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Julien PIERRE

Live from Mexico City: Opening Session Highlights the Potential and Challenges of Big D... - 0 views

  • Their responses indicated that regulators will move away from an approach based on rules and reactions to market events, toward one that promotes risk assessment and taking strategic action to affect market behavior.
  • heir remarks pointed to the need to focus more on use and accountability and less on consent when consent is impractical
  • more traditional approaches based on transparency and individuals’ ability to exercise their rights related to data
peir ric

Les Big Data et l'avenir de la santé | Le blog de Vincent Fromentin - 1 views

  • Une mine d’informations sensibles au-delà des domaines classiques d’investigation, tirée du comportement des individus dans leur vie de tous les jours (living labs). Le but est de réussir à trouver une réponse, plus globale, plus innovante, pour mieux comprendre cette maladie.
  • La taxonomie usuelle doit distinguer les données open-source (Open Data Commons), les données relevant de la vie privée et personnelle (Personal and Proprietary Data) et les données confidentielles relevant de l’État (Government Secret Data).
  • Dans un tel système, « chaque donnée personnelle dispose d’un label spécifiant ce qu’il est possible ou non de faire avec ». Le modèle le plus connu de nos jours est le réseau SWIFT qui garantit la confidentialité des échanges monétaires entre les banques. Il a inspiré des réseaux open-source, comme Open mHealth ou OpenPDS, garantissant la sécurité des données partagées par les chercheurs.
  • ...1 more annotation...
  • Pour cela, le cursus médical devrait intégrer davantage l’étude des méta-données et favoriser les échanges inter-disciplinaires sur le sujet.
peir ric

RECHERCHE * Big Brother au service des sciences sociales | Courrier international - 0 views

  • “Nous avons découvert des régimes très distincts dans lesquels les comportements individuels ou collectifs dominent. Le passage de l’un à l’autre se fait de manière instantanée”
  • Les informations des réseaux sociaux permettraient également d’identifier des tendances sociales
  • Les résultats démontrent que le rythme auquel les utilisateurs postent des tweets au sujet d’un film peut permettre d’estimer avec une précision inégalée ses recettes au box-office.
  • ...6 more annotations...
  • à faire des prédictions dans bien d’autres domaines
  • véritable dispositif de localisation qui enregistre automatiquement chacun de nos déplacements. Le sociologue Albert-László Barabási et ses collègues de la Northeastern University, à Boston, ont ainsi utilisé ces données pour analyser les déplacements humains – au fil des heures, des jours, des semaines et des mois ; à pied, en voiture ou en transports en commun.
  • En fait, nos déplacements évoquent de manière frappante ceux d’autres organismes vivants. Selon M. Barabási, la plupart de nos actions sont dictées par des lois, des modèles et des mécanismes que l’on retrouve dans les sciences naturelles.
  • ais le simple fait d’accéder à ces données permet d’identifier les schémas existants et de démystifier l’univers des sciences sociales.
  • “Les individus impliqués dans ce type de recherches sont de plus en plus confrontés à un dilemme moral : ils se demandent comment éviter de contribuer à l’instauration d’un Etat policier.”
  • la capacité de prédire les comportements humains oblige les experts en sciences sociales à faire eux aussi des choix responsables.
Julien PIERRE

[Vivagora] Vers une vidéosurveillance à la française - 0 views

  • « Le résultat est un fiasco total. Elles ont proliféré dans les espaces publics londoniens sans qu’aucune réflexion n’ait été menée sur la façon dont les images pourraient être utilisées par la police et la justice ». Des études montrent que la vidéosurveillance n’entraîne pas une baisse notable de la délinquance. De plus, elle ne contribue pas significativement à améliorer la résolution des crimes.
  • 71 % des personnes interrogées sont favorables à la présence de caméras dans les lieux publics.
  • 80 % des sondés considèrent « important le contrôle de ces dispositifs par un organisme indépendant pour garantir le respect du droit à la vie privée »
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  • a nécessité de former, professionnaliser et responsabiliser les opérateurs. Ils envisagent donc de mettre en place une habilitation spécifique pour visionner ces images et recommandent que la vidéosurveillance sur la voie publique ne puisse être déléguée à des prestataires privés, afin d’éviter la consultation des images par des personnes non autorisées.
  • vivre sous l’œil de caméras de surveillance est-il un choix de société véritablement souhaité et souhaitable ?
  • ubstituer au mot inquisiteur de « vidéosurveillance », celui beaucoup plus rassurant de « vidéo protection »
  • d’un Big Brother inquiétant à une Big Mamma rationnelle et protectrice
Julien PIERRE

LittleSis - 0 views

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    Un Facebook collaboratif et inversé : l'utilisateur complète les informations et relations sur les hommes (et le femmes) politiques américain(e)s. On appelle cela de la sousveillance (little sister vs. big brother).
Alain Marois

