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Michel Roland-Guill

Digital Book World 2012 : "les livres sont partout !" | SoBookOnline - 0 views

  • Fait qui peut paraître étonnant  : les adolescents préfèrent le livre imprimé à l’eBook à 66 % (contre 8 % pour l’eBook). Principale raison invoquée : les livres numériques se partagent encore très mal et il existe trop de restrictions (ce qui veut dire : 1. Un moyen de leur vendre des eBooks – lesquels, ça reste à déterminer – est de les trouver – comment, ça reste aussi à déterminer – sur les réseaux socionumériques; 2. Au diable les DRM ;-).
  • Lors de la Digital Conference de Londres (avril 2011), Evan Schittman avait pourtant annoncé la mort des livres-applications (une pierre tombale avec pour épitaphe : « eBooks enrichis et applications : 2009-2011″ servait ainsi de démonstration Power Point) ou plutôt : leur nécessaire diminution. Ces objets ont en effet d’abord rendu ivres les éditeurs avant qu’ils ne se rendent compte à leurs dépens que leurs coûts étaient trop difficiles à assumer (une application livre soignée, avec une ligne éditoriale solide et un minimum d’ambition peut coûter – dans le meilleur des cas - plusieurs dizaines de milliers d’euros) et devaient donc se limiter à quelques réalisations exceptionnelles. Selon Forrester, les éditeurs ont aujourd’hui intégré ce constat (51 % estiment que les coûts sont trop élevés et seulement 15 % que les applications offrent encore de belles opportunités).
  • le prêt de livres numériques stimulerait les ventes (plus précisément : il stimule les ventes d’une série). Un lecteur, qui aurait gratuitement emprunté un livre, a par exemple tendance  (à 19 %) à acheter le deuxième et troisième volume sans attendre de pouvoir l’emprunter. C’est également un lecteur plus actif qui écrit des critiques, se montre à l’affût des nouveautés et achète plus de livres (+ 30 % de ventes).
Michel Roland-Guill

E-Book Preservation Service - Portico - 1 views

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    "n 2008, Portico introduced its E-Book Preservation Service to the publishing community to accommodate the rapidly rising production and use of e-books by the scholarly community; in 2011, library participation began. This service operates on a community model, like the E-Journals Preservation Service, through which both publishers and libraries help to defray the ongoing costs of operating the archive, including the IT infrastructure set up to ingest, archive, and migrate the content committed to the archive. "
Michel Roland-Guill

Elib - 0 views

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