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Benoit Dudragne

11 mises au point à propos du web sémantique | ReadWriteWeb France - 0 views

  • e web sémantique pourrait marquer la fin de la croissance sans limite de Google, tout comme le PC pour IBM et le web pour Microsoft.
  • Google a excellé à rendre relativement structuré les données chaotiques de milliards de pages html non structurées. Le web sémantique rendra cette capacité de moins en moins critique au fur et à mesure que ces pages deviendront elles même de mieux en mieux structurées (tags, microformats, etc).
  • Le tagging est un usage/une technologie totalement disruptive. Tout le monde taggue. Quoi de plus naturel que d’attribuer du sens, de classer et de cataloguer ce que nous découvrons ? Nous le faisons tous depuis notre plus tendre enfance, et le tagging n’est qu’une extension de cette capacité humaine qui est à la base de notre intelligence et de notre créativité. Nous le faisions avec des dossiers dans Windows, nous le faisons désormais avec nos bookmarks dans Delicious. Nous sommes au tout début de quelque chose de très important dans l’Histoire de l’information.
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  • Les gagnants seront ceux qui fourniront des outils transformant une tâche pénible et ennuyeuse comme la structuration d’information en quelque chose de ludique et facile.
  • Le web sémantique est le début de la fin des bases de données relationnelles (comme mySQL). Le Web 3.0 permet la transition entre des données structurée « à la base » et des données structurées « à la volée ». Le monde est bien trop complexe pour être structuré à la base, malgré les efforts et le talent des experts en modélisation de base de données, c’est une tâche impossible (et quelque peu absurde d’un point de vue philosophique). Structurer les données à la volée est fait par des utilisateurs sur un mode collaboratif (le geotagging de Flickr, par exemple) ou par des machines qui structurent automatiquement des données brutes (comme OpenCalais).
  • le web sémantique, lui, est l’un des secteurs les plus innovant du web d’aujourd’hui.
  • Les réussites du web 3.0 seront différentes de celles que l’on a connu à l’époque du web 2.0, tout comme les succès du web 2.0 sont différents de ceux du web 1.0. Les succès du web 2.0 reposaient principalement sur une fonctionnalités unique (partage de photo, bookmarks, hébergement vidéo, plateforme de blogs…) et un recrutement particulièrement rapide d’utilisateurs.  Le web sémantique est intrinsèquement basé sur l’intégration de services, ce sera différent, plus lent, mais avec un potentiel bien plus grand.
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    l'avenir du Web se passe ici
Benoit Dudragne

Le nouveau Facebook : un guide complet pour les éditeurs, les annonceurs, les... - 0 views

