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Contents contributed and discussions participated by Christophe Deschamps

Christophe Deschamps

Les managers de proximité sont des acteurs clés de l'acceptation du 2.0 - 3 views

  • Comme pour toute transformation d’entreprise, ils sont les principaux relais de la direction. Ils sont donc le passage obligé de tout changement et ont un rôle crucial dans l’échec ou la réussite d’un projet de transformation.
  • Cela ne signifie pas forcément qu’il y a une évolution des compétences dont ils vont avoir besoin, mais leur posture va changer. Ils devront endosser un rôle d’animateur, permettre à l’équipe de collaborer et de s’organiser. Leur rôle est moins hiérarchique, c’est plus une question de leadership et de management transverse.
  • A l’inverse ils seront les premiers à faire frein si on ne leur donne pas de possibilités d’évoluer. Ce sont à la fois les plus impactés et ceux qui vont conduire le changement. Les middle managers sont des acteurs clés.
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  • Si on leur demande de travailler au delà de leur département sans que les règles d’évaluation n’aient été changées, il peut y avoir une certaine réticence de la part de leur manager. Donc il faut changer les règles de jeu au niveau du haut de la pyramide. Il ne faut plus noter seulement sur la performance individuelle mais sur le collaboratif.
  • Souvent ce sont des gens de la génération X, contrairement aux idées reçues qui veulent que la génération Y soit forcément championne du collaboratif. Ce sont eux qui vont rendre l’adoption plus facile dans le reste de l’entreprise. Il y a aussi un effet viral.
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    Anthony Poncier revient dans cette interview sur le rôle essentiel du middle-management dans le succès d'un projet 2.0
Christophe Deschamps

Management.fr Vs 21ième siècle : le coût de la hiérarchie et du contrôle - 2 views

  • Right now, your company has 21st-century Internet-enabled business processes, mid-20th-century management processes, all built atop 19th-century management principles. (Gary Hamel – The Future Of Management)
  • Cette étude visait à démontrer que la culture d’entreprise ne pouvait pas être la même dans toutes les filiales car elle ne faisait nullement disparaître la culture nationale ; dans le meilleur des cas, elle se juxtaposait à elle.
  • Dans le cadre de cette étude, Hofstede mesure les distances hiérarchiques des différentes filiales. Pour un indice médian de 57, il mesure des distances hiérarchiques faibles dans les pays scandinaves (moins de 31) et anglo-saxons (moins de 40) et élevé en France (68).
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  • Dans cette même étude, Hofstede mesure le contrôle d’incertitude.Le contrôle faible suppose davantage d’acceptation des situations comme ambiguës, réversibles dans leurs malheurs et leurs bonheurs. Les personnes sont acceptées comme pouvant changer d’humeur et de décision. Le contrôle fort veut s’appuyer sur des bases assurées qui peuvent aller de précautions concrètes à des précautions juridiques voire religieuses. Le contrôle fort est très en rapport avec le développement de la culture scientifique et techniqueEncore une fois, la France se classe en haut du tableau avec un contrôle fort de l’incertitude (un score de 86) tandis que les pays anglo-saxons ou nordiques affichent des résultats faibles attestant d’un contrôle faible de l’incertitude.
  • la primauté de la hiérarchie va à l’encontre des valeurs ayant emergé de la culture collaborative internet
  • Depuis au moins dix ans, la France est en retard sur les principaux pays de l’OCDE en matière de développement du télétravail (notamment dans l’administration), quelles que soient les sources ou les approches statistiques. Dans les pays scandinaves et anglo-saxons notamment, il concerne deux à trois fois plus de salariés.
  • ce détail a un coût. Cisco a ainsi publié un rapport intitulé the The Economics of Collaboration, et dans lequel l’entreprise explique comment en mettant en oeuvre des outils collaboratifs et en facilitant la mobilité des employés avec entre autres une démocratisation du télétravail, celle-ci a obtenu des résultats étonnants : Cisco IBSG analysis shows that Cisco realized net benefits of $691 million/year through its Web 2.0 and visual collaboration investments in FY08. (…) These benefits represent a 4.9 percent productivity increase for Cisco. We believe this is just the beginning of the value creation we will see around the new collaborative web.
  • These solutions achieve their remarkable benefits by removing the costs and inefficiencies with which our employees have been struggling. Eliminating these inefficiencies not only brings financial benefits to the company; it also increases employees’ work/life balance, reduces stress and fatigue from extensive travel, and increases job satisfaction.
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    Analyse d'études sur le contrôle et la hiérarchie dans les entreprises. Le modèle français est-il encore adapté?
Christophe Deschamps

