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Abus sexuels : Catherine Bonnet dresse le bilan des dernières années - Radio ... - 2 views

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    "La pédopsychiatre française Catherine Bonnet, membre de cette commission revient avec Hélène Destombes sur cette plénière et sur les recommandations faites au Pape"
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Sénat - Mission d'information sur la répression infractions sexuelles sur min... - 1 views

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    Se doter des meilleurs standards de protection contre les violences sexuelles dans l'ensemble des structures accueillant des mineurs : tel est l'objectif des trente‑huit propositions formulées par la mission commune d'information. La protection des mineurs contre les violences sexuelles passe tout d'abord par une meilleure connaissance du phénomène et par la sensibilisation de nos concitoyens. La mission propose donc la création d'un observatoire des violences sexuelles et le lancement de campagnes de communication sur les risques et sur les canaux de signalements. Dans le cadre des cours d'éducation à la sexualité, l'Éducation nationale a son rôle à jouer pour aider les élèves à prendre conscience des limites que les adultes ne doivent pas franchir. La mission souhaite également une évaluation partagée des effets de la loi Schiappa du 3 août 2018 ainsi qu'une clarification des obligations de signalement des personnes dépositaires d'un secret professionnel. La mission a constaté que les structures accueillant des mineurs étaient dotées de procédures hétérogènes, et inégalement protectrices, en ce qui concerne le contrôle des antécédents judiciaires et la formation des personnels au contact des mineurs. Si l'Éducation nationale et les accueils collectifs de mineurs (colonies de vacances, camps de scouts, centres aérés) procèdent à la vérification systématique du fichier des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes (FIJAISV) à chaque recrutement, ce n'est pas le cas pour les structures gérées par les collectivités territoriales. Le renforcement de la vérification des antécédents judiciaires des personnels au contact des mineurs, en systématisant la consultation du FIJAISV paraît donc s'imposer. L'effort devrait porter, par priorité, sur les structures qui accueillent les mineurs en situation de handicap, particulièrement vulnérables, ainsi que sur le milieu sportif, dont les nombreux b
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Lettre à tous les diocésains pour recevoir le Rapport de la CIASE - Diocèse 6... - 0 views

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    "Devant la Vérité qui éclate, j'imagine aussi que les prêtres et les religieux vont devoir essuyer des attitudes instinctives de défiance et de stigmatisation, voire de rejet, de la part de certains, dans l'Eglise et en dehors de l'Eglise. Je tiens à rappeler toutefois que si les prêtres qui ont gravement failli sont beaucoup trop nombreux (3% des prêtres sur 70 ans) - et un seul, ce serait déjà trop -, l'immense majorité des prêtres et des religieux sont de bons serviteurs et méritent que l'on évite tout amalgame. Les prêtres, à qui je redis ma confiance, accueilleront cependant cet inconfort dans un grand esprit de foi et d'humilité et nous profiterons de cette épreuve de vérité pour ajuster toujours mieux notre attitude vis-à-vis des fidèles, à commencer par les plus petits et les plus vulnérables: « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas » (Mc 10, 14), dit Jésus; autrement dit : mettons largement notre ministère au service de leur relation avec Dieu par la sainte humanité du Christ, présente et agissante dans les sacrements, mais sans jamais céder à la tentation de les accaparer à notre pouvoir, à notre profit et à nos désirs égoïstes. Cela est aussi vrai pour tous les laïcs engagés dans nos institutions et mouvements éducatifs - éducateurs chrétiens, acteurs de notre enseignement catholique - que je tiens à remercier pour leur engagement et leur vigilance, aidés par des protocoles éprouvés, tant dans les mouvements que dans les établissements scolaires. (...) Ma pensée va donc d'abord vers les victimes qui attendent de nous de vraies mesures en vue de leur reconstruction humaine et spirituelle. Les évêques auront à analyser ce volumineux rapport et à étudier de près les recommandations faites par la CIASE. Nous nous attellerons à ce travail nécessaire lors de notre prochaine Assemblée plénière de novembre. On y abordera en particulier la délicate question de « l'indemnisation » point
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RTL - Pédophilie dans l'Église : comment 527 victimes ont obtenu une "réparat... - 0 views