Identité numérique : ce miroir déformant - Blog du modérateur - 1 views

  • Toutes ces interactions et échanges virtuels ont rapidement mis en exergue la possibilité de se forger une image sur la toile. Si je participe activement à la production de contenus pertinents et à l'animation de sites en lien avec mes compétences, pourquoi n'utiliserais-je mon vrai nom ? Le personal branding est né.
  • L'accès à un média de masse pour consommer de l'information a rapidement donné la possibilité de se forger une identité numérique. Et même si beaucoup de résistants ou de "dépassés" ne cherchent pas à disposer d'une identité sur le web, on se rend compte que le web vous a déjà rentré dans son catalogue. Et oui, la technologie est un train qui ne vous attend pas et qui vous rattrape bien souvent malgré vous.
  • C'est face à ce constat qu'est apparue la notion d'e-réputation. Véritable buzzword de l'année 2010, ce terme est le témoin d'une démocratisation des outils pouvant nous permettre de gérer notre vie virtuelle. Par e-réputation, on entend l'image que les autres ont de nous sur le web. Il faut bien comprendre qu'il ne s'agit pas de notre image numérique (celle que l'on souhaite se donner), mais bien de notre réputation numérique (ce que les moteurs de recherche et nos contacts pensent de nous).
  • ...7 more annotations...
  • Il ne s'agit donc plus simplement de chercher à se valoriser socialement sur le net, mais également de gérer sa propre image.
  • Que l'on soit une marque, un particulier, un personne célèbre ou inconnue, on observe que la toile s'est enracinée dans notre quotidien. Cette cohabitation exige que l'on contrôle notre identité numérique pour nous faciliter le travail. Il ne s'agit donc plus réellement d'un besoin, mais plutôt d'un devoir.
  • Le voilà donc ce fameux revers de la médaille. Croire que nous devons gérer qu'une seule identité est une utopie. Nos différentes identités réelles nous rattrapent sur le virtuel. Seule solution, trouver un compromis. Soit en segmentant son réseau en fonction des outils, soit en triant des contacts pour faire des listes et ainsi contrôler sa communication.
  • La nouvelle orientation de Facebook semble atteindre le paroxysme d'une volonté d'exhibitionnisme. Facebook Timeline nous permet dorénavant d'avoir accès à ce que nos contacts écoutent, lisent, regardent, à l'ensemble de leur statuts depuis leur inscription sur la plateforme, etc. Bref, notre réseau s'est transformé en un Big Brother de masse, une caméra de surveillance sur notre vie 24/24, 7j/7. Gérer son identité sur Facebook est presque devenu un emploi à mi-temps,
  • Désormais, on pense plus aux répercussions de nos interventions qu'au plaisir que l'on a à les partager. On nous observe, on nous écoute, on nous lit, et cela nous force à être vigilant sur notre identité numérique
  • Malgré tout, un palier psychologique a été franchi, qui fait que la technologie nous est purement et simplement nécessaire. Cette dépendance nous amène à un choix cornélien (ou pas) : Choisir de profiter des bienfaits du net tout en " pervertissant " une partie de son image pour disposer d'une identité numérique homogène, ou préférer s'interdire ces outils pour respecter notre identité originelle mais se priver des modes de communication d'aujourd'hui ?
  • C'est en cela qu'Internet peut être considéré comme un investissement. Rien n'est vraiment gratuit.
Julien PIERRE

Les limites de la fouille sociale de données « InternetActu.net - 2 views

  • le plus gros problème ne repose pas tant sur la violation de la vie privée que sur l’inexactitude des données extraites des techniques d’extraction
  • La question déterminante de notre époque”, affirme Acquisti, “est de savoir comment nous, en tant que société, nous allons traiter ces grands répertoires de données, les big data ?”
Julien PIERRE

YouTube - Chaîne de CONRADCIGARSPIPES - 0 views

  •  
    The Pipe Smoker
  •  
    The Big Smoker
Julien PIERRE

Lettre au maire - Le fil rouge romanais - 0 views

  • Vous n’ignorez pas que Michel Foucault a dégagé en 1975, le concept de « Panoptisme » dans son célèbre ouvrage « Surveiller et punir » à partir du modèle de prison imaginé au XIXème siècle par Jérémy Bentham. Le principe du « Panoptique » est de voir sans jamais être vu au point de donner aux détenus l’illusion d’une surveillance permanente et totale. Ainsi, le « panoptisme » vise à observer, tout en se protégeant totalement des personnes épiées. Bentham a jeté les fondements d’une société libérale où tout le monde pourrait surveiller tout le monde, y compris dans les moindres plis et replis de la vie de chacun. George Orwell s’est largement inspiré des ses conceptions pour écrire son fameux roman d’anticipation, « 1984 ». La société qu’il décrit est effrayante car « l’œil du pouvoir » (Foucault) omniprésent conduit à la déshumanisation dans le sens où chacun, privé de la capacité à exercer sa liberté, est réduit à un statut d’objet. A bas bruit, chaque citoyen est actuellement plus ou moins enserré dans un maillage qui permet d’établir sa « traçabilité », un autre concept cher à Bentham et aux modèles libéraux. C’est le « Big Brother », apanage de nos sociétés modernes. Il permet de collecter un nombre impressionnant de renseignements sur chacun à travers notamment les téléphones portables, les cartes de crédit, les ordinateurs, la biométrie … Et les caméras de vidéo surveillance.
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