How IBM Uses Social Media to Spur Employee Innovation - 2 views

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    Les pratiques d'IBM pour exploiter la créativité de ses employés.
Christophe Deschamps

Réseaux sociaux : le troisième palier d'immersion - 3 views

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    Par @ceciiil Le succès des réseaux sociaux vu du côté dév.
Christophe Deschamps

Pourquoi l'entreprise 2.0 ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi il faut y aller ? ... - 5 views

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    Je me propose aujourd'hui de partager avec vous les schémas de travail qui ont accompagné l'écriture de ce livre et m'ont aidé à réfléchir autant qu'ils ont été le fruit de mes réflexions.
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0, collaboration et contraintes individuelles - 7 views

  • Le groupe ne délivre en effet que la somme de la tâches effectuées par ses membres. D’où l’importance de la coordination. On peut même se dire que par une étrangle ironie du sort, le travail des travailleurs du savoir donne une part encore plus belle à la tâche individuelle de l’individu au sein du groupe : si on peut effectuer une tâche physique ensemble on ne peut penser ensemble. On pense individuellement et le travail de groupe demande de multiplier les intéractions entre tous pour rester coordonné et cohérent.
  • Ce qui se traduit à nouveau par un travail individuel même si ponctué de nombreux échanges qui donnent une impression de collectif. Mais il n’en est pas moins que chacun se retrouve avec une tâche personnelle.
  • Mais l’apport du “2.0″ peut être important dans la multiplication des signaux “informels” donnant aux autres de la visibilité sur son travail et leur permettant de s’adapter en évitant une coordination lourde, peu réactive et chronophage.
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  • C’est là qu’une logique “2.0″ commence à porter ses fruits : on s’en remet au réseau, et à d’éventuelles communautés où des discussions sur le sujet auraient lieu. Si le sujet a déjà été traité tant mieux, sinon on trouve des personnes pertinentes à qui le soumettre, soit dans une communauté soit en identifiant un individu à contacter (très souvent on trouve ces personnes car leur activité “sociale” enrichit leur profil…et une recherche suffit.
  • l’individu part de lui, passe ensuite au groupe et ensuite aux réseaux/communautés. Il passe d’un travail solitaire à un travail coordonné dans une équipe définie avant de passer à quelque chose d’informel, avec une logique destructurée, dans un périmètre humain relativement flou.
  • les collaborateurs (et quelle que soit leur génération) tiennent à garder une frontière claire entre leurs vies privées et professionnelles et surtout dans les pratiques liées à chaque. On “socialise” entre amis mais pas dans l’entreprise. Ou avec d’infinies précautions et dans un périmètre connu. Ce qui nous ramène au “moi, mon groupe, mon réseau” énoncé plus haut.
  • il faut que des communautés actives et pertinentes existent pour pouvoir mener la logique à son terme, pour permettre au collaborateur de passer en mode “réseau” lorsque le groupe montre ses limites.  Là on entre dans une logique plus “sociale”. Ces communautés seront composées de personnes qui décideront volontairement de partager expériences et réflexions sur un sujet donné, de faire un pas au delà du travail qui leur est demandé, de donner une sorte de supplément d’âme à leur investissement professionnel.