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    "L'instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation propose aux victimes de pédocriminalité dans l'Église des mesures de réparation financière et des parcours de justice restaurative. 527 personnes ont reçu de l'argent pour un montant total de plus de 18 millions d'euros. Une messe dans une église (illustration) Crédit : Image par TheoRivierenlaan de Pixabay 569. Comment des victimes de prêtres pédophiles ont reçu une "réparation financière" (1/2) 00:27:25 Écouter RTL ÉVÉNEMENT - Avec des victimes de prêtres pédophiles qui ont obtenu réparation 00:04:31 Écouter Marie Guerrier publié le 16/02/2024 à 07:28 - mis à jour le 16/02/2024 à 07:30 Je m'abonne à la newsletter « Infos » Cela fait deux ans maintenant que l'instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation (INIRR), créée à la demande des évêques de France, étudie les demandes des victimes de pédophilie dans l'Église. La particularité de l'instance, c'est que chaque victime est accompagnée par un référent, spécialisé dans l'écoute, pour constituer son dossier. À ce jour, 527 personnes ont reçu de l'argent pour un montant total qui dépasse 18 millions d'euros. La réparation financière est plafonnée à 60.000 euros. Le montant moyen individuel est de 36.000 euros. Au-delà des sommes d'argent, l'INIRR propose au personnes victimes des démarches restauratives personnalisées en fonction de leurs besoins. Pierina, 63 ans, n'oubliera jamais le moment où elle a reçu l'appel de la secrétaire générale de l'INIRR pour l'informer de la décision rendue dans son dossier. Elle se voit attribuer le montant maximal, 60.000 euros. L'aboutissement d'un très long calvaire "J'ai suis tombée, j'ai juste eu le temps de trouver une chaise", cette décision fait du sens, dit-elle à RTL, "le cursus est au maximum, cela veut dire : on a compris ma souffrance", murmure Pierina. Elle avoue qu'avant elle trouvait que l'ar
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Défenseur des droits - Enquête sur l'accès aux droits : Place et défense des... - 0 views

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    Le Défenseur des droits, Jacques Toubon, publie aujourd'hui les résultats du dernier volet de sa grande enquête « Accès aux droits » portant sur la place et la défense des droits de l'enfant. Le Défenseur des droits a en effet souhaité disposer de connaissances fiables sur l'accès aux droits dans les situations qui relèvent de ses compétences (discriminations, droits de l'enfant, déontologie des forces de sécurité, relations avec les services publics). L'enquête « Accès aux droits » fournit des données significatives sur les représentations et expériences de la population au sujet des droits de l'enfant. Cette enquête donne ainsi un éclairage nouveau sur le niveau de connaissance des droits de l'enfant en France métropolitaine. Elle permet également d'aborder les réactions de la population lorsqu'elle est confrontée à des situations où ces droits ne sont pas respectés. Ainsi on constate que 16 % de la population rapporte avoir été témoin d'une atteinte aux droits de l'enfant. Si l'on s'attache aux résultats de l'enquête, 52% de la population générale a connaissance d'au moins un droit de l'enfant. A ce titre, on peut estimer que les droits de l'enfant gagnent encore à être connus, surtout si l'on rappelle que la Convention internationale des droits de l'enfant a été signée et ratifiée par la France il y a plus de 25 ans. Pourtant cette notoriété s'avère indispensable à l'effectivité des droits : il faut en effet connaître les droits de l'enfant pour constater qu'ils ne sont pas respectés et donc agir. Si 16% des personnes interrogées ont été témoin d'atteintes aux droits de l'enfant pendant les cinq dernières années, cette proportion s'élève à 22% parmi les personnes qui citent au moins un droit de l'enfant. Le taux de non-recours est de 44% pour les personnes qui citent au moins un des droits de l'enfant, et il s'élève à 61% pour les personnes ne citant aucun droit. Ces résultats mettent en lumièr
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France 2 - Le prix d'une vie - Violences sexuelles dans l'Église | FranceTvPr... - 0 views

