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"La reconnaissance gestuelle est au centre de nombreux projets, mais ils n'utilisent pas le WiFi. Par exemple, avec la Wii ou le Kinect, vous avez un détecteur de mouvements. WiSee ne fonctionne pas de la même façon, car il a besoin d'un simple réseau WiFi. Il n'y a donc aucune caméra ni de détecteurs et les mouvements peuvent être détectés avec aisance. Les problèmes liés aux angles morts seraient ainsi supprimés. Ce projet a été mis au point par une équipe d'ingénieurs (Qifan Pu, Sidhant Gupta, Shyam Gollakota, Shwetak Patel) de l'université de Washington. Ils ont constaté que le corps humain provoquait des interférences naturelles. Ces dernières agissent ainsi sur le réseau WiFi. Un taux de réussite de 94% Pour WiSee, les ingénieurs ont simplement eu besoin d'un modem WiFi et de plusieurs appareils comme des Smartphones, des tablettes ou des PC. Les auteurs de ce projet ont ensuite conçu un logiciel capable de retranscrire les interférences du corps humain. Cette méthode a permis d'enregistrer neuf gestes. Selon les ingénieurs, leur concept fonctionne avec un taux de réussite de 94%. Comme le montre la vidéo de WiSee, lorsque la personne effectue des mouvements, le logiciel réagit et capte les interférences. Même s'il y a du monde dans une seule pièce, il suffit de multiplier les émetteurs et les récepteurs pour que le système fonctionne."

Whistle - http://www.whistle.com - est un collier pour chien qui permet de recueillir ses données d'activité. Et la startup aimerait le transformer en réseau social pour animaux, permettant de documenter son activité, de le connecter à ses relations... Nick Wingfield pour le NYTimes revient également sur Whistle et d'autres startups proposant des produits numériques pour nos animaux de compagnie : http://well.blogs.nytimes.com/2014/03/09/every-dog-has-its-data/ et souligne combien ces objets intéressent les chercheurs vétérinaires ainsi que les sociétés qui vendent des produits et aliments pour nos animaux domestiques. En évoquant également les technologies qui s'intéressent à la solitude des animaux de compagnie comme https://www.dropcam.com ou http://petcube.com qui nous permettent de jouer avec eux à distance... quand ceux-ci s'ennuient à la maison et vous au bureau.

"Utiliser le corps humain pour transmettre des données n'est toutefois pas une invention de Microsoft. Les premières théories sur le sujet datent de 1997 et ont été menées par le MIT. De nombreux travaux sur ce système baptisé « modem humain », ou « réseau du corps humain » ont été réalisés depuis. Au CES 2012 de Las Vegas, le patron d'Ericsson avait même réalisé une démonstration durant laquelle il avait transmis une photo provenant de son téléphone pour l'afficher sur une TV, sans aucune autre liaison que celle de son propre corps. Le géant des télécom japonais NTT, son concurrent KDDI ou encore son équivalent coréen ETRI travaillent beaucoup sur le sujet. Ainsi, NTT serait parvenu à transmettre des données via le corps humain à un débit de 10 Mbits/s. Selon les chercheurs, il serait même possible d'atteindre les 17 Mbits/s. Le laboratoire a aussi réalisé des études sur l'éventuelle nocivité d'un tel système. Le courant passant au travers le corps ne serait que de quelques pico-ampères. En l'état actuel des recherches, il n'y aurait aucun effet sur le corps humain."

"Au regard des progrès technologiques actuels, il est désormais possible d'envisager des interfaces plus naturelles. C'est le but du projet Wear-a-BAN, débuté en juin 2010, et qui vise à développer des interfaces homme machines portables et non intrusives via des textiles intelligents et interactifs. Il s'agit concrètement de créer un réseau corporel sans fil (BAN : Body Area Network) pouvant être utilisé dans les textiles interactifs pour créer, par exemple, des interfaces naturelles dans le cadre d'un jeu vidéo. Wear-a-BAN va permettre des avancées technologiques majeures à fort impact sociétal dans le domaine des nouvelles interfaces pour jeux vidéo"

""Les femmes remettent en cause le statu quo, parce qu'il ne leur est jamais favorable. Il y a beaucoup d'argent à se faire en prenant les femmes au sérieux, surtout dans ce milieu. (...) Il faut aider et financer les femmes qui veulent inventer le futur du porno, pour les femmes et pour les hommes. Et on aura peut-être un jour une industrie du porno dirigée par des hommes et des femmes, vendant à des hommes et des femmes. Ce sera à ce moment-là que le porno ne dégradera plus personne. Sauf, bien sûr, si vous avez envie d'être dégradé." "

"On peut être milliardaire californien et prendre le métro à New York comme un travailleur anonyme parmi des milliers. Et même se trimballer avec un sac en plastique jaune pour y ranger ses petites affaires. C'est en tout cas la drôle de balade que vient de s'offrir Sergey Brin, le big boss et co-fondateur de Google, autrement dit l'un des hommes les plus puissants de la planète. Mais son petit raid dans les sous-sols de la Grosse Pomme semblait avoir un objectif bien précis : tester en conditions réelles (mais particulières, puisque le réseau GSM et WiFi est très aléatoire sous terre, même à Manhattan) les fameuses Google Glasses, autrement les lunettes du futur que nous concocte Google pour 2014"

"Munie de ses boules de geisha connectées, de ses préservatifs banane-kiwi achetés au concept store Le Roi de la Capote, et parfumée de deux gouttes de la fragrance Magnifiques Sécrétions d'État Libre D'Orange, la ménagère de moins de cinquante ans (et les autres) qui pourrait bien être vous, s'en va d'un pas assuré rejoindre ses copines à son cours de fellation chez Blow by Blow. Pour hisser le grand mât il ne suffit pas d'avoir le pied marin, l'art de manœuvrer… ça s'apprend ! Et comme la ménagère de moins de cinquante ans (et les autres), qui pourrait toujours bien être vous, est une bonne élève. A la nuit tombée, elle fait ses travaux pratiques et poste sa sextape sur Make Love Not Porn, délicieux réseau social sur lequel les internautes peuvent échanger librement leurs vidéos mutines et commenter les porn-galipettes de Bernard et Olivia, couple de professeurs des écoles Paris 6ème."

"Jon Schull a développé une plateforme en ligne baptisée e-Nable, qui vise à mettre en contact les institutions et les personnes en possession d'une imprimante 3D avec d'autres personnes ayant perdu l'usage de leur main. Les imprimantes 3D permettent, en effet, de fabriquer des prothèses sur mesure dont le prix est beaucoup plus accessible que celui des prothèses classiques. L'initiative a débuté avec une page Google + et une page Facebook, aujourd'hui la plateforme regroupe plus de 300 "makers"."