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Benoit Dudragne

Quelles interfaces pour les terminaux mobiles demain ? | Proxima Mobile : applications ... - 0 views

  • «nous arrivons à un point d'inflexion : le vocal va compter autant que l’interface tactile». Il est enfin à noter que, dans les pays du Sud, les technologies vocales sont aussi mises en œuvre pour surmonter les difficultés d'appropriation liées à l'illettrisme. 
  • Des ergonomes ont aussi entrepris de lister et de codifier les principales interactions tactiles avec un ou deux doigts. Le Touch Gesture Reference Guide  et l’Open Source Gesture Library  recensent et représentent visuellement les gestes de base utilisés dans les commandes tactiles.
  • Interprétation des gestes Les premières utilisations grand public des technologies de reconnaissance des gestes ont été liées aux jeux vidéo. Tout d’abord avec la console Wii de Nintendo en 2006, puis avec le dispositif Kinect sur la Xbox de Microsoft en 2010. Désormais, les interfaces gestuelles pourraient se répandre dans d’autres domaines tels que la télévision ou même l’automobile. L'entreprise chinoise Hisense a ainsi mis au point, avec l'entreprise israélienne EyeSight une télévision fonctionnant sous Android équipée d'une caméra : son utilisateur peut d’un mouvement de la main changer de chaîne, régler le volume ou encore naviguer dans les menus. Les terminaux mobiles pourraient aussi généraliser ces technologies pour éviter à leurs usagers d’avoir à se concentrer sur l’écran du terminal. L
  • ...5 more annotations...
  • La possibilité pour l’utilisateur d’énoncer des questions « à haute voix » est ainsi devenue un enjeu stratégique pour l’ensemble des acteurs de l’Internet. Ainsi, Eric Schmidt le président de Google, reconnaissait que Siri pourrait constituer une menace pour le cœur d’activité de sa société. 
  • Dans un registre proche, le Human Media Lab de la Queen's University, au Canada, travaille à la mise au point du PaperPhone dont l’écran devrait fonctionner comme une feuille de papier interactive. Son écran de 9,5 centimètres de diagonale, fin et souple, utilise un affichage à base d’encre électronique «e-ink», déjà utilisée par Amazon pour le Kindle. Décrit par ses concepteurs comme un «Smartphone flexible», il réagira aux torsions effectuées par l’utilisateur. Par exemple, le fait de corner son coin supérieur droit permettra de passer à la page suivante.
  • En plus du contexte géographique, les prochaines générations de terminaux mobiles pourraient aussi prendre en compte le contexte émotionnel ou même le niveau de stress mesuré par des biocapteurs. 
  • il devient possible d’afficher les informations relatives aux programmes audiovisuels sur le deuxième écran sans interférer avec l’image présentée sur le "premier écran" de la télévision. La société eBay, quant à elle, développe un service qui permet de consulter en temps réel les objets présentés dans un programme audiovisuel ou un film de fiction afin d’en faciliter l’acquisition par l’utilisateur.
  • Ce que de nombreux chercheurs envisagent désormais comme l’aboutissement de ces évolutions c’est la suppression même du terminal mobile au profit de systèmes intégrés dans l’environnement de l’utilisateur voire même affichés directement dans son champ de vision. Les fabricants d’automobiles et d’accessoires optiques travaillent déjà sur des interfaces qui pourraient supprimer la nécessité d’interagir avec un terminal dédié. Ces évolutions pourraient conduire à considérer ces terminaux mobiles « invisibles » comme une extension des capacités cognitives de leurs utilisateurs. Ce que le journal The Economist  décrivait comme la compétition pour créer un «exo-cerveau».
Benoit Dudragne