  • on est dans le “pur 2.0″ : des conversations, des communautés qui se forment et vivent librement, de la collaboration “douce”, informelle, non structurée, de l’imprévisible et une importante composante humaine car ici on parle de l’envie d’avancer avec les autres, de partager, d’apprendre, de se lier à des personnes que l’on aurait peut être jamais rencontré autrement. En général c’est surtout cette dimension qui vient à l’esprit lorqu’on parle d’entreprise 2.0
  • On améliore l’efficacité au sein du groupe en se donnant la possibilité d’en sortir si besoin. On est, quoi qu’il en soit, dans une problématique d’organisation : on amplifie le potentiel des pratiques existantes, on en met en place éventuellement de nouvelles mais de manière très “orientée tâche”. On construit du “social” autour d’un business process, d’un workflow dont on essaie d’augmenter la bande passante. On “étend” le périmètre de l’existant.
  • ceux qui n’ont d’autres objectifs que de faire leur travail, se limitent à intéragir dans le périmètre de leur équipe et vont occasionnellement plus loin s’il n’y a pas moyen de faire autrement.
  • ceux qui, en plus, ont envie de s’investir pour échanger, benchmarquer, apprendre, proposer…sur des sujets professionnels,
  • Cela est tout sauf anecdotique lorsqu’on conçoit un projet 2.0 au niveau macro : il faut des scénarios d’usages pour chacun et surtout ne pas s’imaginer qu’on pourra emmener tout le monde dans le communautaire et l’informel, ce que d’aucuns appelleront le chaotique.Il faut penser non pas à ce qu’on aimerait que les gens fassent dans un monde idéal voire fantasmé mais s’adapter à leur logique de collaboration.
  • On dit que l’entreprise 2.0 c’est beaucoup de choses : connecter, engager, partager… Je pense qu’on oublie trop souvent une dimension qui est pourtant l’essence même de l’entreprise: réaliser des choses. C’est pour cela que le collaborateur n’a que faire d’être 1.0 ou 2.0, il veut juste une logique claire qui lui permette de faire son travail plus efficacement.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas la fin du groupware, n’est pas le “tout réseau”, “tout communautaire”. C’est le fait de mettre en face de chaque situation les bons outils et les bons usages en fonction de l’objectif à atteindre et de la capacité d’engagement de chacun.
  • Quoi qu’il en soit il n’y a pas un contexte de travail et de collaboration unique mais une infinité de contextes dans lesquels on peut et doit développer des logiques d’intéractions spécifiques qui permettront aux collaborateurs de passer d’un extrême à l’autre en faisant des petits pas intermédiaires en fonction de son contexte propre.
  • Le collaborateur n’est pas si opposé au changement que cela, il veut juste des petits pas plutôt qu’un grand saut et que le processus respecte sa logique propre, fasse sens par rapport à ses besoins et ne violente pas sa volonté de s’engager ou non.
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    Très intéressant billet de @bduperrin sur les besoins des travailleurs du savoir
Christophe Deschamps

Yammering away at the office - 6 views

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    Bon article généraliste de The Economist sur les avantages des réseaux sociaux en entreprise
Christophe Deschamps

Management 2.0 : Manage Collaboration inside Enterprise - 8 views

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    Présentation d'@aponcier sur l'entreprise 2.0.
Christophe Deschamps

New Info Series Clarifies Social Knowledge Management and Enterprise 2.0 Strategies - 2 views

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    Plusieurs articles autour du KM et de l'entreprise 2.0
Christophe Deschamps

Management 2.0 : comment le web 2.0 influence notre manière de travailler en ... - 8 views

