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http://www.3news.co.nz/Chinese-cyber-war-intensifies/tabid/417/articleID/293604/Default.aspx Dans Shanghai externe, les conducteurs doivent directions à la recherche d'une base d'espionnage militaire chinois cachée quelque part dans un quartier à la recherche ordinaire. Il a appelé unité 61398 - censé pour abriter une unité secrète de piratage chinoise. Le public ne sont pas autorisé à proximité de l'immeuble de 12 étages ordinaire, et il y a une interdiction de tournage et de photographie. Le bâtiment est en fait le nerf centre d'et le quartier général de l'armée chinoise cyber responsable de cyber-attaques contre les Etats-Unis et peut-être d'autres pays, y compris la Nouvelle-Zélande. Unité 61398 a été découvert le mois dernier à quelle entreprise de sécurité américaine cyber Mandiant tracée 90 pour cent de ses interceptions identifiées au quartier - armée de libération populaire base. La Chine et son armée sont les suspects numéro un au monde pour cyber piratage, bien que l'armée chinoise a nié à la télévision nationale. Premier ministre John Key refuse de blâmer publiquement la Chine, mais une entreprise de sécurité de cyber Auckland affiche des attaques sur la Nouvelle-Zélande en temps réel et la plupart viennent de Chine. Et la tâche de protéger la Nouvelle-Zélande de cette nouvelle guerre incombe au n'est autre que d'espionner l'Agence GCSB. La cyberguerre est réel. M. Key a révélé cette semaine la Nouvelle-Zélande entreprises ont été victimes de l'espionnage industriel. Il est probable que les enregistrements de client ou même idées ont été volées. La Nouvelle-Zélande n'est pas comme suspecte de la Chine comme d'autres pays. Etats-Unis le Président Barack Obama prend au sérieux les attaques. "Maintenant, nos ennemis cherchent aussi la capacité de saboter notre réseau électrique, nos institutions financières, nos systèmes de contrôle du trafic aérien," dit-il. « Nous ne pouvons regarde

It's the last thing security professionals want to see: A new hacking method that makes it even harder to detect suspect code in emails. The method is actually a stealthy combination of two favorite attack modes, and it shows that hackers are pulling out all the stops to ensnare computer users in their webs. Phishing and spear phishing have long been thought to be mutually exclusive hacking tricks, but cybercrooks have found a way to combine the two in a technique called longline phishing. "The technique allows you to hit a lot of people very quickly and largely go undetected," Dave Jevans, founder and CTO of Marble Security and founder of the Anti-Phishing Work Group, told TechNewsWorld. With spear phishing, which is typically used as a vehicle for advanced persistent threat attacks like the recent one on The New York Times, a select group of connected people are targeted with a highly credible email message based on extensive research of the targets' backgrounds. "With longlining, you can get hundreds of people exposed to a website that will infect their computers," Jevans noted. He explained that longliners -- named after commercial fishermen who use long lines of hooks to catch fish -- might send 100,000 emails from 50,000 IP addresses, which makes it difficult to identify an email from a particular server as hacking bait.