Enaia, la gazette tourisme & TIC - 0 views

  •  
    article google+ vs facebook
Benoit Dudragne

35 sites pour trouver des photos libres de droits | Autour du Web - 1 views

  • des sites les plus populaires avec plus de 17 000 images libres. PicFindr : PicFindr recherche dans la « Photosphere » des photographies libres de droits. MorgueFile : recherche et filtrage des images par taille, date, couleur,poids…
  • une ressource très organisée pour les images libres. 8. UnProfound : recherchez et triez des photos par couleurs. 9. PhotoRogue : si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez, faites donc une demande (en anglais) et quelqu’un l’ajoutera à sa galerie.
  • encore une collection énorme d’images libres. FreeDigitalPhotos : interface impressionnantes et contenu de très haute qualité. Public-Domain-Photos : une grande collection de photos et de cliparts.
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  • 1135 sites pour trouver des photos libres de droits Cédric | juin 24th, 2010 | Web 2.0 google_protectAndRun("ads_core.google_render_ad", google_handleError, google_render_ad); XHello there Diigo user! Feel free to bookmark this page for future reference if you like it!Powered by WP Greet Box WordPress PluginIl existe de nombreux sites spécialisés qui offrent des photos libres de droits. La liste ci-dessous n’est pas exhaustive mais en rassemble une bonne partie. Ceux que je vous présente aujourd’hui mettent à disposition des photos sous diverses licences et droits d’auteurs mais la plupart vous permettent de les utiliser a but privé, professionnel ou commercial. Vous pourrez aussi les exploiter sur de nombreux supports comme : des plaquettes
    • Benoit Dudragne
       
      super
Benoit Dudragne

Twitter, chiffres 2010 et usages à la loupe | FrenchWeb.fr - 0 views

  • on obtient une estimation actuelle en août 2010 d’environ 225 000 utilisateurs français (e
  • otal : 145 millions selon le chiffre officiel de septembre 2010) versus 500 millions pour Facebook (3,5 fois moins)
  • Etats-Unis (33,3%)
  • ...28 more annotations...
  • vec 0,98%
  • Etats-Unis (62%)
  • Les pays les plus utilisateurs en proportion des usages (nombre de tweets)
  • Les pays les plus utilisateurs en volume de trafic de Twitter)
  • ance (0,90%)
  • 25-29 : 15
  • PROFIL DES UTILISATEURS
  • 15-19 ans : 31 20-24 : 35
  • 40-44 : 3
  • Le cœur de cible se situe entre 20 et 24 ans (35%)
  • Profil type de l’utilisateur français (source Faber Novel et L’atelier ) Femme, moins de 34 ans, CSP+, parisienne
  • Pas d’études universitaires : 49% Etudes universitaires : 38% Ecole universitaires supérieures (master, doctorat) : 13%
  • 73 +k (plus de 6000€/mois) : 30%
  • Modes d’accès à Twitter en France
  • 30% depuis le site 39% depuis un client (PC/Mac) 31% depuis une application smartphone
  • Twitter
  • Site twitter : 78%
  • pour Iphone : 8%
  • Echofon : 3%
  • Occasionnels (moins d’une fois par semaine) ou rares : 50,4 %
  • Périodiques (au moins une fois par semaine) : 49,6%
  • Réguliers (au moins une fois par jour ) : 7 % des utilisateurs (15 000 personnes environ en France)
  • Intensifs (plusieurs fois par jour) : 8,15% des utilisateurs (environ 18 000 personnes en France)
  • 15,5 % publient au moins un message par jour
  • 10% des utilisateurs produisent 90% des messages
  • Les trois-quarts des échanges produits sont le fait de 5% seulement des utilisateurs.
  • 30% récit de vie personnelle 27% conversation privée 10% de liens vers des articles d’actualité ou des blogs 6% de commentaires sur l’actu en “live” (sport, politique, évènements) 4% de spam 4% de publicité 3% de liens vers des images ou des videos 3% de liens vers d’autres contenus web 8% autre
  • La nature des contenus échangés
Benoit Dudragne

