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Christophe Gauthier

Sens du client - Le blog des professionnels du marketing client: Les 10 tendances du Se... - 3 views

  • Les 10 tendances du Sens du client 2010
  • LE CLIENT SERA PLUSIEURS Le client est devenu mutliple. Présent à plusieurs endroits sous une forme différente, c’est un individu fragmenté auquel les marketers doivent désormais faire face. Multiples identités (on compte en France 2,4 adresses mails par personne et 65% ont 2 adresses ou plus), contextes variables : le client est plusieurs et il devient parfois invisible. Pour les entreprises qui gèrent des données concernant leurs clients (une catégorie en très forte augmentation), l’organisation de ces données, la déduplication et la segmentation sont devenues des exercices complexes.
  • Au moment ou le marketing de masse laisse place au marketing comportemental ou ciblé, le marketing des données devient un marketing de masse. La preuve : le one-to-one est moins à la mode que la gestion des communautés qui est une espèce de one to many. On parle désormais de social CRM comme pour habiller délicatement l’ignorance dans laquelle se trouvent beaucoup d’entreprises. Les systèmes d’information qui ont couté des millions aux entreprises se révèlent insuffisants pour appréhender la réalité du client. Comment donner du sens à ces masses de données ? Comment appréhender les nouveaux segments de clients ?
  • ...26 more annotations...
  • les nouveaux segments sont devenus un fait acquis, alors demandez-vous : comment concevrais-je mon organisation si je savais que dans les cinq prochaines années, 5 ou 6 segments émergeront pour occuper plus de la moitié de mon chiffre d'affaire ?
  • la convergence des canaux de relation et la cohérence des sollicitations. Comment avoir une vision unique du client et comment gérer la pression de communication ? Comment comprendre un client multiple et anticiper son comportement ?
  • LE CLIENT SERA SEUL Le self-service est un progrès de notre société
  • LE CLIENT SERA ECO-SENSIBLE Passer la marque à la machine sur le programme « GreenWashing » : l'occupation de ces dernières années pour les entreprises au marketing qui lave plus vert. Sous la pression d’une actualité dramatisante et de clients anxieux, presque toutes les entreprises adoptent les valeurs « développement durable » ou « respect de l’environnement », espérant réchauffer le climat entre leurs clients et elles
  • Mais le client veut des marques ou des enseignes disponibles et réactives, il désire être autonome, échanger en temps réel n’importe quel jour et à n’importe quelle heure, dans une relation personnalisée
  • En 2009, 36% des entreprises, soit deux fois plus qu’en 2008, (selon cette étude) « ont opté pour les modes de communication économiques, comme le Web et le self-service ». Parfois mauvais calcul quand on constate que –selon la même étude- « Malgré la mise en place de ces services sur Internet, les centres de contacts constatent que le nombre d’appels entrants n’a pas été impacté
  • Dès qu’on ouvre un nouveau canal de relation avec le client type Serveur Vocal Interactif, celà aurait plutôt tendance à faire croitre le nombre de contact globalement. Au bénéfice de la marque qui maitrise l’information qui la concerne et héberge la conversation, et au bénéfice du client qui choisit son mode de communication
