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Laurent Bordet

Terra Nova veut augmenter les droits d'inscription en fac - 0 views

  • La fondation lance un pavé dans la marre en réclamant une hausse "modérée et étalée dans le temps" des droits d'inscription, en vue d'accroître les moyens financiers des universités. Le think tank propose également de créer une allocation d'études supérieures, utilisable tout au long de la vie active, ainsi que la suppression des cours en amphithéâtre.
  • Un triplement des droits d'inscription en licence et un quadruplement en master et en doctorat sur cinq ans pour permettre plus d'égalité dans le système et augmenter les moyens des universités, en maintenant une exonération totale pour tous les boursiers"
  • Une telle mesure permettrait également, selon Terra Nova, de lutter contre l'absentéisme et l'échec étudiant.
  • ...4 more annotations...
  • Création d'une allocation d'études supérieures
  • Une allocation qui serait "complétée" par un "prêt à taux zéro garanti par l'Etat", qui pourrait s'élever à 150 euros par mois en licence, et à 300 euros en master.
  • La fondation demande également la suppression "des cours en amphithéâtre dans les universités" et "d'instaurer une sélection" dès la première année de master
  • Terra Nova propose en effet, "à partir de la rentrée 2012, de diminuer de 33% en cinq ans le nombre de places en classes prépa, de réduire de 50% en cinq ans les places aux concours des grandes écoles, et d'augmenter les nombres d'admis dans les grandes écoles issus de l'université et n'étant pas passés par les prépas". Enfin, le think tank souhaite "rattacher administrativement les classes préparatoires aux universités ou aux PRES."
Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | Le blog de Jean-François Fiorina - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
  • ...10 more annotations...
  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
Laurent Bordet

Sarkozy et Hollande, deux regards sur l'université - 0 views

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    Dernière ligne droite avant le 2ème tour
Laurent Bordet

Pourquoi les droits d'inscription universitaires s'envolent partout, par Isabelle Bruno (Le Monde diplomatique) - 0 views

  • En France, selon une enquête de la Fédération des associations générales étudiantes (FAGE), le coût de la rentrée universitaire a bondi de 50 % en dix ans. Parmi les causes de ce renchérissement, l’augmentation des frais d’inscription, que promeuvent think tanks et organisations internationales. Aux Etats-Unis, de nombreux étudiants ne pourront jamais rembourser les prêts contractés pour payer leur formation.
  • Démarcher les entreprises, quémander des dons auprès des réseaux d’anciens étudiants, augmenter les droits d’inscription, bref se vendre : telle est, en substance, la compétence nouvelle gagnée par les universités.
  • il s’agit désormais de transformer la recherche scientifique en produits brevetables, et les enseignements en parcours individualisés et « professionnalisants » débouchant sur des diplômes rentables.
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    un peu caricatural
Laurent Bordet

Fioraso annonce la création de licences plus généralistes - Le Figaro Étudiant - 0 views

  • our l’association «sauvons l’université », l’idée de «pluridisciplinarité» aboutit de fait à dévaloriser les contenus d’enseignement: «La promotion d’initiations pluridisciplinaires même minime, sous le prétexte de faciliter les passerelles entre les formations, mène tout droit à l’alignement d’une grande partie des formations sur l’enseignement secondaire, c’est-à-dire sur un enseignement le plus souvent découplé de la recherche.
Laurent Bordet

Quand les Facs dament le pion aux grandes écoles - Challenges.fr - 0 views

  • Plus d'un étudiant sur deux prépare désormais un diplôme professionnel", constatent les études ministérielles. Mieux, ces jeunes accèdent à l'emploi dans des conditions bien plus satisfaisantes qu'on ne l'aurait imaginé. Une enquête nationale, chapeautée par le ministère de l'Enseignement supérieur, vient d'en apporter pour la seconde fois la preuve. Trente mois après leur diplôme, le taux d'insertion des masters de l'université est de 91%, presque tous en emploi stable, un score très comparable à celui des diplômés des grandes écoles
  • Alors que le grand public n'a pas encore pris conscience de ces changements, les entreprises, elles, ont déjà négocié le tournant. "Nous souhaitons ouvrir nos recrutements à environ 20% de diplômés venus de l'université, assure ainsi Jean-Marc Mickeler, responsable de la marque employeur chez Deloitte, l'un des Big Four, ces grands cabinets d'audit placés au firmament des débouchés de rêve par les étudiants. Elles ont aujourd'hui bien compris nos attentes, que ce soit Dauphine, bien sûr, mais aussi Paris 1, Nanterre, Strasbourg, Aix-en-Provence, Lyon..."
  • Pierre Tapie lui-même, président de la Conférence des grandes écoles, connu pour sa défense ardente de ce modèle d'excellence, assure désormais qu'entre une fac de droit et une école il n'y a pas de différence. "Les frontières entre les deux types d'établissement sont d e -plus en plus poreuses. Aujourd'hui, l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Tandis que les grandes écoles doivent faire de la recherche." Décidément, c'est la révolution.
Laurent Bordet