11 mises au point à propos du web sémantique | ReadWriteWeb France - 0 views

  • e web sémantique pourrait marquer la fin de la croissance sans limite de Google, tout comme le PC pour IBM et le web pour Microsoft.
  • Google a excellé à rendre relativement structuré les données chaotiques de milliards de pages html non structurées. Le web sémantique rendra cette capacité de moins en moins critique au fur et à mesure que ces pages deviendront elles même de mieux en mieux structurées (tags, microformats, etc).
  • Le tagging est un usage/une technologie totalement disruptive. Tout le monde taggue. Quoi de plus naturel que d’attribuer du sens, de classer et de cataloguer ce que nous découvrons ? Nous le faisons tous depuis notre plus tendre enfance, et le tagging n’est qu’une extension de cette capacité humaine qui est à la base de notre intelligence et de notre créativité. Nous le faisions avec des dossiers dans Windows, nous le faisons désormais avec nos bookmarks dans Delicious. Nous sommes au tout début de quelque chose de très important dans l’Histoire de l’information.
  • ...4 more annotations...
  • Les gagnants seront ceux qui fourniront des outils transformant une tâche pénible et ennuyeuse comme la structuration d’information en quelque chose de ludique et facile.
  • Le web sémantique est le début de la fin des bases de données relationnelles (comme mySQL). Le Web 3.0 permet la transition entre des données structurée « à la base » et des données structurées « à la volée ». Le monde est bien trop complexe pour être structuré à la base, malgré les efforts et le talent des experts en modélisation de base de données, c’est une tâche impossible (et quelque peu absurde d’un point de vue philosophique). Structurer les données à la volée est fait par des utilisateurs sur un mode collaboratif (le geotagging de Flickr, par exemple) ou par des machines qui structurent automatiquement des données brutes (comme OpenCalais).
  • le web sémantique, lui, est l’un des secteurs les plus innovant du web d’aujourd’hui.
  • Les réussites du web 3.0 seront différentes de celles que l’on a connu à l’époque du web 2.0, tout comme les succès du web 2.0 sont différents de ceux du web 1.0. Les succès du web 2.0 reposaient principalement sur une fonctionnalités unique (partage de photo, bookmarks, hébergement vidéo, plateforme de blogs…) et un recrutement particulièrement rapide d’utilisateurs.  Le web sémantique est intrinsèquement basé sur l’intégration de services, ce sera différent, plus lent, mais avec un potentiel bien plus grand.
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    l'avenir du Web se passe ici
Benoit Dudragne

Facebook changera-t-il le paradigme du visiteur unique ? | ReadWriteWeb France - 0 views

  • il est le maitre absolu du web 1.0,
  • web 1.0 : le visi­teur unique. Cette mesure obs­cure – pas toujours cohé­rente d’un outil de mesure à l’autre – indique le nombre d’internautes venus sur un site, au moins une fois, sur une période don­nées (géné­ra­le­ment un mois)
  • Cette mesure peut-elle être cor­ri­gée d’une quel­conque façon par d’autres mesures connexes, comme le temps passé en moyenne sur une page, le rap­port avec le nombre de pages vues,
  • ...4 more annotations...
  • Comment inter­pré­ter le dif­fé­ren­tiel de crois­sance sur les sites d’info – +30% – avec celui de la péné­tra­tion de l’internet sur la même période : 13%. La rai­son pousse à croire que les outils de mesure sont biai­sés, qu’ils ne mesurent, en réa­lité, pas grand chose, en tout cas rien qui ne per­mette de construire, avec une quel­conque séré­nité, un modèle écono­mique. Il en res­tera toujours pour ima­gi­ner de savants cal­culs per­met­tant de démon­trer que deux car­rottes et trois choux fleurs font sept bet­te­raves, mais même ceux-là seront bien obli­gés d’admettre que l’addition, au final, ne pèse par lourd en euros.
  • Principal accusé dans cette bulle du visi­teur unique : Google.
  • En fai­sant pas­ser l’information de la forme jour­nal – une série d’article packa­gés – à une forme liquide – une immen­sité d’articles dis­pa­rates -, le web de l’information a tué le jour­nal aussi sur­ement que la musique numé­rique a tué l’album. L’outil de mesure du visi­teur unique tente de masquer le pro­blème, d’où la bulle, qui, jusqu’à son explo­sion immi­nente, n’a que deux conséquences : la baisse du tarif publi­ci­taire sur le web et la course au visi­teur unique pour ten­ter de com­pen­ser cette der­nière.
  • Le second est celui envi­sagé quasi-unanimement par la presse aujourd’hui : le retour au payant. Sans s’attarder sur ce point, ni même sur son Veau d’Or, l’iPad, il est là aussi peu pro­bable que tous y trouvent leur compte. Deux géné­ra­tions se sont fait à l’idée du gra­tuit, et chan­ger leurs habi­tudes ne sera pas aisé (en France, le conser­va­tisme n’est pas l’apanage des vieux).
Benoit Dudragne