  • apporter un vrai bénéfice au client lorsqu’il est seul. Seul face à un site Internet, avec un SVI, une borne interactive, il se sent trop souvent abandonné
  • Bénéfices évidents du client seul : l’aspect pratique et la réduction des prix.
  • les marques ont l’occasion unique de redonner du sens à leur discours avec des valeurs et de créer du lien avec leurs clients. Seront gagnantes les marques qui apporteront des preuves concrètes, qui feront des gestes sans calcul cynique sur un sujet qui n’est pas prêt de quitter l’esprit du client
  • LE CLIENT SERA ORGANISE On sait que le client est multiple, tout comme le sont les propositions commerciales qui s’adressent à lui. Lorsque celles–ci manquent de clarté ou sont défaillantes dans le bénéfice réel, le client revoit ses préférences et hiérarchise ses fournisseurs. Parfois perdu (8 français sur 10 ignorent encore ce que sont les soldes flottants ), souvent sur-sollicité (rappelons que nous sommes confrontés à 400 messages commerciaux par jour-source Francoscopie 2010), le client doit s’organiser
  • LSA nous rapporte qu’une enseigne espagnole a conçu et marketé son espace de vente en trois circuits d’achat : court (convenience store), moyen (achats quotidiens) et longs (courses de la semaine) pour répondre aux besoins du client.
  • LE CLIENT SERA AMELIORE (Photo Avatar). Le client est un roi doté de super-pouvoirs. Entourés, enrichis, connectés, les français sont 67% à avoir accès à Internet chez eux (+6% en un an), et 82% des Français de plus de 12 ans ont un téléphone mobile. Le monde dans le creux de sa main est une réalité pour déjà 5 millions de personnes utilisant Internet mobile (doublement en un an) Source : ARCEP. Le client est assisté, aidé : il ne faut plus faire partie d'une minorité de privilégiés pour savoir qu'il faut tourner à droite dans 200 mètres avec son GPS embarqué dans sa voiture ou sur son téléphone mobile... Le client français a adopté les réseaux sociaux : près de 16 millions d’inscrits dont les trois quarts pour « rester en contact avec leurs amis ». Le réseau social virtuel qui entoure le client l’aide aussi à faire des choix dans sa consommation. Selon Harris interactive (pour Fleishman Hillard), "50% des français pensent qu’Internet les aide à prendre de meilleures décisions d’achat" et "85% des consommateurs consultent les avis des internautes avant d’acheter". Le téléphone est devenu « smart » pour 3,5 millions d’utilisateurs nouveaux en une année, et pas tous des professionnels ! Que vous partiez en voyage ou que vous vous rendiez au restaurant du coin, vous trouverez sur la route de votre choix des avis de consommateurs en qui vous avez confiance.
  • prendre sa place dans un monde digital et virtuel pour y accueillir son client. Proposer de nouvelles voies d'accès et de dialogue avec lui.
  • LE CLIENT SERA OCCUPE La moitié des adolescents regardent déjà la télé en surfant sur le net et 47% utilisent leur téléphone mobile en étant connectés (source Forrester). La multi-activité se développe
  • Le client est surbooké et ce que nous nommons une maladie pour nos enfants n’est que la caricature et le signe précurseur d’un futur proche de consommateur de média. Le client n’est pas absent ou distrait, il est très occupé. Les Français ont eu en moyenne 40,4 contacts par jour avec une activité média ou multimédia (hors ordinateur) en 2009, un chiffre toujours en augmentation. Un français sur deux se connecte chaque jour à Internet, et les médias sont de plus en plus consultés sur de nouveaux supports