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    "Le 27 novembre prochain au Vatican, le pape François reçoit pour la première fois, un collectif de victimes françaises. Parmi elles figurent les principaux témoins du film. Leur laissant la parole, le documentaire les suit pas à pas, de leur prise de conscience des violences subies jusqu'au processus de réparation.  Enfants, ils ont été victimes de pédophilie au sein d'institutions religieuses. Marie-Pierre, Raymonde, Ghislaine en Bretagne et Gérard, Jean-Pierre S., Jean-Pierre F. dans les Pays de la Loire décident de mettre fin à des décennies d'omerta. Le prix d'une vie raconte leur combat personnel et la solidarité au sein du collectif le plus actif de France. Résumé Après cinquante ans de silence, d'anciennes victimes de violences sexuelles dans l'Église trouvent ensemble la force de parler. Dans l'ouest de la France, au sein du collectif le plus actif de France, des hommes et des femmes qui ont décidé de mettre fin à des décennies d'omerta se battent pour que ces crimes soient reconnus par l'Église, se battent pour obtenir réparation. Depuis la remise du rapport de la Ciase en octobre 2021, estimant à 330 000 le nombre de victimes au sein des institutions catholiques en France depuis les années 1950, l'Église, qui a reconnu sa responsabilité et le caractère systémique des violences sexuelles a entamé un processus de réparation et d'indemnisation des victimes. Mais comment évaluer de tels préjudices ? Comment chiffrer les indemnisations de victimes ? Quel est « le prix d'une vie » ? Le film raconte le parcours de Raymonde, Marie-Pierre, Ghislaine, Jean-Pierre F., Gérard et Jean-Pierre S., de la première prise de parole aux innombrables démarches auprès des institutions, jusqu'au chiffrage de leur indemnisation. Tous ont le courage et la générosité de partager avec une grande sincérité ce moment de vérité et d'humanité. Tout en finesse, le film restitue leur cheminemen
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Défenseur des droits - Communiqué de presse - Rapport annuel sur les droits d... - 0 views

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    "A l'occasion de la journée internationale des droits de l'enfant, le 20 novembre, et dans le cadre de sa mission de défense et de promotion des droits de l'enfant, le Défenseur des droits, Jacques Toubon, et la Défenseure des enfants, Geneviève Avenard, son adjointe rendent public leur rapport annuel thématique. Cette année, le rapport intitulé « Enfance et violence : la part des institutions publiques » est consacré à la question des violences subies par les enfants au sein des institutions publiques, qu'elles soient verbales, physiques ou psychologiques, directes ou indirectes, commises entre enfants ou par des adultes ainsi que les dispositions prises pour les prévenir et les faire cesser. Deux constats sont établis par le Défenseur des droits : -         Les violences sont une réalité dans le quotidien des enfants, y compris au sein des institutions dans lesquelles ils sont accueillis ou pris en charge. Or, elles sont insuffisamment prises en compte malgré une progressive prise de conscience et un investissement considérable de la part de nombreux professionnels. Commises par des adultes, elles restent trop souvent banalisées, minimisées ou considérées comme répondant à un objectif éducatif légitime. Quant aux violences entre enfants, elles ne sont pas toujours détectées ou traitées comme il le faudrait. En particulier, le harcèlement scolaire concerne un enfant sur dix. -         Le fonctionnement des institutions publiques est susceptible en lui-même d'induire ou d'amplifier les violences faites aux enfants dont elles ont la charge. C'est le cas chaque fois que d'autres considérations priment sur les besoins de l'enfant, ses droits ou son intérêt supérieur. En effet, les institutions publiques, comme, les structures sociales, médico-sociales, l'école, les centres éducatifs fermés, les hôpitaux, etc ne placent pas assez l'enfant au cœur des décisions qui le concernent et n
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Valence - Éveiller le grand public sur la prévention des abus dans l'Église - 0 views

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    "Le diocèse de Valence multiplie les initiatives de prévention pour que l'Église devienne une maison sûre. De nombreuses instances oeuvrent et s'engagent. Encouragée par les enseignements du rapport Sauvé sur les abus sexuels sur les mineurs dans l'Église catholique, publié en octobre 2021, la cellule prévention du diocèse a lancé un cycle de conférences trimestrielles grand public sur la prévention des abus. Le premier rendez-vous a eu lieu en juin dernier sur le thème des mécanismes de l'emprise avec une psychothérapeute et le Père Berceville, dominicain. Le podcast de cette conférence est disponible ici. La deuxième conférence se déroulera le 15 décembre prochain sur l'accompagnement spirituel qui peut « aisément devenir un lieu d'abus, la relation qui s'établit touchant au plus intime ». Cette conférence fera le point sur les bonnes et mauvaises pratiques en matière d'accompagnement tant pour les accompagnateurs que pour les accompagnés. Sur le même sujet, le lendemain aura lieu une formation interne pour les prêtres, diacres, laïcs ou consacrés qui assurent des accompagnements spirituels avec l'objectif de travailler la relation ajustée entre accompagnateur et accompagné. Le 2 mars, c'est le combat spirituel qui sera abordé avec des échanges qui tourneront autour d'un film. Il s'agira là d'apprendre à écouter ce qui se dit à l'intérieur de nous afin d'éclairer notre conscience et ainsi devenir plus responsable devant les tentations et les risques d'emprise de toute sorte. Enfin la dernière conférence, le 8 juin, aidera à se libérer des abus. Les abus spirituels sont encore peu connus par rapport à ceux liés à la sexualité. Moins visibles ils n'en sont pas moins ravageurs. Les échanges permettront de repérer quels sont les signes qui permettent de repérer un abus spirituel et quelles sont les difficultés psychologiques et spirituelles rencontrées par la victime."
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Défenseur des droits - Synthèse - Rapport annuel sur les droits de l'enfant "... - 0 views