Financement de l'éducation : attention bombe à retardement ! | Le blog de Jean-François Fiorina - 0 views

  • Selon l’UNESCO, l’enseignement supérieur accueillera 262 millions d’étudiants en 2025, contre 97 millions en 2000 et 153 millions en 2007.
  • L’éducation a un coût mais la « non éducation » aura un prix bien plus élevé ! Nos jeunes générations aspirent à la connaissance et notre responsabilité est d’éviter les frustrations et les violences sociales qu’engendrerait la rupture du système.
  • Le visible : les frais de scolarité sont payés par les familles et les étudiants avec des aides (bourses). C’est le modèle anglo-saxon que la crise économique en occident met à mal.
  • ...2 more annotations...
  • oit nous arrivons à une refonte globale soit nous serons obligés de vivre un système à deux vitesses en sélectionnant de manière drastique les étudiants, par le mérite ou par l’argent.
  • l visite actuellement les campus américains et discute avec des étudiants inquiets de voir leurs droits d’inscription augmenter plus vite que l’inflation. Et
Laurent Bordet

Universités, une régression programmée - Libération - 0 views

  • Là encore, le résultat n'y est pas. Très peu d'argent a en réalité été distribué. Depuis le lancement du Grand Emprunt, la droite ne cesse de vanter les 35 milliards d'euros qu'elle aurait mis sur la table. Au détour d'un document budgétaire, on découvre cependant que depuis deux ans, seul 1,5 milliard a été dépensé pour l'industrie, la recherche et l'enseignement supérieur. Le ministère du Budget fait tout pour retarder le déblocage des fonds, et les retards s'accumulent.
  • Une croyance d'une simplicité -d'un simplisme- tels qu'on peut la résumer en une phrase: toujours plus de concurrence, de rivalité, créerait de l'efficacité et de la performance. C'est oublier qu'en matière de formation comme de recherche, l'émulation est bien plus productive quand elle prend sa source dans la coopération et le partage que dans la seule compétition.
Laurent Bordet

Les étudiants étrangers en froid avec la France - LeMonde.fr - 0 views

  • Oui, du mal a été fait", assure Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles (CGE). " Cette affaire a fait énormément de bruit en Inde, au Brésil, en Chine, au Maroc...
  • ans la guerre internationale du talent, tout pays qui complique l'obtention de visas pour les étudiants, la possibilité de travailler pendant les études ou de vivre une première expérience professionnelle après le diplôme se tire une balle dans le pied", m
  • e XXIe siècle est souvent présenté comme devant être celui de l'économie de la connaissance. Plus que jamais, c'est le savoir et l'innovation qui créeront la richesse. D'où l'importance d'attirer les meilleurs des 200 millions d'étudiants que devrait compter le monde en 2015. "
  • ...6 more annotations...
  • Ces étudiants, futurs chercheurs ou entrepreneurs, s'interrogent aujourd'hui sur les intentions de la France. L'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin en a fait l'expérience, en visitant un Salon étudiant à Pékin. "Des étudiants chinois se sont attroupés et m'ont interpellé sur cette question, alors que j'étais interviewé par des télévisions chinoises", raconte-t-il.
  • u Maroc, des professeurs d'établissements français ont écrit à l'ambassadeur de France, le 14 octobre, pour prévenir de "l'effet désastreux produit au Maroc et en particulier de la consternation des familles ayant choisi de mettre leurs enfants dans les écoles du réseau d'enseignement français".
  • abil Sebti, 25 ans, est l'un d'eux. Marocain diplômé d'HEC, il est porte-parole du Collectif des étudiants étrangers. Après l'avoir interviewé, le New York Times constate, le 9 novembre :
  • assure que les étudiants étrangers qui ont obtenu au moins un master en France pourront rester pour une première expérience professionnelle sans que la situation de l'emploi puisse leur être opposée. François Fillon insiste : "Notre objectif est d'attirer les meilleurs étudiants du monde."
  • Mentionnant "une politique d'immigration maladroite", The Australian pointe ce dernier aspect dans un article du 23 novembre : "L'implacable montée de l'extrême droite en Europe n'est plus un sujet purement académique pour les universités d'excellence françaises.
  • n attendant, le Canada peut se frotter les mains. Le pays cherche à garder les jeunes qui viennent étudier sur son territoire, rappelle M. Lawton. "Et le Canada, dit-il, est évidemment très bien placé pour accueillir des étudiants étrangers francophones qui cherchent une destination accueillante pour suivre des études de qualité." Ainsi, dans les cours qu'il donne au Québec, Jean-Pierre Raffarin a beaucoup d'étudiants maghrébins. "Entre une administration canadienne accueillante et une administration française un peu fermée, ils font vite le choix", précise-t-il.
Laurent Bordet