  • LE CLIENT SERA FAN Les grandes marques vont sortir de la crise avec panache et le client n’attend que ça. Pourquoi ? Parce qu’il a désormais la possibilité de se manifester et de faire savoir qu’il aime une marque ou qu’il s’y intéresse sur les réseaux sociaux. 40% des inscrits à Facebook sont amis ou fans des marques et 25% « suivent » des marques sur Twitter selon Razorfish
  • LE CLIENT SERA BAVARD Si je me fie à ce compteur Twitter, au mois de mars prochain, nous passerons la barre des 10 milliards de tweets. Rien qu’en France, si on suit les 25 premiers utilisateurs de ce réseau social, on peut lire 360 000 posts de 140 caractères Pour 23% des Français de plus de 12 ans inscrits sur les réseaux sociaux , le quotidien est fait de conversations.
  • Un tweet sur 5 concernerait un échange d’expérience à propos d’une marque. C’est considérable. A la recherche de la relation authentique, de l’avis sincère, le client est prêt à contribuer et donner de son temps. Sur le très fiable site d’avis consommateurs Beauté Test par exemple, tous les jours, 400 nouveaux avis sont postés et 10 à 20 nouveaux produits sont référencés. On donne la parole au client, il en fait un usage à son profit !
  • les avis seront de plus en plus donnés en temps réel (18% des membres Facebook mettent à jour leur profil depuis un téléphone mobile)
  • favoriser l’expression du client en la rationnalisant. Et face à l’infopollution, investir dans le tri sélectif
  • LE CLIENT SERA AVENTUREUX Seuls 15 %, c’est-à dire un client sur sept se déclare «fidèle » aux marques et 21 % sont moins fidèle qu’avant, c’est ce qu’avait révélé l’étude faite en 2009 à l’occasion de la Saint Fidèle sur ce blog.
  • Laurent Habib de RSCG C&O déclarait à LSA le 29 octobre dernier : «les marques ne parviennent plus à justifier leur positionnement premium, ni a susciter la préférence et la fidélité». Sensible au prix, le client observe avec un scanner dans les yeux les propositions low cost et les propositions premium, délaissant un ventre mou sans odeur et sans saveur. Il privilégie la valeur d’usage et se montre critique envers les innovations sans bénéfice
  • proposer aux clients de vraies innovations, prendre des risques. C’est le moment de mettre en pratique le subtil précepte de Jacques Séguéla (qui a le sens de la formule) : « moins de tests, plus de testicules »
  • LE CLIENT SERA ENTENDU 20% des français ont déjà dénoncé en ligne des entreprises ayant mal agi à leurs yeux TNS Sofres LSA 11/09. Nous sommes entrés dans le nouvel âge de la relation client, l’époque où le client peut s’exprimer et être entendu par des milliers de personnes (cf mon billet à ce sujet). Le patron d’Amazon disait "Si vous rendez vos clients mécontents dans le monde réèl, ils sont susceptibles d'en parler chacun à 6 amis. Sur internet, vos clients mécontents peuvent en parler chacun à 6000 amis."
  • gérer sa réputation et repenser son organisation pour l’orienter vers un client omniprésent. Il ne s’agit plus de surveiller ou faire du buzz monitoring mais bien de pratiquer une écoute active et participer à un nouvel échange.
Yan Thoinet