  • Il y a une véritable conduite du changement à mener et tout ne peut pas changer en un jour. Il s’agit de trouver vos champions qui vont apporter leur énergie au projet et vous aider à faire changer les choses.
  • Même s’il ne faut pas sous-estimer le potentiel d’une expérience lancé dans un service ou une direction et qui finit par faire tâche d’huile dans l’ensemble de l’entreprise. Mais dans ce cas encore, cet élargissement n’a été possible que par l’intermédiaire d’un sponsor haut placé qui a été convaincu par le projet. De fait, plutôt qu’opposer top-down et bottom-up autant trouver comment ces initiatives vont se compléter afin de donner de meilleurs résultats et produire des « guidelines » concrètes.
  • l faut un accompagnement et ce ne sont pas les outils qui sont déterminants, mais les modes de management qui y sont liés. Il faut laisser le temps aux collaborateurs de comprendre ce qu’on attend d’eux et qu’ils identifient les gains potentiels pour eux. Le deuxième point est la frilosité et le refus de prendre un petit risque pour introduire ces nouveaux modes de fonctionnement.
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  • Des exemples comme ceux de Lockheed Martin, une société mondiale dans le secteur de l’aérospatiale et de la défense, montrent que malgré tout on peut basculer vers l’entreprise 2.0 (pourtant la question de la sécurité et du secret est au coeur de son business model). Ils ont eu la garantie qu’en cas de problème il pourrait identifier d’où cela proviendrait (pour le moment cela n’a jamais été le cas).
  • Il conclue enfin sur la question récurrente du ROI. Il ne s’agit pas de mesurer de nouveaux process avec d’anciennes recettes. Il s’agit plutôt d’identifier ses besoins et enjeux et voir si ces technologies peuvent y répondre.
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    Retour sur une interview d'Andrew McAfee
Christophe Deschamps

Une nouvelle cartographie du marché de l'e-réputation - 4 views

  • Après avoir publié, le 24 août dernier, une carte du marché de la e-Réputation, le site Demain la Veille vient de proposer une seconde version intitulée "Marché de la e-réputation (V2)".
  • Enfin, la catégorie "Pure players" cite notamment la société Les Infostratèges, Les Yeux du Net ou encore Human to Human. Selon Ref Jdey , "Des pure-players, il y en a, surtout de très petites tailles, ne dépassant généralement pas une dizaine de collaborateurs, ce qui constitue pour eux un avantage concurrentiel : réactivité, proximité client, adaptation...".
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  • Pour des raisons économiques, le business model d’un éditeur est plus facile à calibrer, contrairement aux business models d’un pure player en prestation de services ou en conseil.
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    Nouvel article sur le marché de l'e-réputation.
Christophe Deschamps

Droit à l'oubli sur le net, trou de mémoire à l'Assemblée nationale - PC INpact - 1 views

  • En fait, comme on peut le voir, ce projet de loi sur la simplification du droit va surtout rendre complexe la question du droit à l'oubli.
  • Face à toutes ces infractions, le texte dit spécifiquement : « En cas de condamnation, (…) le tribunal peut, ordonner l’affichage ou la diffusion de la décision prononcée dans les conditions prévues par l’article 131-35 du Code pénal. » 
Christophe Deschamps

Management 2.0 : Leadership et collaboratif - 5 views

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    Etre un manager, ne veut pas dire être un leader ou faire preuve de leadership. Et pourtant dans le cadre d'une organisation collaborative, les managers vont surtout devoir faire preuve de leadership. C'est à dire passer de compétences manageriales à une posture de leadership.
Christophe Deschamps

Les études de cas nous disent "c'est possible" et rien de plus ! | Bloc-Notes... - 5 views