  • un mouvement destiné à faire du web tout entier un web social et sémantique
  • on intention est bien de réduire à néant la concurrence, et d’utiliser ses centaines de millions d’utilisateurs pour prendre d’assaut le web tout entier
  • Nous avons délibérément laissé de coté la monnaie virtuelle annoncée par Facebook,
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  • mais à la base, leur but est d’amener les utilisateurs à recommander un contenu, ce qui en publira le lien dans leurs flux Facebook, le stockant au passage de façon permanente sur leurs profil. Ce lien sera également partagé et apparaitra dans le flux de leurs amis, créant ainsi du trafic vers vos contenus.
  • Ils rendent facile et agréable l’identification sur un site tiers avec son compte Facebook, et montrent les avatars de vos amis qui sont déjà membres du service.
  • ces widgets ajoutent la possibilité de placer un bouton de recommandation Facebook (“Like”) sur n’importe quel contenu –
  • es flux d’activité listent les commentaires récents faits sur Facebook à propos de vos contenus et les recommandations,
  • Facebook a lancé un langage de marquage sémantique simple, basé sur le RDF, qui rendent ces plugins intelligents et conscients du contexte non plus simplement social dans lequel ils s’affichent
  • Pour aller vite, le marquage des contenus donne la possibilité aux éditeurs de spécifier quels objets sont présents dans ses pages : un film, un livre, un chanteur, un événement, une équipe de foot, etc. Cela permet de mettre en œuvre de la sémantique, c’est à dire une compréhension par cette technologie que le visiteur ne fait pas qu’interagir avec une page web, mais qu’il est en train de regarder, de commenter ou de recommander une chose en particulier. Le langage sémantique classe les objets en catégories comme les livres, les films, la musique, etc., et ouvre la voie à une multitude d’applications, en particulier des systèmes de recommandations personnalisés.
  • ce langage de marquage sémantique aide Facebook à relier les internautes ayant un intérêt commun à travers différents sites web
  • ce genre de données concernant vos amis est jusqu’ici dispersée à travers de multiples sites. Auparavant, Facebook faisait apparaitre ces informations dans les flux de chacun sans en extraire quoi que ce soit d’utile, désormais, les goûts de vos amis en matière de sport, de musique, de littérature ou de cinéma seront stockés de façon permanente sur leurs profils, et disponibles pour être mis en contexte à travers le web tout entier.
  • Cette nouvelle API transforme Facebook en annuaire, accessible en lecture et en écriture, référençant les goûts de tous les membres de Facebook. A chaque fois que vous recommandez ou ‘Likez’ un contenu, vous enrichissez votre profil et augmentez la capacité de Facebook et des sites utilisant cette technologie de vous fournir une expérience personnalisée.
  • Facebook demande clairement (ou presque) à ses utilisateurs de renoncer à la confidentialité d’une partie de leurs données personnelles en échange de personnalisation. Il faut être clair : aucune personnalisation n’est possible sans que les utilisateurs ne donnent des informations au système sur leurs goûts. Ce que Facebook demande est nécessaire à la création d’une expérience web personnalisée.
  • comme le pointe Fred Wilson, les liens passés entre amis vont en parti remplacer en partie la recherche.
  • ’essentiel des conséquences de ces innovations du point de vue de l’utilisateur est ailleurs, et se résume à un mot : la vie privée.
  • Il convient cependant de prendre des distances avec tout cela : les analyses publiées ici sont très loin de la compréhension qu’à l’utilisateur moyen de Facebook, et la communauté des lecteurs de RWW est très largement plus avertie que celle qui surfe sur Facebook.
  • a plateforme offerte par Facebook est également riche en innovations, notamment car elle promet de faire passer la sémantique au mainstream. Les services web, demain, pourraient, grâce à elle, voir surgir des innovations phénoménales.
  • mais il est évident que Facebook utilisera les informations qu’il collectera sur ses membres pour cibler ses publicités. Il est même fort probable que Facebook devienne dans les prochaines années l’une des plus puissantes régies pub au monde
  • quelque chose qui pourrait rendre obsolètes les innovations de Google en matière de publicité.
  • Les annonceurs, qui jusqu’ici avaient tendance à prendre à la légère le système de publicité proposé par Facebook, devront rapidement réviser leur copie. D’ici peu, Facebook leur fournira la possibilité de cibler une population en fonction d’une quantité impressionnante de facteurs : goûts, centres d’intérêts, marques favorites, réseau social, sujets abordés sur la page où est placé la publicité, et géolocalisation.
  • Pour les secteurs offrant une vaste gamme de choix, comme la mode ou le tourisme, c’est l’ensemble des sites eCommerce et des « landing pages » qui pourraient être intégralement personnalisés en fonction de chaque visiteur (faisant, là encore, un renversement d’équilibre entre « recherche » et « recommandation »).
  • Si la vision de Facebook se réalise, ce dernier pourrait devenir la plus grosse régie publicitaire de l’internet
  • Mais à y regarder de près, c’est loin d’être aussi évident. Pour comprendre cela, il faut distinguer deux types de sites : ceux qui sont déjà des réseaux sociaux ou qui ont un réseau social intégré, et ceux qui n’ont qu’un simple système de commentaires.
  • N’importe quel site qui a déjà un réseau social intégré doit décider s’il doit abandonner cela avant de sauter dans l’aventure, et le problème critique réside dans la propriété des commentaires et des notations. Les éditeurs sont-ils prêt à abandonner cela ? Personne ne pense sérieusement qu’un utilisateur va noter quelque chose sur Facebook puis le faire à nouveau sur le site d’un éditeur.
  • Peut être sous la forme d’une API ouverte qui permettrait aux éditeurs de manipuler les données.
  • C’est difficile à estimer, mais en terme de trafic, c’est un surplus non négligeable que peut apporter ainsi Facebook, surtout si ces fonctionnalités sont couplées à une vrai stratégie de community management sur Facebook. Largement de quoi payer au prix fort une armée de community managers pour les gros sites de contenus, ainsi que les meilleurs experts de la place, afin de tirer parti de cette mine d’or ouverte par Facebook.
  • Un accord concernant Bing, son moteur de recherche, est probablement dans les cartons, et alimenter Bing avec toutes les données issues de Facebook aurait beaucoup de sens : cela permettrait une amélioration sensible des résultats de recherches proposés par le moteur de Microsoft.
  • pparemment, Facebook ne se contente plus de connecter les gens entre eux, il ambitionne désormais connecter les gens et les choses, non seulement sur son site, mais partout sur le web, et pas simplement les gens, mais vos amis.
  • La troisième option est de jouer le jeu et de construire quelque chose dans l’écosystème proposé par Facebook. D’innover au sein de cet écosystème. C’est à priori, d’un point de vue stratégique, la meilleure option. L’innovation a toujours triomphé de l’immobilisme sur le web.
  • e point noir reste que Facebook semble être le seul dépositaire de toutes les données dans cette équation, ce qui rend l’ensemble particulièrement fermé. Les éditeurs et les utilisateurs n’ont pas le choix en ce qui concerne l’endroit où stocker les données
  • Facebook sera
  • e répertoire des goûts et des couleurs du monde entier.
  • Pour décrire un objet sur une page, l’éditeur doit lui donner un titre, une typologie, une image, une url et le nom du site en utilisant de simples metatags.
  • C’est une opportunité incroyable pour faire du web sémantique une réalité
  • Il y aura sans aucun doute une véritable ruée vers l’or qui durera au moins une année, comme la précédente, quand Facebook avait ouvert sa plateforme afin d’y accueillir des applications tierces.
  • Chacun doit trouver comment ajuster sa stratégie afin de prendre en compte ce qui pourrait bien être la fin du web 2.0 et le début du web 3.0 (au sens du web sémantique), car si le pari de Facebook réussi, c’est bien à un changement systémique majeur auquel nous avons à faire face.
Benoit Dudragne