PROJICOM - Le Marketing Mobile à la Réunion - 0 views

  • Pull-SMS et retour SMS personnalisé
Christophe Deschamps

Why The Big Fuss Over Microblogs? | The View from Forrester Research | ZDNet.com - 0 views

  • I believe two factors are at play: Mobility makes us omnipresent, but short on time. Microblogging appeals to those who use mobile devices. It provides a channel that honors our thumbs and encourages us to say just a few words. And we can connect to the intranet from anywhere. For some, this is true power. The list of people I “follow” may be interesting to you. Although Web 2.0 tools present information, their use becomes increasingly more interesting when we look at the network of people who generate and care about the information. In the case of the microblog: my “follow -list” may be more interesting to you than my micro-posts.
Nilesh Talaviya

The Best Practices for Development of Enterprise Mobile Apps - 0 views

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    It was the Apple iPad that started the revolution of enterprise mobility. Once this tablet made it into the market, other similar tablets hit the marketplace with different operation systems.
Christophe Deschamps

Enterprise Web 2.0: Building the Next-Generation Workplace - the Driving Force behind J... - 0 views

  • Building on the somewhat vague and yet particular usage of the term 'Web 2.0', 'Enterprise Web 2.0' describes a fresh, and some would say new, approach to the design and provision of business applications that incorporates aspects such as social networking, collaboration, and real-time communication. In addition, Enterprise Web 2.0 focuses a great deal of attention on the user's 'experience' or 'joy of use' -- something of a novelty in enterprise IT these days. By comparison, when Butler Group talks about 'Enterprise 2.0', we are focusing on the composition and architecture of the IT ecosystem, and the associated business models that will support Enterprise Web 2.0 applications.
  • Enterprise Web 2.0 is very much concerned with the user experience of corporate systems and applications, and on extracting business value from the social contributions and interactions of the organisation's various stakeholders.
  • The management of customer relationships continues to remain pivotal for most organisations, and so the social aspects of Web 2.0 are mirrored in the corporate world of Enterprise Web 2.0
  • ...8 more annotations...
  • Workforce mobility and changing communication patterns are two more trends that are driving change at the infrastructure layer, and so unified communication and collaboration requirements form an important part of Enterprise 2.0 strategy.
  • Enterprise Web 2.0 might be about putting the user (i.e. employee, customer, or stakeholder) first, but in order to do so it also requires supporting technology. And so at the IT infrastructure level, Enterprise 2.0 means Internet Protocol (IP) everywhere -- voice, video, and data. Enterprise 2.0 also means, 'open' standards rather than proprietary or 'closed' systems. Furthermore, Enterprise 2.0 technology means user-driven technology and not IT-driven technology.
  • Having accepted the fact that 'processes' means 'people', then we have to look for ways in which these people (i.e. processes) can self-organise and reference one another. Then, where possible, we need to somehow incapsulate the processes into a set of business services. One day (we might call it Web 3.0), Artificial Intelligence (AI) will enable organisations to do with computers that which they do via human beings today, but until that day arrives, organisations must do more to aid interdepartment and inter-company collaboration. Workflow has not yet figured largely in the consumer-oriented world of Web 2.0, but Butler Group sees this as pivotal when considering Enterprise Web 2.0.
  • Today applications that embody processes are built by IT professionals, but tomorrow they will be built by a new breed of power user, using mashup builders, software agents, and other Web 2.0 technologies.
  • Business and IT managers must therefore prepare themselves for the new generation of power user who will be creating mashups and situational applications that have a far broader impact than the typical spreadsheet macro of yesteryear, and that if organisations are to avoid a proliferation of unmanageable, siloed, micro-applications, then they must blend the power of personal productivity with an appropriate management layer and a degree of central oversight.
  • Web 2.0 is no longer PC-centric.
  • It is clearly a mistake to think that Web 2.0 is all about technology, and likewise Enterprise Web 2.0, but it is also a mistake to dismiss the technology altogether. Therefore, selecting and implementing enterprise social software solutions, next-generation collaboration solutions, and Rich Internet Applications requires careful thought, consideration, and planning.
  • The driving force behind just about every aspect of Enterprise Web 2.0, is of course, the user -- something that has not always ranked highly on the list of priorities for corporate IT mangers -- and so the challenge for all forward-looking organisations is to refocus on this aspect of their IT strategies.
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    Nouvelle étude de Research & Markets. Pas mal d'infos dans cette synthèse. User-centric
Yan Thoinet

Feed View | TechCrunch en français - Web Based Feed Reader, Mobile Feed Reader - 0 views

  • Twingly, un moteur de recherche suédois pour les blogs européens18 Feb 2008 16:24:38 | Michael Arrington (adaptation: Ouriel Ohayon) | Sociétés et produits,Twingly | CommentsAu premier abord, on pourrait penser que le domaine des recherches de blogs est plutôt saturé. Et l’on a bien raison. Non seulement Google s’est emparé du secteur fin 2005 mais ils ont aussi introduit l’indexation ultra-rapide des nouveaux billets publiés (notamment pour TechCrunch) dans les heures voire minutes qui suivent leur publication sur un blog. Le meilleur moyen pour chercher un blog se nomme Google.com. Et il y a aussi de nombreux concurrents, comScore montre sur le tableau ci-dessous l’évolution des principaux: Technorati, Google Blog Search, Ask Blog Search, Sphere et IceRocket. Tous américains (Wikio ne figure pas sur ce tableau)
Eric Salviac