Le nouveau Facebook : un guide complet pour les éditeurs, les annonceurs, les... - 0 views

  • un mouvement destiné à faire du web tout entier un web social et sémantique
  • on intention est bien de réduire à néant la concurrence, et d’utiliser ses centaines de millions d’utilisateurs pour prendre d’assaut le web tout entier
  • Nous avons délibérément laissé de coté la monnaie virtuelle annoncée par Facebook,
  • ...33 more annotations...
  • mais à la base, leur but est d’amener les utilisateurs à recommander un contenu, ce qui en publira le lien dans leurs flux Facebook, le stockant au passage de façon permanente sur leurs profil. Ce lien sera également partagé et apparaitra dans le flux de leurs amis, créant ainsi du trafic vers vos contenus.
  • Ils rendent facile et agréable l’identification sur un site tiers avec son compte Facebook, et montrent les avatars de vos amis qui sont déjà membres du service.
  • ces widgets ajoutent la possibilité de placer un bouton de recommandation Facebook (“Like”) sur n’importe quel contenu –
  • es flux d’activité listent les commentaires récents faits sur Facebook à propos de vos contenus et les recommandations,
  • Facebook a lancé un langage de marquage sémantique simple, basé sur le RDF, qui rendent ces plugins intelligents et conscients du contexte non plus simplement social dans lequel ils s’affichent
  • Pour aller vite, le marquage des contenus donne la possibilité aux éditeurs de spécifier quels objets sont présents dans ses pages : un film, un livre, un chanteur, un événement, une équipe de foot, etc. Cela permet de mettre en œuvre de la sémantique, c’est à dire une compréhension par cette technologie que le visiteur ne fait pas qu’interagir avec une page web, mais qu’il est en train de regarder, de commenter ou de recommander une chose en particulier. Le langage sémantique classe les objets en catégories comme les livres, les films, la musique, etc., et ouvre la voie à une multitude d’applications, en particulier des systèmes de recommandations personnalisés.
  • ce langage de marquage sémantique aide Facebook à relier les internautes ayant un intérêt commun à travers différents sites web
  • ce genre de données concernant vos amis est jusqu’ici dispersée à travers de multiples sites. Auparavant, Facebook faisait apparaitre ces informations dans les flux de chacun sans en extraire quoi que ce soit d’utile, désormais, les goûts de vos amis en matière de sport, de musique, de littérature ou de cinéma seront stockés de façon permanente sur leurs profils, et disponibles pour être mis en contexte à travers le web tout entier.
  • Cette nouvelle API transforme Facebook en annuaire, accessible en lecture et en écriture, référençant les goûts de tous les membres de Facebook. A chaque fois que vous recommandez ou ‘Likez’ un contenu, vous enrichissez votre profil et augmentez la capacité de Facebook et des sites utilisant cette technologie de vous fournir une expérience personnalisée.
  • Facebook demande clairement (ou presque) à ses utilisateurs de renoncer à la confidentialité d’une partie de leurs données personnelles en échange de personnalisation. Il faut être clair : aucune personnalisation n’est possible sans que les utilisateurs ne donnent des informations au système sur leurs goûts. Ce que Facebook demande est nécessaire à la création d’une expérience web personnalisée.
  • comme le pointe Fred Wilson, les liens passés entre amis vont en parti remplacer en partie la recherche.
  • ’essentiel des conséquences de ces innovations du point de vue de l’utilisateur est ailleurs, et se résume à un mot : la vie privée.
  • Il convient cependant de prendre des distances avec tout cela : les analyses publiées ici sont très loin de la compréhension qu’à l’utilisateur moyen de Facebook, et la communauté des lecteurs de RWW est très largement plus avertie que celle qui surfe sur Facebook.
  • a plateforme offerte par Facebook est également riche en innovations, notamment car elle promet de faire passer la sémantique au mainstream. Les services web, demain, pourraient, grâce à elle, voir surgir des innovations phénoménales.