« Chaque marque est un média » : le transfert de l'expérience de marque, du W... - 0 views

  • ils uti­lisent stra­té­gique­ment Internet et les médias sociaux. Vice par­ti­cipe ainsi plei­ne­ment au lan­ce­ment d’une très forte ten­dance en matière de stra­té­gie « offen­sive » de marque, celle que j’appellerai du « trans­fert Web / IRL » (In Real Life) qui per­met notam­ment le com­plet contour­ne­ment des voies publi­ci­taires traditionnelles.
  • Il faut savoir aller au-delà de ses affi­ni­tés cultu­relles et évoluer «into the Wild ». en résumé : la che­mise a car­reau sait par­ler à la che­mise à carreau.
  • Il est impor­tant aussi de noter qu’au cours de ces deux étapes de trans­fert d’expérience de marque, aucun pro­duit n’est mon­tré ou pro­posé à la vente, seul le logo est pré­sent, sans pour autant étouf­fer l’identité propre du Creators Project.
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  • Ce trans­fert suit astu­cieu­se­ment la logique de consom­ma­tion cultu­relle de cette popu­la­tion qui passe plus de temps sur les médias sociaux (les blogs de Vice, par exemple) que devant la télé­vi­sion et dépense plus argent dans des places de concerts que dans des disques (qui sont téléchargés).
  • Cela aussi répond avec jus­tesse aux attentes d’une jeu­nesse mon­diale qui se méfie immé­dia­te­ment de tout mes­sage publi­ci­taire trop évident, jugé mani­pu­la­teur et inva­sif.
  • mais l’idée est très inté­res­sante car elle confirme que c’est par l’expérience et les conte­nus que les marques peuvent tou­cher des cibles deve­nues réfrac­taires à toute com­mu­ni­ca­tion publi­ci­taire traditionnelle.
  • La marque part bien du Web (en l’occurrence, Facebook) pour aller dans le monde réel (un Camp d’été Coca-Cola) et retour (dans le cas de cette opé­ra­tion, retour à Facebook, mais pas pour Intel).
  • Toutes ces idées montrent bien que l’on va désor­mais du Web vers le monde réel, et non plus l’inverse, comme dans les pre­miers temps de la com­mu­ni­ca­tion digi­tale, où l’on appliquait des modèles média­tiques exis­tants (presse, TV) sur Internet
  • Elles montrent enfin que les conte­nus de marque se doivent d’avoir des valeurs iden­ti­taires por­teuses et une forte dimen­sion com­mu­nau­taire pour per­mettre ce trans­fert du monde digi­tal au un monde réel.  Dans l’univers des marques, c’est comme si le monde réel ten­tait de plus en plus de res­sem­bler au monde du Web, en en absor­bant les codes (le « like » de Facebook comme nou­veau geste, l’univers de Facebook comme espace social de réfé­rence). L’expérience Web et l’expérience événe­men­tielle vont aller de pair pour se ren­for­cer l’une l’autre, ancrant pro­fon­dé­ment dans les audiences les codes et les valeurs de la marque qui pren­dra le risque de se défaire de ses habi­tudes de communication.
  • La stra­té­gie de marque sur Internet se com­plexi­fie à tra­vers les médias sociaux, mais se concentre donc sur des axes plus pré­cis. La place de son édito­ria­li­sa­tion à tra­vers des conte­nus de marque qua­li­ta­tifs et trans­fé­rables au monde réel
Benoit Dudragne