Google se rapproche des entreprises et de... Microsoft - 0 views

  • Google de son côté est particulier actif ses derniers temps sur le marchés des applications d'entreprise. Parmi les annonces de ces derniers jours, on peut citer Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google Wave, une nouvelle version de sa Google Search Appliance sans oublier Fusion Tables qui n'est encore qu'un outil expérimental, mais qui pourrait bousculer le domaine des bases de données.
  • « La division entreprise est l'un des trois axes stratégiques de Google parmi les outils de recherches (search), les liens publicitaires et commerciaux (ads) et la suite applicative bureautique Web 2.0 en mode SAAS (apps) »
  • Contrairement aux éditeurs traditionnels, Google a une phase de développement de produits qui s'appuie largement sur les utilisateurs. Il peut donc proposer des versions beta accessibles en libre service auprès de développements, sans trop se soucier de l'intérêt commercial de ces nouveaux outils.
  • ...15 more annotations...
  • Fusion Tables est encore un produit expérimental destiné à intégrer des données issues de sources différentes et de formats différents dans une même table et de fournir des fonctions de collaboration, de requêtes, de visualisation et de publication sur le Web. Fusion Tables est plutôt destinée aux très grands volumes de données.
  • Cette semaine, Google dévoilait Google Apps Sync for Microsoft Outlook, un outil permettant de synchroniser leurs courriers, calendrier et carnets d'adresse entre Exchange/Outlook et Gmail. Cet outil fait suite à un autre qui permet de faire à peu près la même chose sur la téléphonie mobile. Cet outil qui est proposé comme un plug in est disponible pour les utilisateurs des versions payantes de Google Apps, à savoir les versions Premier et Education Edition.
  • Quel est l'intérêt de cette offre ? Tout simplement que beaucoup d'utilisateurs préfèrent ou sont déjà habitués à l'interface d'Outlook.
  • Le plug-in est pour l'instant disponible uniquement en anglais, il est compatible avec Outlook 2007, Windows XP SP3 et Vista.
  • Google Apps est commercialisé à 50 dollars par utilisateur et par an. Google aurait quelque 500 000 utilisateurs payants de Google Apps Premier Edition (Soit un chiffre d'affaires en base annuel de 25 M$ en abonnement).
  •  D'autres fournisseurs comme IBM, Oracle, Novell et Sun reconnaissent que le support natif d'Outlook est le meilleur moyen de lutter contre Exchange (l'utilisateur final ne se soucie pas de savoir quel est le serveur de messagerie mis en œuvre par l'entreprise) »
  • Google positionne son plug-in comme un outil permettant aux entreprises d'effectuer une migration d'Exchange vers Gmail plutôt que comme une combinaison permanente
  • Google Wave n'est pas encore un Tsunami Parallèlement à cette offre tactique qu'est Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google a montré avec Google Wave ce que pourrait être un outil de messagerie et collaboration dans les années à venir.
  • Google Wave intègre plusieurs fonctionnalités en général distribuées dans différentes solutions, à savoir les messageries électronique et instantanée, collaboration en temps réel et traitement de document à plusieurs (une sorte de Wiki en plus perfectionné).
  • « Avec Wave, Google veut changer fondamentalement la manière avec laquelle les utilisateurs/internautes (internausateurs ou utilisanautes) communiquent en transformant le Web en un système de collaboration temps réel intégré »
  • Google Wave ne concurrencera pas Lotus Notes, Microsoft Exchange ou Office SharePoint Server avant 5 à 10 ans
  • Une nouvelle version de Google Search Appliance
  • Conçues selon une architecture dynamique, plusieurs GSA, même distantes, peuvent fonctionner en parallèle
  • La GSA 6.0 offre des options de personnalisation pour l'administration, la sécurité, les paramètres de classements des documents... Elle inclut ce que l'on appelle des fonctions de recherche dites sociales, c'est-à-dire issues des suggestions des utilisateurs.
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    Google ne renonce pas à promouvoir ses applications en entreprise en adoptant une stratégie de conquête en douceur en s'appuyant à la fois sur l'existant et les utilisateurs.
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