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    "A l'occasion de la journée internationale des droits de l'enfant, le 20 novembre, et dans le cadre de sa mission de défense et de promotion des droits de l'enfant, le Défenseur des droits, Jacques Toubon, et la Défenseure des enfants, Geneviève Avenard, son adjointe rendent public leur rapport annuel thématique. Cette année, le rapport intitulé « Enfance et violence : la part des institutions publiques » est consacré à la question des violences subies par les enfants au sein des institutions publiques, qu'elles soient verbales, physiques ou psychologiques, directes ou indirectes, commises entre enfants ou par des adultes ainsi que les dispositions prises pour les prévenir et les faire cesser. Deux constats sont établis par le Défenseur des droits : -         Les violences sont une réalité dans le quotidien des enfants, y compris au sein des institutions dans lesquelles ils sont accueillis ou pris en charge. Or, elles sont insuffisamment prises en compte malgré une progressive prise de conscience et un investissement considérable de la part de nombreux professionnels. Commises par des adultes, elles restent trop souvent banalisées, minimisées ou considérées comme répondant à un objectif éducatif légitime. Quant aux violences entre enfants, elles ne sont pas toujours détectées ou traitées comme il le faudrait. En particulier, le harcèlement scolaire concerne un enfant sur dix. -         Le fonctionnement des institutions publiques est susceptible en lui-même d'induire ou d'amplifier les violences faites aux enfants dont elles ont la charge. C'est le cas chaque fois que d'autres considérations priment sur les besoins de l'enfant, ses droits ou son intérêt supérieur. En effet, les institutions publiques, comme, les structures sociales, médico-sociales, l'école, les centres éducatifs fermés, les hôpitaux, etc ne placent pas assez l'enfant au cœur des décisions qui le concernent et n
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Défenseur des droits - Rapport - Rapport annuel sur les droits de l'enfant "E... - 0 views

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    "A l'occasion de la journée internationale des droits de l'enfant, le 20 novembre, et dans le cadre de sa mission de défense et de promotion des droits de l'enfant, le Défenseur des droits, Jacques Toubon, et la Défenseure des enfants, Geneviève Avenard, son adjointe rendent public leur rapport annuel thématique. Cette année, le rapport intitulé « Enfance et violence : la part des institutions publiques » est consacré à la question des violences subies par les enfants au sein des institutions publiques, qu'elles soient verbales, physiques ou psychologiques, directes ou indirectes, commises entre enfants ou par des adultes ainsi que les dispositions prises pour les prévenir et les faire cesser. Deux constats sont établis par le Défenseur des droits : -         Les violences sont une réalité dans le quotidien des enfants, y compris au sein des institutions dans lesquelles ils sont accueillis ou pris en charge. Or, elles sont insuffisamment prises en compte malgré une progressive prise de conscience et un investissement considérable de la part de nombreux professionnels. Commises par des adultes, elles restent trop souvent banalisées, minimisées ou considérées comme répondant à un objectif éducatif légitime. Quant aux violences entre enfants, elles ne sont pas toujours détectées ou traitées comme il le faudrait. En particulier, le harcèlement scolaire concerne un enfant sur dix. -         Le fonctionnement des institutions publiques est susceptible en lui-même d'induire ou d'amplifier les violences faites aux enfants dont elles ont la charge. C'est le cas chaque fois que d'autres considérations priment sur les besoins de l'enfant, ses droits ou son intérêt supérieur. En effet, les institutions publiques, comme, les structures sociales, médico-sociales, l'école, les centres éducatifs fermés, les hôpitaux, etc ne placent pas assez l'enfant au cœur des décisions qui le concernent et n
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AJACCIO_ Abus sexuels : prions et jeunons ! - 0 views