  • mais il est évident que Facebook utilisera les informations qu’il collectera sur ses membres pour cibler ses publicités. Il est même fort probable que Facebook devienne dans les prochaines années l’une des plus puissantes régies pub au monde
  • quelque chose qui pourrait rendre obsolètes les innovations de Google en matière de publicité.
  • Les annonceurs, qui jusqu’ici avaient tendance à prendre à la légère le système de publicité proposé par Facebook, devront rapidement réviser leur copie. D’ici peu, Facebook leur fournira la possibilité de cibler une population en fonction d’une quantité impressionnante de facteurs : goûts, centres d’intérêts, marques favorites, réseau social, sujets abordés sur la page où est placé la publicité, et géolocalisation.
  • Pour les secteurs offrant une vaste gamme de choix, comme la mode ou le tourisme, c’est l’ensemble des sites eCommerce et des « landing pages » qui pourraient être intégralement personnalisés en fonction de chaque visiteur (faisant, là encore, un renversement d’équilibre entre « recherche » et « recommandation »).
  • Si la vision de Facebook se réalise, ce dernier pourrait devenir la plus grosse régie publicitaire de l’internet
  • Mais à y regarder de près, c’est loin d’être aussi évident. Pour comprendre cela, il faut distinguer deux types de sites : ceux qui sont déjà des réseaux sociaux ou qui ont un réseau social intégré, et ceux qui n’ont qu’un simple système de commentaires.
  • N’importe quel site qui a déjà un réseau social intégré doit décider s’il doit abandonner cela avant de sauter dans l’aventure, et le problème critique réside dans la propriété des commentaires et des notations. Les éditeurs sont-ils prêt à abandonner cela ? Personne ne pense sérieusement qu’un utilisateur va noter quelque chose sur Facebook puis le faire à nouveau sur le site d’un éditeur.
  • Peut être sous la forme d’une API ouverte qui permettrait aux éditeurs de manipuler les données.
  • C’est difficile à estimer, mais en terme de trafic, c’est un surplus non négligeable que peut apporter ainsi Facebook, surtout si ces fonctionnalités sont couplées à une vrai stratégie de community management sur Facebook. Largement de quoi payer au prix fort une armée de community managers pour les gros sites de contenus, ainsi que les meilleurs experts de la place, afin de tirer parti de cette mine d’or ouverte par Facebook.
  • Un accord concernant Bing, son moteur de recherche, est probablement dans les cartons, et alimenter Bing avec toutes les données issues de Facebook aurait beaucoup de sens : cela permettrait une amélioration sensible des résultats de recherches proposés par le moteur de Microsoft.
  • pparemment, Facebook ne se contente plus de connecter les gens entre eux, il ambitionne désormais connecter les gens et les choses, non seulement sur son site, mais partout sur le web, et pas simplement les gens, mais vos amis.
  • La troisième option est de jouer le jeu et de construire quelque chose dans l’écosystème proposé par Facebook. D’innover au sein de cet écosystème. C’est à priori, d’un point de vue stratégique, la meilleure option. L’innovation a toujours triomphé de l’immobilisme sur le web.
  • e point noir reste que Facebook semble être le seul dépositaire de toutes les données dans cette équation, ce qui rend l’ensemble particulièrement fermé. Les éditeurs et les utilisateurs n’ont pas le choix en ce qui concerne l’endroit où stocker les données
  • Facebook sera
  • e répertoire des goûts et des couleurs du monde entier.
  • Pour décrire un objet sur une page, l’éditeur doit lui donner un titre, une typologie, une image, une url et le nom du site en utilisant de simples metatags.
  • C’est une opportunité incroyable pour faire du web sémantique une réalité
  • Il y aura sans aucun doute une véritable ruée vers l’or qui durera au moins une année, comme la précédente, quand Facebook avait ouvert sa plateforme afin d’y accueillir des applications tierces.
  • Chacun doit trouver comment ajuster sa stratégie afin de prendre en compte ce qui pourrait bien être la fin du web 2.0 et le début du web 3.0 (au sens du web sémantique), car si le pari de Facebook réussi, c’est bien à un changement systémique majeur auquel nous avons à faire face.
Benoit Dudragne