Planifier son voyage en ligne avec les bons outils | E-commerce, Web 2.0 et e-tourisme - 0 views

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    "Planifier un voyage en ligne de A à Z? Tel était mon défi! Maintenant que les études sont terminées, j'ai décidé de réaliser un de mes rêves : voyager au Brésil! Non seulement voyager au Brésil pendant un mois complet (merci à mes 2 boss!), mais également planifier mon voyage de A à Z avec les outils disponibles en ligne! Voici donc le compte-rendu de mon expérience de planification de voyage en ligne! Premièrement, le processus de planification du voyageur en ligne suit un cycle de vie comprenant 5 phases correspondent aux besoins et objectifs que le voyageur cherche à accomplir en ligne. À l'ère où plus de 80% des voyageurs planifient leur voyage en ligne, il est important de se pencher sur les outils à utiliser dans le cadre d'une stratégie web touristique et savoir comment les intégrer. Mon processus vous aidera à mieux comprendre quels outils utiliser dans le cadre d'une stratégie touristique web, mais aussi en quoi ils sont pertinents et comment les utiliser. Le processus suivit en 5 phases est similaire à celui élaboré par LonelyPlanet : chercher de l'information, planifier son voyage, réserver, à destination et le retour. Chercher de l'information La première étape est celle de la recherche d'informations. C'est l'étape cruciale ou l'on doit choisir sa destination, se sentir inspiré, rêver un peu quoi! Ayant déjà ma destination en tête, je n'ai pas eu besoin de consulter de l'information, des photos, vidéos, etc. pour comparer les différents pays qui constitueront ma destination de voyage, m'évitant ainsi d'avoir l'air de ceci : Mon objectif central consistait donc à m'informer sur la destination qu'est le Brésil et les endroits que j'aimerais visiter (le Brésil, c'est grand!), découvrir et explorer à l'aide de photos, vidéos, témoignages, etc. les endroits que je voulais absolument visiter lors de mon voyage. Sans blague, même si mon choix de destination était fai
Benoit Dudragne

35 sites pour trouver des photos libres de droits | Autour du Web - 1 views

  • des sites les plus populaires avec plus de 17 000 images libres. PicFindr : PicFindr recherche dans la « Photosphere » des photographies libres de droits. MorgueFile : recherche et filtrage des images par taille, date, couleur,poids…
  • une ressource très organisée pour les images libres. 8. UnProfound : recherchez et triez des photos par couleurs. 9. PhotoRogue : si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez, faites donc une demande (en anglais) et quelqu’un l’ajoutera à sa galerie.
  • encore une collection énorme d’images libres. FreeDigitalPhotos : interface impressionnantes et contenu de très haute qualité. Public-Domain-Photos : une grande collection de photos et de cliparts.
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  • 1135 sites pour trouver des photos libres de droits Cédric | juin 24th, 2010 | Web 2.0 google_protectAndRun("ads_core.google_render_ad", google_handleError, google_render_ad); XHello there Diigo user! Feel free to bookmark this page for future reference if you like it!Powered by WP Greet Box WordPress PluginIl existe de nombreux sites spécialisés qui offrent des photos libres de droits. La liste ci-dessous n’est pas exhaustive mais en rassemble une bonne partie. Ceux que je vous présente aujourd’hui mettent à disposition des photos sous diverses licences et droits d’auteurs mais la plupart vous permettent de les utiliser a but privé, professionnel ou commercial. Vous pourrez aussi les exploiter sur de nombreux supports comme : des plaquettes
    • Benoit Dudragne
       
      super
Benoit Dudragne

Facebook changera-t-il le paradigme du visiteur unique ? | ReadWriteWeb France - 0 views