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    "Abus sexuels : prions et jeunons ! Publié le 06 septembre 2018 Suite à la récente révélation de nombreux cas d'abus sexuels commis par des prêtres ou personnes consacrées, le Pape François a écrit une lettre à l'ensemble du Peuple de Dieu. Cette lettre est un cri. Un cri pour exprimer la honte et la douleur du Pape et de toute l'Église face à ce scandale des abus sexuels ou de toute autre forme d'abus de pouvoir. Un cri qui se joint à celui des victimes dont les blessures « ne disparaissent jamais ». Rien ne pourra jamais totalement réparer le mal qui a été fait, dit le pape. Et rien ne doit être négligé pour éviter de telles atrocités. Si la solidarité avec les victimes nous pousse à souffrir avec ceux qui souffrent (cf. 1 Co 12,26), la faute de ceux qui ont failli rejaillit sur toute l'Église. C'est pourquoi « nous ressentons de la honte », écrit le pape, et même une forme de responsabilité : « en tant que communauté ecclésiale (…) nous avons négligé et abandonné les petits ». Même si la grande majorité des cas d'abus appartient au passé et si le pape est « conscient de l'effort et du travail réalisés (…) pour protéger l'intégrité des mineurs et des adultes vulnérables », il invite l'ensemble du Peuple de Dieu à se mobiliser pour favoriser « la transformation ecclésiale et sociale dont nous avons besoin ». Le pape est convaincu que notre engagement dans ce domaine ne peut être que communautaire. Cet engagement exige une conversion personnelle et la contemplation du Christ afin de pouvoir reconnaître sa présence dans les pauvres et les petits. Il suppose aussi le rejet de toute forme de cléricalisme. Celui-ci en effet est comme un terreau favorisant les abus de pouvoir en tout genre. Il passe aussi, insiste le pape, par le repentir, et donc par « l'exercice pénitentiel de la prière et du jeûne ». Ensemble, dit-il, « demandons pardon pour nos propres péchés et pour ceu
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INED - Enquête Violences et rapports de genre (Virage) : Présentation de l'en... - 0 views

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    L'enquête Violences et rapports de genre (Virage) a été réalisée par téléphone en 2015, auprès d'un échantillon de 27000 femmes et hommes, représentatif de la population âgée de 20 à 69 ans, vivant en ménage ordinaire, en France métropolitaine. Sont exposées ici les premières analyses concernant les violences sexuelles subies dans tous les cadres de vie (études, travail, vie conjugale, relation post-conjugale, famille et proches, espaces publics) pendant les douze derniers mois ou depuis l'enfance. Pour tous les cadres de vie, deux questions concernant le fait d'avoir subi « des rapports forcés, des tentatives, des attouchements du sexe » ou « d'autres actes ou pratiques sexuels » sont suivies d'une liste d'actes à préciser, permettant un classement à posteriori des déclarations recueillies dans les catégories juridiques de « viols et tentatives » et « autres agressions sexuelles ». Dans cette dernière catégorie, sont incluses les réponses à une autre question sur les baisers forcés ou le pelotage (sauf pour les relations avec un.e conjoint.e ou ex). Dans tous les contextes et à tous les âges, les taux de violences sexuelles sont beaucoup plus élevés pour les femmes que pour les hommes. Les femmes sont atteintes tout au long de la vie, dans tous les espaces, alors que les hommes le sont principalement dans le cadre de la famille pendant l'enfance et l'adolescence, mais rarement dans le cadre conjugal. Les femmes déclarent plus souvent des violences répétées et qu'elles jugent graves ou très graves.
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Ministère de la justice - La justice restaurative pour les mineurs - Guide - 0 views

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    Ce guide de mise en œuvre de la justice restaurative auprès d'un public mineur, et notamment celui suivi par la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), est le fruit d'un travail mené entre 2017 et 2021 avec les professionnels de services du secteur public et du secteur associatif habilité. Ces travaux se sont appuyés sur un groupe de travail et sur les expérimentations nationales menées avec le soutien d'un comité de pilotage. Il résulte des réflexions, échanges et témoignages de professionnels qui se sont engagés dans les expérimentations, avec le soutien de l'ENPJJ, des fédérations associatives, des organismes de formation et des bureaux de la sous-direction des missions de protection judiciaire et d'éducation de la DPJJ afin de poser le périmètre et le contenu de cette nouvelle pratique. En complément du guide méthodologique publié par le comité national de justice restaurative en novembre 2020, ce document vise à répondre aux interrogations des professionnels sur le sens de la justice restaurative, son intérêt pour le public mineur et sa valeur ajoutée dans les pratiques professionnelles. Il propose également, à ceux qui envisagent de développer des mesures de justice restaurative sur leur territoire, un cadre de référence, méthodologique et pratique qui complète les apports indispensables de la formation. Les modalités de mise en œuvre des mesures de justice restaurative s'appuient sur un engagement partenarial fort, qui passe notamment par la signature de conventions et la formalisation du cadre méthodologique. Ce guide est aussi un outil de travail qui permet aux services et aux professionnels d'appréhender progressivement la construction des programmes restauratifs. Les dispositifs partenariaux étant parfois long à installer, les professionnels des services peuvent ainsi saisir les différentes modalités qui s'offrent à eux et les adapter aux attentes de leurs publics, à leurs partenariats et au
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Evry - Journée mémorielle annuelle pour les victimes de violences dans l'Église - 0 views

