement des archives ouvertes et incite les auteurs à déposer leurs textes dans Hal-SHS par exemple, pour la France. De la même façon, OpenEdition encourage largement les éditeurs adhérents à ses plateformes, quelle que soit leur politique d’édition électronique, à autoriser le dépôt des articles dans les archives ouvertes et à déclarer leur politique sur le service correspondant à leur pays ou à leur langue :
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    "Dans le cadre de la semaine internationale de l'Open Access, OpenEdition publie une série de billets sur les différents aspects de l'articulation entre édition scientifique et libre accès. Ce premier billet est consacré à la publicisation de la politique des éditeurs scientifiques vis-à-vis des dépôts en archives ouvertes. "
Véronique Ginouvès

Onze malentendus sur le libre accès | Le comptoir de l'accès ouvert - 0 views

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    "Dans son livre Open Access, Peter Suber revient dès l'introduction sur ce que le libre accès n'est pas. Onze malentendus à dissiper et qui reviennent régulièrement lors de conversations portant sur le sujet. Petit passage en revue librement inspiré du chapitre introductif : Le libre accès n'est en aucun cas une façon de contourner l'évaluation par les pairs. Au contraire, il permet globalement un renforcement de cette dernière puisqu'un auteur peut diffuser un premier jet d'article avant soumission à une revue. Il bénéficie des critiques de ses collègues avant même un futur retour d'évaluation. Le libre accès ne vise pas à abolir le droit d'auteur. La décision des modalités de diffusion et de cession des droits reste entièrement entre les mains de l'auteur alors qu'avec des éditeurs conventionnels, la chose est moins certaine. Le libre accès ne cherche pas à rendre tout gratuit et n'ignore pas la rétribution des auteurs. Ces derniers sont par ailleurs très peu rémunérés par les éditeurs et les modèles économiques soutenant le libre accès prouvent qu'il peut être viable financièrement. Le libre accès ne dénie pas le coût de publication d'un article. Il ne constitue pas une tentative d'auto-publication mais prend au contraire très au sérieux la question des coûts pour les conduire à un prix réaliste comme cet article sur les revues en SHS le souligne bien. Le libre accès ne cherche pas à réduire les droits des auteurs sur leur travail. La plupart des mandats institutionnels fonctionnent sur le principe du « nudge » : le libre accès est assorti d'incitations plus d'obligations. De plus, les mandats de dépôt et publication sont bien souvent adoptés à l'unanimité des votes par les enseignants-chercheurs. Le libre accès ne vise pas à réduire la liberté des universitaires. Ils ont toujours le choix de publier dans les revues qu'ils souhaitent, les mandats autorisent des exc
Véronique Ginouvès

2 | 2014 Épistémologies digitales des sciences humaines et sociales - 0 views

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    Le développement de l'internet a profondément changé les façons de faire de la recherche dans tous les domaines, y compris les sciences humaines1. Par exemple, on voit un nombre croissant d'études se réclamant des humanités numériques (ou Digital Humanities pour reprendre le terme anglo-saxon fréquemment employé sans être traduit). Les humanités numériques désigneraient un ensemble de pratiques visant à utiliser les médias ou les outils numériques pour analyser des données et/ou diffuser les connaissances produites. De façon générale, nous constatons que la notion de média est insuffisante : en quoi un nouveau canal de diffusion des connaissances pourrait à lui seul transformer des pratiques et des problématiques de chercheurs ? En fait, parce qu'elles sont intimement liées à l'écriture, instrument intellectuel par excellence, les techniques récentes font émerger de nouveaux objets d'études, de nouvelles façons d'aborder des problématiques anciennes, en même temps qu'elles nous offrent un regard renouvelé sur des pratiques que nous croyions banales, ne méritant pas d'être commentées ni mises en perspective. Bien au-delà des humanités numériques, c'est donc l'ensemble des sciences humaines qui subit des transformations majeures. Les méthodes traditionnelles sont ainsi souvent remises en cause et de nouveaux résultats apparaissent, qui vont parfois à l'opposé du sens commun. La masse de données disponibles en ligne a par exemple permis de développer de nouveaux modèles de traduction automatique, faisant fi de la sémantique, contrairement à ce qui était communément admis jusque-là (« il faut comprendre un texte pour pouvoir le traduire »). Les données, leur plasticité et la puissance de calcul disponibles ont aussi profondément renouvelé notre façon d'aborder les problèmes, que ce soit en géographie, en histoire ou en sociologie.
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