etourisme - Revue des TIC, L'hôtel de demain dans le monde de demain ? - 0 views

  • De nombreux clients sont demandeurs d’un « comme-chez-soi » transposé ailleurs, avec tout le confort technologique dont ils disposent dans leur propre salon – écran plat HD, Wi-Fi gratuite, console de jeux de type Wii, etc.
  • demandent
  • de profiter de ces nouvelles technologies au-delà de leurs chambres, un peu partout dans l’établissemen
  • ...15 more annotations...
  • il va pouvoir imprimer lui-même sa carte d’embarquement ou scanner le code-barres téléchargé sur son téléphone portable. À son arrivée à l’hôtel, ce client serait légitimement surpris de ne pas y trouver le même type d’options
  • Dans une famille, c’est souvent à celui qui manie le mieux les sites comparatifs, les moteurs de recherche et les formulaires de réservation en ligne qu’incombe la responsabilité de trouver un hôtel convenable. Forts de ce constat, les hôteliers doivent impérativement intégrer la technologie à tous les stades de leur contact avec le client, pour donner naissance à « l’hôtel de demain ».
  • va vouloir que son séjour soit parfaitement orchestré, sans attente au moment de l’enregistrement ni erreur dans l’attribution des chambres, et avec un service impeccable.
  • On peut citer par exemple la possibilité d’envoyer la « clef » de leur chambre aux personnes ayant effectué une réservation –il s’agit en l’occurrence d’un signal sonore individuel, enregistrable sur un téléphone portable et permettant d’ouvrir la porte de la chambre.
  • le Wall Street Journal recommande aux voyageurs d’aller sur le compte Twitter ou la page Facebook de leur hôtel avant leur arrivée, et d’y laisser un message annonçant leur arrivée prochaine. « L’hôtelier futé vous mettra sur son radar et vous distribuera de petits avantages », explique l’auteur de cet article. Ce premier contact, avant l’arrivée, n’est pas seulement l’occasion de souhaiter la bienvenue, éventuellement en les récompensant, à tous les clients sans distinction – c’est aussi une manière de recueillir des données
  • démographiques, qui serviront à alimenter les systèmes de gestion de la relation client et à adapter les prestations au profil de chacun.
  • Certains hôteliers ont d’ores et déjà des employés chargés de surfer sur Twitter pour repérer les éventuels messages concernant leurs services. L’hôtel Sheridan d’Austin, au Texas, a ainsi appris par le canal de Twitter que l’un de ses fidèles clients regrettait amèrement la disparition de son plat préféré du menu du restaurant de l’établissement. La direction a décidé de remettre ce plat sur la carte lors du séjour suivant de ce client, qui était bien entendu ravi.
  • Anticiper pour personnaliser
  • Plus un hôtelier connaît son client, mieux il est à même de lui proposer les prestations adaptées à ses goûts et à son style de vie. Cela peut être aussi simple que d’offrir une sélection d’oreillers, à choisir à l’avance par le client
  • Certains hôtels vont jusqu’à faire de ces prestations un argument de vente majeur, en permettant à leur client de choisir tel ou tel film, y compris parmi les sorties les plus récentes, au moment de la réservation. Le client peut ainsi regarder un film dans sa chambre, avant qu’il ne soit disponible en DVD.
  • La façon dont nous présentons les services de luxe a elle aussi changé. Si la qualité est toujours au rendez-vous, les produits et services de luxe sont conditionnés sous des formes réduites, abordables et accessibles à tous. En connaissant les hobbies et les habitudes d’achat de ses clients, un hôtel peut proposer des échantillons de prestations de prestige, sous forme de courts traitements de balnéothérapie, de menus dégustation ou de nuitée dans une chambre plus vaste que celle qui a été réservée. C’est une manière de renforcer les ventes des services additionnels proposés par l’établissement.
  • Toujours sur le thème de la micro-personnalisation, certains hôtels (notamment au voisinage des aéroports) envisagent actuellement de pratiquer des tarifs horaires, plutôt qu’à la nuitée, à l’intention des voyageurs en escale courte
  • . Il sera alors d’autant plus enclin à revenir pour un séjour plus long.
  • Les implications de cette évolution en termes de technologie devraient se traduire par une infrastructure informatique hôtelière intégrant tous les systèmes à un niveau beaucoup plus granulaire – certains services automatisés, comme les tweets ou les messages Facebook envoyés aux clients permettant de leur signaler de nouvelles offres, de les tenir au courant de la météo locale ou en encore de les avertir d’éventuelles annulations de vols avant leur départ. L’hôtel de demain sera capable d’identifier – et, ce qui est plus important, de comprendre – les habitudes de réservation, les tarifs et les goûts des clients, et de les synthétiser pour donner naissance à des plans commerciaux, offrir de meilleurs services et mieux vendre les établissements.
  • Comme à chaque fois qu’il est question de progrès technologique, l’hôtel de demain est avant tout le produit d’une bonne intuition et d’une bonne intégration. Nous ne cherchons pas à remplacer le personnel d’accueil par des machines ou des robots sortis des films d’anticipation. La plupart des clients seront ravis s’ils peuvent bénéficier de services correspondant à leurs besoins, selon les modalités de leur choix, que ce soit en contact direct avec des hommes et des femmes, par une application de leur iPhone ou par un message envoyé sur Facebook. Et il n’y a aucune raison pour que la satisfaction du client reste une notion relevant de la science- fiction ou du fantasme.
Benoit Dudragne

