"Mgr Brouwet invite tous les catholiques à s'unir à la journée de jeûne et de prière pour les chrétiens persécutés en raison de leur foi, particulièrement en Irak, le 25 juillet.
Mgr Brouwet encourage également, les curés de paroisse, les prêtres qui célébreront et les membres des équipes liturgiques à prendre connaissance de la lettre, ci-dessous, de Mgr Georges Pontier, président de la Conférence des Évêques de France, et à choisir tout ou partie de la prière universelle proposée ci-après pour les messes dominicales des 26 et 27 juillet."
Les situations dans lesquelles le principe de laïcité doit s'appliquer sont relativement nombreuses et diverses dans le cadre du SNU.
Ces situations peuvent être classées en neuf catégories :
- Personnels et encadrants : application ou non du principe de neutralité;
- Usagers de la première phase en internat: restriction ou non à la manifestation d'une appartenance religieuse;
- Usagers de la première phase accueillis au sein d'associations et de la seconde phase : application ou non du principe de neutralité
- Bâtiments de la première phase : application ou non du principe de neutralité;
- Bâtiments de la deuxième phase: application ou non du principe de neutralité;
- Restauration dans le cadre de la première phase en internat : menus confessionnels autorisés ou non, menus différenciés proposés ou non; gestion de la pratique du jeûne;
- Pratique et fêtes religieuses : autorisation ou non, dans quel espace et dans quel cadre à l'occasion de la première phase en internat ;
- Activités : possibilité ou non de refuser une activité en invoquant une conviction ou croyance;
- Associations accueillant les « appelés » durant la deuxième partie de la première phase et durant la seconde phase : exclusion ou non de celles ayant un caractère propre confessionnel.
"À l'occasion du ramadan, mois de jeûne et de retrouvailles familiales pour les musulmans, des associations de l'agglomération lyonnaise s'organisent pour subvenir aux besoins des étudiants."
"Alors que le Carême vient de commencer, les jeunes catholiques français ne vivent pas tous de la même manière ces 40 jours qui les séparent de la célébration de Pâques. "