Suite à la conférence Legal IT de Montréal, Jean-François Ferland rend compte des explications de 2 avocats sur l'utilisation des médias sociaux comme preuve en justice.
Lauren Drell nous explique pourquoi les agences de communication ou département marketing doivent tenir compte de l'évolution des médias sociaux pour aborder les 3 types de médias dont ils tiennent compte habituellement : médias payants ("paid"), privés ("owned") et publiques ("earned").
Rohit Bhargava a assisté a un sommet sur les médias sociaux en entreprise durant lequel 10 grandes entreprises ont pésenté les leçons qu'ils ont rentenu en utilisant activement les médias sociaux pour générer une réelle valeur commerciale.
Je pense que c'est quand meme vrai que nous doutons toujours de l'orientation prise par les medias de masse quand a la diffusion des informations. On ne dit que ce qui plait
C’est dire que l’acte de la transmission doit donc
lui-même passer inaperçu, afin de préserver le sentiment
qu’un évènement et une information sont une et même chose.
doute
révélateur d’une séparation croissante entre le « voir » et le «
croire »
Nous entrons dans une nouvelle société où la vérité perçue ne peut
plus se limiter à la capture directe par les instruments
d’enregistrement d’institutions légitimantes, monopole des riches
institutions médiatiques.
Mais dans la vraie
vie, toute reproduction d’évènement doit nécessairement se faire du
point de vue de quelqu’un, journaliste y compris.
Cette reconnaissance du point de vue (cette subjectivité assumée) est
une réponse au doute croissant qu’ont entraîné les multiples
scandales que mentionne Weissberg
La légitimité des organisations médiatiques traditionnelles se trouve
diminuée, à coups de suspicion permanente, d’un côté, et par la montée
d’autres canaux de transmission non filtrés (par autopublication), de
l’autre.
L’émergence des réseaux sociaux sur le web crée une
redistribution des normes de croyance et l’explosion des blogues, par
exemple, en a été à la fois la grande cause et la conséquence. Le web
social crée des espaces où un processus de discussion, de vérification
et de débats colporte une autre façon de voir le monde : celui du
commentaire incarné par la multitude.
La démocratie, c'est la participation et le WEB est un bon exemple avec la montée d'une vision comme les carré rouge l'ont fait en 2012 et cela a vallu l'évènement 'Printemps Érable' pour le Québec.
Le Committee to Protect Journalists présente les stratégies adoptées dans divers pays pour empêcher ou contrôler les échanges d'information et les réseaux sociaux.
Benoit Descary nous livre son évaluation de Google+. Consulter aussi pour un complément les billets cités en fin d'article.
Avec celui du Monde.fr qu'a partagé avec le groupe Pierre Bonnefoi le 29 juin, c'est complet sur le sujet !