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    "Le pape François invite à prier pour les personnes victimes de violences dans l'Église Cette journée mémorielle, voulue par les évêques de France à l'issue de l'Assemblée plénière de mars 2021, prend désormais place dans le calendrier liturgique de façon pérenne, le troisième vendredi de Carême. Elle répond à l'invitation du pape François à vivre une journée de prières pour les victimes de violences sexuelles et d'abus de pouvoir et de conscience au sein de l'Église. Les diocèses et paroisses sont invités à organiser, avec les fidèles, un ou plusieurs temps forts autour de la mémoire et de la prière pour toutes les personnes victimes. Ce temps d'Église sera aussi mis à profit pour faire prendre conscience à tous de la nécessité de prévenir et d'agir pour éviter toutes les situations pastorales et humaines qui peuvent conduire à toutes formes d'abus sur les plus fragiles. Cette année, le dossier d'animation s'enrichit d'actions proposées dans le cadre de la pastorale des jeunes pour des enfants ou des adolescents en établissements scolaires, en paroisses et mouvements d'Église. Sur un plan pratique, les diocèses, paroisses, groupes de pastorale et mouvements d'Église… pourront engager des actions dans le temps situé entre le dimanche 12 mars 2023 et le dimanche 19 mars 2023. Le dossier liturgique est rédigé et téléchargeable."
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René Poujol - Pédocriminalité : faut-il croire à une conversion des évêques - 2 views

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    "Comme annoncé, les évêques de France réunis en Assemblée plénière de Printemps, ont publié le 25 mars, un texte précisant leur position sur la douloureuse question des affaires de pédocriminalité dans l'Eglise. Sous forme d'une « Lettre aux catholiques de France sur la lutte contre la pédophilie. » Un document dont le principe même avait été contesté ici et là, et par moi-même sur ce blog, venant six mois avant la publication du rapport de la Ciase diligenté par La Conférence des évêques (Cef) et la Conférence des religieux et religieuses (Corref). Ce texte présente onze résolutions. Sitôt connu, certains commentateurs, dont je suis, se sont ouvertement félicités de cette avancée qui reprenait la quasi totalité des revendications présentées par les associations de victimes engagées dans un dialogue serré avec les instances épiscopales. Une manière de soutenir ceux parmi les évêques, qui avaient permis cette sortie de l'impasse. D'autres ont choisi de descendre le texte en flammes au motif qu'il n'allait pas assez loin, accusant sans autre nuance de « munichois », ceux qui se réjouissaient de cette première victoire. Preuve d'un débat sans concession entre les tenants du « victimes d'abord » et ceux qui entendent bien, à la faveur de ce dossier, faire imploser l'institution.  Le texte est assez long mais vaut d'être étudié de près. On peut y lire : « Nous implorons humblement pardon pour tous les cas d'indifférence ou d'incompréhension dont des responsables ecclésiaux ont pu faire preuve. » phrase à ce jour sans précédent dans les écrits de la Cef. Il poursuit : « A la lumière de ce qui a été mis au jour ces dernières années, nous sommes conscients que les modes d'exercice du ministère sacerdotal et épiscopal et le discours qui les soutient doivent être passés au crible et renouvelés pour un service plus vrai du Peuple de Dieu. » Avant de détailler les onz
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Aix & Arles - Rapport de la Ciase : accueillir, discerner, prier - 0 views