Les étudiants étrangers en froid avec la France - LeMonde.fr - 0 views

  • ui, du mal a été fait", assure Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles (CGE). " Cette affaire a fait énormément de bruit en Inde, au Brésil, en Chine, au Maroc...", alimenté par des diplômés "aigris" par cette sorte de "dépit amoureux" éprouvé à l'égard de la France
  • Une grande partie de la Silicon Valley s'appuie sur l'importation des meilleurs chercheurs, par exemple sur ceux qui proviennent des Indian Institutes of Technology et qui font leur doctorat à Stanford ou à Berkeley."
  • L'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin en a fait l'expérience, en visitant un Salon étudiant à Pékin. "Des étudiants chinois se sont attroupés et m'ont interpellé sur cette question, alors que j'étais interviewé par des télévisions chinoises"
  • ...2 more annotations...
  • Mentionnant "une politique d'immigration maladroite", The Australian pointe ce dernier aspect dans un article du 23 novembre : "L'implacable montée de l'extrême droite en Europe n'est plus un sujet purement académique pour les universités d'excellence françaises." Et le quotidien de Sydney de souligner : "L'approche française est plus qu'une leçon pour l'Australie sur ce qu'il ne faut pas faire." L'Australie, pourtant, comme d'autres, est confrontée à ces affres, rappelle ainsi le New York Times, le 13 octobre : "Cette année, plusieurs nations occidentales, dont l'Australie, la Grande-Bretagne et la Suède, ont décidé de restreindre l'accès à leurs universités pour les étudiants étrangers.
  • Jean-Pierre Raffarin, pourtant très remonté contre cette "stratégie internationale absurde" relevant de la "démondialisation", veut croire que "cela peut se corriger". Il recommande d'"être plus subtil dans la communication. Il faut être sévère avec l'immigration illégale à condition d'accepter celle qui est légale. Et les étudiants sont au coeur de celle-ci".
Laurent Bordet

La réforme qui murmure encore à l'oreille des universités - LeMonde.fr - 0 views

  • le projet du Parti socialiste est peu disert, annonçant notamment… l'organisation d'assises : il semble bien plus construit quand il s'agit de l'école et des lycées que de l'enseignement supérieur.
  • L'évolution progressive d'un modèle de financement public vers un modèle mixte conduit à solliciter un effort supplémentaire de la part des entreprises d'un côté
  • Le premier renvoie à la concurrence entre universités, ainsi qu'avec d'autres grandes causes culturelles
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  • Le second impose la montée des droits d'inscription, dont l'essentiel porterait sur les classes moyennes
  • Les PRES (pôles de recherche et d'enseignement supérieur) qui regroupent des universités devraient déboucher sur de véritables fusions entre établissements comme à Strasbourg et à Bordeaux
  • Selon un rapport publié par l'University Alliance britannique qui regroupe 23 universités, il n'y a pas de relation continue entre la taille de l'unité de recherche et sa performance du point de vue du classement par les pairs, du nombre d'articles publiés et de leur impact
  • Il faut inventer le temps 2 de la réforme
Laurent Bordet

Etre maître de conférences aujourd'hui : « Nous avons perdu le temps de méditation essentiel à notre métier » - VousNousIls - 0 views

  • Des enseignants-chercheurs en mal de reconnaissance
  • Nous avons perdu le droit au temps de médi­ta­tion essen­tiel à notre métier. Lire, réflé­chir, écrire, c'est pour­tant le coeur de la recherche »
  • J'ai perdu le sens de ce que je fais
Laurent Bordet

