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in title, tags, annotations or urlL'Agence nationale des Usages des TICE - Le partage de signets pour la collaboration et l'apprentissage - 2 views
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compétence essentielle pour appréhender les flux informationnels
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"Le partage de signets pour la collaboration et l'apprentissage Résumé : Organiser de façon structurée des ressources sélectionnées sur le Web est une compétence essentielle pour appréhender les flux informationnels. Des recherches ont souligné qu'un usage collaboratif du partage de signets invite à une co-exploration du Web, ce qui peut entraîner l'implication forte des membres d'un groupe et mettre en œuvre un processus d'intelligence collective. La catégorisation des ressources au sein des bibliothèques de signets en ligne, via l'indexation ou les commentaires, peut en outre, aider à la conceptualisation et à l'appropriation du contenu des ressources par les apprenants. Recommandations : Encourager les élèves à commenter les ressources mises à disposition en les raccrochant à un contexte pédagogique précis. Aider les élèves à choisir les mots clés : éviter les synonymes (il peut être intéressant ici de faire une mobilisation collective des idées au préalable); associer plusieurs mots clés pour indexer plus précisément une ressource. Voir aussi : Témoignage - recherche sur le romantisme Témoignage - centre multimédia Thèse de Michèle Drechsler (IEN) sur Eduscol Article de Michèle Dreschler - revue Les cahiers du numériques Usages pédagogiques du « social bookmarking » Travaux personnels encadrés Utilisation pédagogique du social bookmarking lors de la recherche d'informations Médias sociaux et éducation Article de Laurence Juin, documentaliste - « Un nouvel outil au service de ma pédagogie ! » par Florence Canet * Les signets, aussi appelés "favoris" ou "marques-pages", sont des pages Web enregistrées auxquelles l'usager souhaite avoir un accès ultérieur facilité. Le partage de signets en ligne (également connu sous le terme anglais de social bookmarking) est une pratique qui permet de sauvegarder, organiser et commenter des pages Web dans une bibliothèque virtuelle créée via un
Sapiens : "Claire Sergent : « Quand la conscience empêche de voir »" - La Recherche, l'actualité des sciences - 0 views
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Deux théories s'affrontent en effet sur la différence entre perception consciente et non consciente. L'une, alimentée surtout par les études en IRM, prédit qu'il y a une sorte de continuité entre les deux types de traitement : le non-conscient correspondrait à l'activation des mêmes aires cérébrales que le conscient mais avec une intensité moindre. L'autre prédit qu'il existe au contraire une rupture. Nous avons déjà obtenu dans notre laboratoire des résultats allant dans le sens de cette deuxième théorie.
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Nous avons trouvé que la perception consciente du deuxième mot dépend de la vitesse à laquelle est traité le premier. Nous avons identifié une différence dans la dynamique d'une onde appelée P300 correspondant à l'activité d'un réseau fronto-pariétal. Lorsque le sujet voit le deuxième mot, c'est que cette onde a été rapide pour le premier mot, avec un pic élevé très tôt. Mais, s'il ne voit pas le deuxième mot, l'onde P300 a été moins intense et plus longue pour le premier mot, et elle est carrément absente pour le deuxième mot. C'est donc que le traitement plus long de l'onde P300 pour le premier mot empêche le second d'être perçu.
Reading in a Whole New Way | 40th Anniversary | Smithsonian Magazine - 0 views
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America was founded on the written word.
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the Constitution, the Declaration of Independence and, indirectly, the Bible
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Being able to read silently to yourself was considered an amazing talent. Writing was an even rarer skill. In 15th-century Europe only one in 20 adult males could write.
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Vision technicisée et progressiste des pratiques de l'écriture, où il est assez naturel de retrouver relayé le mythe de la rareté de la lecture silencieuse dans l'Antiquité. Je crois avoir lu quelque part, et même en plusieurs endroits, que la connaissance et la pratique au moins rudimentaire de l'écriture était très répandue dans l'antiquité classique (grecque et romaine) au rebours de ce que soutient Kelly ici. Mais il s'appuie vraisemblablement sur des études sérieuses valant pour le 15e s. et dans sa vision linéaire d'un progrès fondé sur la succession des innovations techniques cela implique qu'on ne savait généralement pas écrire dans l'antiquité.Il n'est pas difficile de deviner combien une vision aussi simpliste, aussi simplement orientée de l'évolution des pratiques de la lettre est aujourd'hui, au moment où il nous faut évaluer une révolution nouvelle de ces pratiques est sinon nuisible au moins handicapante.
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Vers une culture numérique lettrée ? | skhole.fr - 0 views
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« Ce qui importe ce n’est pas de lire, mais de relire » J-L Borgès
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Comme l’a bien montré Alexandre Serres[1], cette logique adaptative, à fondement comportementaliste et à visée principalement économique, est manifeste dans un grand nombre de textes internationaux, notamment politiques, qui posent la nécessité d’enseigner cette « maîtrise » ou « culture de l’information » (Information Literacy) aux jeunes générations. Ainsi par exemple, en France, la « Loi d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école » de 2005 intègre désormais au « socle commun » de connaissances et de compétences la « maîtrise des techniques usuelles de l’information et de la communication »[2].
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Dans des études qu’il a menées sur les pratiques de lecture numérique, Alain Giffard[12] qualifie de « pré-lecture » l’acte de lire le plus couramment pratiqué lorsque l’on navigue sur le Web : la lecture y ressemble à une sorte de scannage, fait de repérage et de sélection, au mieux d’un pré-montage ; et il distingue cette forme de lecture numérique de la « lecture d’étude », classique, livresque et lettrée, telle qu’elle s’est constituée historiquement depuis le Moyen-Âge autour de l’objet-livre. Or, cette pré-lecture a précisément les caractéristiques du mode d’attention très réactif et volatil entrainé par la surexposition aux médias : elle se révèle réactive/instable, multidirectionnelle/superficielle. Ainsi Alain Giffard montre que le risque est grand que la « pré-lecture » numérique devienne la « lecture de référence » des prochaines générations de collégiens, qui font partie de ce que l’on appelle les « digital natives », ce qui pourrait rendre quasiment impossible l’enseignement et la pratique de la lecture lettrée : « Technique par défaut, risque de confusion entre pré-lecture et lecture, entre lecture d'information et lecture d'étude, entre les différentes attentions, place de la simulation, contexte d'autoformation, arrivée de la génération des "natifs du numérique" dont certains prennent la lecture numérique comme référence: tous ces éléments peuvent se combiner. Le risque est grand alors de ce que certains chercheurs anglais appellent "reading without literacy", une lecture sans savoir lire qui est la forme la plus menaçante d' " illettrisme électronique ". »
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