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    "Les révélations de la CIASE sont un choc pour nous tous, mais c'est vers vous, fidèles de l'Église catholique, que je souhaite m'adresser aujourd'hui. J'ai eu l'occasion de m'adresser aux prêtres. Vous êtes leurs collaborateurs, catéchistes, animateurs d'aumônerie, enseignants, au service de l'éducation chrétienne des enfants et des jeunes. Je devine tous les sentiments qui vous habitent, tristesse, colère, dégoût, honte, compassion et pitié… Prenez le temps de les partager, de mettre des mots sur ces pensées qui se bousculent en vous. L'épreuve est celle de la vérité. Elle ne nous fait pas peur car elle rend libre, mais elle fait mal. Elle fait mal en tout premier lieu aux personnes victimes des abus, elle réveille leur vive douleur, inguérissable, irréparable. Accueillons et écoutons leur douleur. Accueillons la vérité mise en lumière par le rapport de la CIASE, la réalité des faits dans leur horreur. Accueillir, discerner, et prier. Le combat contre le mal est le combat de Dieu en notre humanité. Le Christ nous a dit que certains démons ne pouvaient être combattus que par le jeûne et la prière. Lui-même, dans sa lutte contre Satan, a pris l'arme de la Parole de Dieu dans les Écritures. A ces trois armes spirituelles, ajoutons la charité. Je vous invite à jeûner, à prier, à méditer la Parole de Dieu et à raviver en vous l'amour fraternel. En tout premier lieu, priez pour les personnes victimes. Priez aussi pour les futurs prêtres et pour tous ceux qui ont donné leur vie à Dieu. Gardez le cap, les yeux fixés vers le Christ, le Maître de l'histoire, il a vaincu le mal."
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Assemblée nationale - N° 778 - Projet de loi renforçant la lutte contre les v... - 0 views

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    Afin d'améliorer la répression de ces violences, dont continuent d'être aujourd'hui trop massivement victimes les femmes et les enfants, ce projet de loi modifie l'arsenal législatif sur quatre séries de points. En premier lieu, il allonge le délai de prescription de vingt à trente ans pour les crimes sexuels commis sur les mineurs, délai courant à compter de la majorité de la victime, afin de laisser davantage de temps à celle-ci pour porter plainte et de faciliter la répression de ces actes, notamment lorsqu'ils sont incestueux et qu'ils ont provoqué une amnésie traumatique. En deuxième lieu, il renforce la répression des abus sexuels commis sur les mineurs, en inscrivant clairement dans le code pénal l'interdiction des relations sexuelles avec un mineur de quinze ans, interdiction qui résultera à la fois de la clarification des éléments constitutifs du viol et des agressions sexuelles et de l'aggravation des peines encourues. Il prévoit ainsi que si un acte sexuel est commis sur un mineur de quinze ans, la contrainte morale ou la surprise, qui caractérisent le viol ou les agressions sexuelles, pourront résulter de l'abus de l'ignorance de la victime ne disposant pas de la maturité ou du discernement nécessaire pour consentir à cet acte. Ces faits constitueront ainsi, en cas de pénétration sexuelle, le crime de viol puni de vingt ans de réclusion et, dans les autres cas, le délit d'agression sexuelle puni de dix ans d'emprisonnement. Il prévoit par ailleurs que, dans les hypothèses où le crime de viol ne pourra être établi, toute pénétration sexuelle commise sur un mineur de quinze ans par un majeur constituera un délit d'atteinte sexuelle puni d'une peine de dix ans d'emprisonnement, multipliant ainsi par deux les peines actuellement encourues. Afin d'assurer l'application de ces dispositions, il prévoit que si la cour d'assises estime non caracté
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Assemblée nationale - N° 778 - Projet de loi renforçant la lutte contre les v... - 0 views

