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Comment les robots sociaux pourraient influencer l'opinion publique. Par Christophe Duret

Un Web 2.0 permettant aux robots d'apprendre les uns des autres.

* Activité A Le robot (éventuellement le bot) validateur. Une sorte d'autarcie narcissique techno. Même plus bespin de se regarder à travers les auyres....

Hautement intéressant, cet article porte un regard sur l'édition du contenu de l'encyclopédie libre Wikipédia par des robots au lieu de véritables êtres humains. Cela devient problématique lorsqu'il s'agit de régions géographiques où l'accès aux technologies est difficile. Cette fracture numérique a comme résultat un taux d'édition de contenu énormément élevé réalisé par les robots. La phrase suivante, tirée de l'article, résume bien l'inquiétude reliée au phénomène: "It's difficult to invest time and energy into a free service without access, and it's even harder when bots are piecing together your national history before you get a chance.".

Dans ce billet, je me questionne sur la crédibilité accordée aux sites statiques par le référencement de Google.

Site Internet pour l'activité-B. L'objectif est de créer une communauté francophone de programmeurs C# qui utilisent la librairie open-source Mindsqualls avec les robots LEGO NXT.

Je présente mon initiative sur le Web social, un site consacré aux robots Lego programmés avec la librairie Mindsqualls NXT.

Des robots sociaux créent de faux profils sur Facebook pour récolter les données personnelles de ses usagers. Par Vincent Grou.

Cet aperçu d'un avenir qui serait bientôt peuplé de robots rapides, forts et parfois intimidants soulève plusieurs questions.

Pour mieux connaître les robots sociaux (socialbots) et leur avènement sur les plateformes sociales. Par Christophe Duret.

Très bon article nous faisant comprendre que nous n'avons (pour l'instant) rien à craindre des robots et de l'intelligence artificielle.

Commentaire sur le billet de Roxanne et le web social: http://websocial12.blogspot.jp/2012/11/reseaux-sociaux-et-gaffes_27.html Les gaffes des entreprises et leurs employés sont nombreuses car il y a maintenant beaucoup de yeux et de robots à surveiller le Web pour ce genre de gaffe. Chaque compagnie présente sur le Web a une politique d'utilisation des réseaux sociaux en tant qu'employé et même en tant qu'individu à l'extérieur du travail. Les écrits restent, l'information circule rapidement autour du globe. Il a évidemment des risques à s'exploser sur la toile et les réseaux sociaux, des risques qui viennent aussi avec de grands avantages de visibilité. Je crois que lorsqu'une erreur, une publication dont nous n'avions pas bien prévu l'impact il faut rapidement faire la correction et au besoin présenter des excuses. L'employeur doit former ses employés et faire un rappel fréquent des politiques maisons au sujet de son implication dans les réseaux sociaux. Dans votre article des compagnies ont réagies rapidement pour limiter les dommages d'un employé malhabile ou d'une campagne marketing mal évaluée; d'autres réagissent moins bien et en subisse les impacts. Voici un livre publié sur ce sujet : Facebook, Twitter et les autres… http://www.pearson.fr/livre/?GCOI=27440100767040

- Amazon a créé un dispositif ou un bouton qui lorsque pressé envoie un message ordonnant une commande de produits domestiques. Voilà une autre preuve de notre propension au bouton. C'est partie pour la génération robots version 2.

Visite guidée :) - agréable pour les enfants !

À mesure que de nouvelle génération de robots créatifs continue de se développer, d'importants problèmes juridiques doivent être pris en compte. La création d'une IA peut-elle être protégée par le droit d'auteur et les brevets? De même, une IA est-elle capable d'enfreindre les droits de propriété intellectuelle de quelqu'un d'autre?

Un robot, qui regarde les Stories des autres à ta place (EN MASSE). Un service payant !!