  • au fur et à mesure que les premiers cas solides arrivent à propos des projets étiquetés “social media”, on a l’impression qu’un doute subsiste, ou que les cas ne semblent pas assez nombreux ou assez proches de leurs lecteurs pour les convaincre. Combien de fois entend on “ils n’ont pas notre culture, notre passé, nous ne sommes pas sur le même marché, nos produits sont différents, nos clients sont différents”.
  • D’ailleurs, tout le monde y croyait d’autant plus que toutes les entreprises étant sur un même secteur ou ayant les mêmes besoins déployaient peu ou prou les mêmes logiciels, accompagnées par les mêmes consultants qui en utilisant les mêmes méthodes en arrivaient aux mêmes implémentations.
  • i toutes les entreprises implémentaient les mêmes choses de la même manière, faisaient les mêmes choix, c’est également parce qu’on leur demandait d’être comparables. Les investisseurs avaient bien compris qu’ils ne pouvaient comparer des pommes et des poires alors ils exerçaient, même de manière inconsciente, une pression amenant à l’uniformisation des pratiques et des technologies. Qui aurait pris le risque de se retrouver montré du doigt en raison de choix manageriaux, technologies ou organisationnels non conformistes qui auraient fait qu’on aurait pas pu comparer ses résultats avec les autres, point par point, en utilisant les mêmes indicateurs dans le même contexte.
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  • Le cas “entreprise 2.0″ se distingue par deux aspects. Le premier c’est que le logiciel en question ne fait rien par lui-même, que tout dépend des variables humaines, managériales, etc… qui étaient la variable cachée des cas des années 2000.
  • es réponses apportées par une entreprise A à ces questions sont peut être aux antipodes de celles qui conviennent à une entreprise B.
  • Souvenons nous d’un des principes de base, un des fondements du social media en entreprise. “Rendre les entreprises moins semblables”. Il est donc normal de ne pas trouver de réponse standardisée et standardisable à la manière de réussir.
  • l’apport de l’outil dépend de facteurs qui sont quasi uniques à chaque entreprise. Savoir, culture, capital humain, potentiel innovant…c’est ce qui différencie deux entreprises même lorsqu’elles ont l’air a priori identiques. Ce qui laisse à penser qu’une bonne implémentation de solutions de social software sera beaucoup plus différenciante que d’autres projets informatiques ont pu l’être par le passé. Mais s’agit il encore de projets informatiques ?
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    Billet essentiel de Bertrand Duperrin pour comprendre la logique qui doit animer les projets 2.0 et qui est radicalement différente des projets de type ERP.
Christophe Deschamps

Magic Quadrant for Social Software in the Workplace - 3 views

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    La version d'octobre 2009 est disponible
Christophe Deschamps

My Reviews of the Collaboration Platforms on the Recent Forrester Wave™ - 6 views

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    10 plateformes collaboratives pour l'entreprise 2.0, par Bill Ives
Christophe Deschamps

Darwin offre un engin de veille à l'entreprise 2.0 - Darwin Discovery Engine ... - 0 views

  • “Une approche plus fidèle au Web 2.0 serait en mesure de livrer ces faits dans leur contexte, avec en prime des accroches qui attirent l’attention et permettant à l’utilisateur de creuser certains aspects de son choix”.
  • L’introduction des outils de Web 2.0 dans l’entreprise augmentent le risque de perte par l’isolation des informations dans les différents silos de stockage, surtout si ces nouveaux outils ne sont pas connectés entre eux et avec le reste. Darwin offre la possibilité de percevoir l'émergence des relations entre les différents contenus à travers l'ensemble des outils utilisés.
  • Grâce à son Scan Cloud™ Darwin rend la valeur du contenu de l’Entreprise 2.0 visible et mesurable (Veille et Evaluation). Non seulement vous pouvez voir les relations entre les éléments reliés entre eux dans un nuage de mots, mais aussi ces liens se rafraîchissent à mesure que vous vous déplacez dans le nuage. Cette propriété dynamique permet aux utilisateurs de voir les corrélations qui existent à travers les contenus de l'entreprise 2.0 (Découverte et Partage)
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  • Darwin cherche à faire émerger les thèmes corrélés entre eux issus d’un environnement chaotique en se basant sur la mesure de corrélation vue dans la théorie du chaos. Ainsi, Darwin s'éloigne clairement des systèmes de classification par vote ou popularité actuellement utilisés par nombreux moteurs de recherche et aggregateurs de contenu pour ordonner leur résultats.
  • Darwin n’est pas un engin de remplacement des technologies entreprise 2.0, tableaux de bord, et autre outils de management des documents. Il est conçu pour compléter et renforcer ces technologies en rendant plus visible le savoir tacite enfermé dans leurs systèmes.
  • C’est une application internet (Scan Cloud™) ou cela peut aussi devenir une solution customisée grâce à l'accès API offert. Cela fonctionne sur un serveur Web avec des services et base de données qui corrèlent les différentes sources Web 2.0.
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