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    Afin d'améliorer la répression de ces violences, dont continuent d'être aujourd'hui trop massivement victimes les femmes et les enfants, ce projet de loi modifie l'arsenal législatif sur quatre séries de points. En premier lieu, il allonge le délai de prescription de vingt à trente ans pour les crimes sexuels commis sur les mineurs, délai courant à compter de la majorité de la victime, afin de laisser davantage de temps à celle-ci pour porter plainte et de faciliter la répression de ces actes, notamment lorsqu'ils sont incestueux et qu'ils ont provoqué une amnésie traumatique. En deuxième lieu, il renforce la répression des abus sexuels commis sur les mineurs, en inscrivant clairement dans le code pénal l'interdiction des relations sexuelles avec un mineur de quinze ans, interdiction qui résultera à la fois de la clarification des éléments constitutifs du viol et des agressions sexuelles et de l'aggravation des peines encourues. Il prévoit ainsi que si un acte sexuel est commis sur un mineur de quinze ans, la contrainte morale ou la surprise, qui caractérisent le viol ou les agressions sexuelles, pourront résulter de l'abus de l'ignorance de la victime ne disposant pas de la maturité ou du discernement nécessaire pour consentir à cet acte. Ces faits constitueront ainsi, en cas de pénétration sexuelle, le crime de viol puni de vingt ans de réclusion et, dans les autres cas, le délit d'agression sexuelle puni de dix ans d'emprisonnement. Il prévoit par ailleurs que, dans les hypothèses où le crime de viol ne pourra être établi, toute pénétration sexuelle commise sur un mineur de quinze ans par un majeur constituera un délit d'atteinte sexuelle puni d'une peine de dix ans d'emprisonnement, multipliant ainsi par deux les peines actuellement encourues. Afin d'assurer l'application de ces dispositions, il prévoit que si la cour d'assises estime non caracté
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    Afin d'améliorer la répression de ces violences, dont continuent d'être aujourd'hui trop massivement victimes les femmes et les enfants, ce projet de loi modifie l'arsenal législatif sur quatre séries de points. En premier lieu, il allonge le délai de prescription de vingt à trente ans pour les crimes sexuels commis sur les mineurs, délai courant à compter de la majorité de la victime, afin de laisser davantage de temps à celle-ci pour porter plainte et de faciliter la répression de ces actes, notamment lorsqu'ils sont incestueux et qu'ils ont provoqué une amnésie traumatique. En deuxième lieu, il renforce la répression des abus sexuels commis sur les mineurs, en inscrivant clairement dans le code pénal l'interdiction des relations sexuelles avec un mineur de quinze ans, interdiction qui résultera à la fois de la clarification des éléments constitutifs du viol et des agressions sexuelles et de l'aggravation des peines encourues. Il prévoit ainsi que si un acte sexuel est commis sur un mineur de quinze ans, la contrainte morale ou la surprise, qui caractérisent le viol ou les agressions sexuelles, pourront résulter de l'abus de l'ignorance de la victime ne disposant pas de la maturité ou du discernement nécessaire pour consentir à cet acte. Ces faits constitueront ainsi, en cas de pénétration sexuelle, le crime de viol puni de vingt ans de réclusion et, dans les autres cas, le délit d'agression sexuelle puni de dix ans d'emprisonnement. Il prévoit par ailleurs que, dans les hypothèses où le crime de viol ne pourra être établi, toute pénétration sexuelle commise sur un mineur de quinze ans par un majeur constituera un délit d'atteinte sexuelle puni d'une peine de dix ans d'emprisonnement, multipliant ainsi par deux les peines actuellement encourues. Afin d'assurer l'application de ces dispositions, il prévoit que si la cour d'assises estime non caracté
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La Civilta Cattolica - POURQUOI LE PAPE AU CANADA ? Peuples autochtones et "pensionnats" - 0 views

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    "Entre le 28 mars et le 1er avril de cette année, une délégation de représentants des peuples indigènes du Canada s'est rendue à Rome, accompagnée de plusieurs évêques canadiens, et a plusieurs fois rencontré le pape François, qui a promis de leur rendre personnellement visite au Canada plus tard cet été afin de poursuivre le dialogue dans leurs « territoires d'origine ». Lors de la réunion de clôture, le Pape a déclaré : « j'espère que les rencontres de ces jours puissent ouvrir de nouvelles voies pour cheminer ensemble, donner du courage et accroître l'engagement au niveau local. Un processus de réhabilitation efficace nécessite des actions concrètes. Dans un esprit de fraternité, j'encourage les évêques et les catholiques à continuer d'avancer vers une recherche transparente de la vérité et à promouvoir la guérison des blessures et la réconciliation ; étapes d'un chemin qui permette de redécouvrir et de revitaliser votre culture, en faisant grandir l'amour, le respect et l'attention spécifique pour vos traditions authentiques dans l'Église. Je voudrais vous dire que l'Église est à vos côtés et veut continuer à marcher avec vous. Le dialogue est la clé pour se connaître et pour partager et les évêques du Canada ont clairement exprimé leur engagement à continuer à marcher avec vous d'une manière renouvelée, constructive, fructueuse, où les rencontres et les projets partagés peuvent aider[1] ». Dans ces pages, nous tenterons d'illustrer brièvement le contexte du parcours de vérité et de réconciliation avec les peuples indigènes du Canada, auquel le Pape participe si intensément avec l'Église canadienne."
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