  • il est le maitre absolu du web 1.0,
  • web 1.0 : le visi­teur unique. Cette mesure obs­cure – pas toujours cohé­rente d’un outil de mesure à l’autre – indique le nombre d’internautes venus sur un site, au moins une fois, sur une période don­nées (géné­ra­le­ment un mois)
  • Cette mesure peut-elle être cor­ri­gée d’une quel­conque façon par d’autres mesures connexes, comme le temps passé en moyenne sur une page, le rap­port avec le nombre de pages vues,
  • ...4 more annotations...
  • Comment inter­pré­ter le dif­fé­ren­tiel de crois­sance sur les sites d’info – +30% – avec celui de la péné­tra­tion de l’internet sur la même période : 13%. La rai­son pousse à croire que les outils de mesure sont biai­sés, qu’ils ne mesurent, en réa­lité, pas grand chose, en tout cas rien qui ne per­mette de construire, avec une quel­conque séré­nité, un modèle écono­mique. Il en res­tera toujours pour ima­gi­ner de savants cal­culs per­met­tant de démon­trer que deux car­rottes et trois choux fleurs font sept bet­te­raves, mais même ceux-là seront bien obli­gés d’admettre que l’addition, au final, ne pèse par lourd en euros.
  • Principal accusé dans cette bulle du visi­teur unique : Google.
  • En fai­sant pas­ser l’information de la forme jour­nal – une série d’article packa­gés – à une forme liquide – une immen­sité d’articles dis­pa­rates -, le web de l’information a tué le jour­nal aussi sur­ement que la musique numé­rique a tué l’album. L’outil de mesure du visi­teur unique tente de masquer le pro­blème, d’où la bulle, qui, jusqu’à son explo­sion immi­nente, n’a que deux conséquences : la baisse du tarif publi­ci­taire sur le web et la course au visi­teur unique pour ten­ter de com­pen­ser cette der­nière.
  • Le second est celui envi­sagé quasi-unanimement par la presse aujourd’hui : le retour au payant. Sans s’attarder sur ce point, ni même sur son Veau d’Or, l’iPad, il est là aussi peu pro­bable que tous y trouvent leur compte. Deux géné­ra­tions se sont fait à l’idée du gra­tuit, et chan­ger leurs habi­tudes ne sera pas aisé (en France, le conser­va­tisme n’est pas l’apanage des vieux).
Mathieu Vadot

La vidéo en ligne en 2011 : télés connectées, recommandations sociales et gue... - 0 views

  • La web vidéo n’est qu’à ces débuts et 2011 promet d’être une nouvelle année de changements de la vidéo en ligne
  • La scène est prête pour accueillir de plus en plus de télés connectées et de vidéos à visionner directement en streaming sur les sites web.
  • De plus les fabricants de téléviseurs (ex. Samsung et LG), s’adapterons aussi aux SDK des applis TV, aux App Stores et aux standards de Web TV basés sur du HTML5, dans le but de maintenir leur position sur le marché et garder leur place dans le salon du consommateur en empêchant Apple et Google de s’accaparer l’expérience de l’utilisateur et la distribution d’applications.
  • ...2 more annotations...
  • Dans une récente étude publiée par Brighcove et TubeMogul, on a constaté que la source de trafic vidéo qui connaît la plus forte croissance sont les plateformes sociales Facebook et Twitter. Cette croissance s’accélère et le rôle de ces plateformes qui est de découvrir et visionner du contenu devrait atteindre un niveau aussi important que celui fournit par la recherche Google.
  • La généralisation de la vidéo en ligne aux entreprises
Benoit Dudragne

Développer sa PME grâce aux réseaux sociaux : étude de cas - Marketing Profes... - 0 views

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    étude de cas web 2.0 hôtel
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