Les français et les médias sociaux en octobre 2010 - Marketing et Technologie... - 1 views

  • Des internautes français
  • 59% des sondés se connectent plus de douze heures par semaine, contre 43% en février
  • 23% des sondés se connectent grâce à leur smartphone, + 4% depuis février
  • ...14 more annotations...
  • 49% des sondés se connectent plusieurs fois par jour, contre 43% en février
  • 70% des internautes gèrent leur réseau, + 6% depuis février
  • 40% d'utilisateurs réguliers pour les réseaux sociaux
  • 62% des internautes utilisent les médias sociaux pour communiquer avec leurs contacts, contre 59% en février
  • 65% les utilisent pour rester en contact avec leurs proches, + 6% depuis février
  • 47% les utilisent pour nouer de nouveaux contacts, contre 42% en février
  • 73% des internautes français fréquentent Facebook, + 16% depuis février
  • 56% prennent la parole, contre 50% en février : pour se plaindre (2%), pour recommander (12%), se plaindre ou recommander (39%)
  • 5% des internautes génèrent du contenu et 25% réagissent ou relaient
  • Les moteurs de recherche toujours 1ère source d'information pour 51% des internautes, contre 60% en février
  • 1 français sur 2 utilise un moteur comme page d'accueil
  • Les réseaux sociaux sont la 2ème source d'information pour 13% des internautes à égalité avec la presse en ligne
  • 91% des internautes préparent leur achat sur Internet 18% commandent et payent leur achat en ligne 80% ont acheté sur Internet ces 6 derniers mois Préparer un achat sur Internet conduit 2 internautes à changer de marque, produit ou de canal de distribution
  • 85% des internautes font attention aux traces qu'ils laissent sur Internet, contre 78% en février 73% pensent maîtriser leur réputation, + 2% depuis févier 71% surveillent leur réputation sur Google dont 25% régulièrement  
Mathieu Vadot

Réflexions sur le Edgerank Facebook : uniquement 10% de vos amis voient vos m... - 0 views

  • seul 10% des amis ou des « likers » verraient passer les messages et seulement 1% cliqueraient sur « like ». Ce n’est bien sur qu’une moyenne et certains profils ou pages la dépassent largement. Derrière ces chiffres se cache l’algorithme de Facebook dont on parle de plus en plus : le EdgeRank…
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