C'est classe !: Universités: un budget historique mais des plafonds qui tombent - 0 views

  • Pour le crédit impot recherche, je confirme que mon employeur précédent (une SSII) a créé un département recherche qui ne fait quasiment rien. Tout employé qui n'est pas chez un client (entre deux projets) y est rattaché : son salaire peut être alors considéré comme une dépense de recherche, pour avoir droit au crédit impot-recherche. On nous a explicitement dit que c'était pour diminuer les impots de la société.
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    voir surtout le commentaire sur une utilisation détournée du CIR
Laurent Bordet

Universités : qui doit payer ? at JFM's blog - 0 views

  • La duplicité française
  • En ce qui concerne les droits d’inscription et les frais de scolarité, on est, en France, en pleine duplicité.
  • Les étudiants anglais pourraient se tourner vers les universités d’autres pays européens, spécialement celles où une partie des cours sont donnés en anglais. Ainsi l’université de Maastricht, bien classée dans les palmarès internationaux, a annoncé que le mouvement avait déjà commencé et espère bien attirer un grand nombre d’étudiants britanniques dans les années qui viennent,
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  • Le fond du problème : qui  doit payer ?
  • En France, le financement de l’enseignement supérieur repose essentiellement sur l’impôt. Voici quelques critiques majeures que l’on peut faire à ce système :
Laurent Bordet

"Il ne faut pas avoir peur de venir à l'université" - LeMonde.fr - 0 views

  • Un site est entièrement dédié aux lycéens et un DVD présentant toutes les facettes de l'université est diffusé dans les lycées.
  • Nous avons aussi la chance d'avoir une école d'ingénieurs au sein de l'université : Polytech Nantes. Nos étudiants en sciences peuvent pendant deux ans suivre des cours supplémentaires en sciences de l'ingénieur et avoir ensuite accès aux douze écoles du réseau Polytech.
  • Qu'apporte l'université que ne donnent pas forcément les prépas ? D'abord le sens de l'autonomie que nos étudiants apprennent à développer très tôt. Ensuite une pédagogie différente pas fondée sur le bachotage, à l'exception évidemment de la première année de médecine
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  • Nous accordons ainsi plus de 200 000 € par an de subventions directes auprès de 140 associations recensées sur nos campus. Les projets sont divers et inventifs : solidarité locale, sport, culture, convivialité, international, média...
  • C'est une hérésie, un master devrait être un continuum sur deux ans. Là il y a une barrière entre les deux qui sanctionne des étudiants au milieu du gué. La législation actuelle date d'avant le LMD et n'a pas été modifiée : elle autorisait alors un accès libre en maîtrise, et imposait une sélection à l'entrée des DEA et DESS. La première barrière de sélection ne se fait donc qu'en M2. Il faudrait que la sélection se fasse dès le M1.
  • L'insertion professionnelle fait maintenant partie des missions de l'université. Pouvez-vous dresser un premier bilan de votre action ?
  • A la rentrée, nous lançons "Têtes de l'Emploi", notre premier forum de l'emploi afin de faire se rencontrer entreprises et futurs jeunes diplômés. Ce forum va venir renforcer les actions que nous menions déjà discipline par discipline. Par exemple en droit ou en lettres où les professions venaient se présenter aux étudiants dans le cadre de forums des métiers. Nous assurons également un vrai suivi de nos diplômés et avons d'excellentes relations avec les secteurs professionnels. Résultat, nos taux d'insertion n'ont rien à envier à ceux de grandes écoles pour nos masters et licences professionnels.
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    Inrerview du président de l'Université de Nantes.
Laurent Bordet

Quand l'université se met au numérique - Libération - 0 views

  • université de Nantes (Loire-Atlantique), qui compte 34 000 étudiants, est particulièrement avancée dans l’usage des nouvelles technologies, notamment dans le domaine de la santé
  • Officiellement, à la rentrée 2010, il existait 20 000 bornes d’accès à Internet à haut débit sans fil avec accès gratuit dans les établissements. Une dizaine d’entre eux avait un taux de couverture entre 95 et 100%
  • Universités numériques thématiques (UNT). Aujourd’hui au nombre de sept, ce sont d’immenses bibliothèques en ligne qui ne proposent pas moins de 21 600 ressources (vidéos, cours, exercices, QCM) en accès libre, dans sept grands domaines - Sciences fondamentales, Santé et sport, Sciences humaines et sociales, Droit
  • ...3 more annotations...
  • Nantes abrite une soixantaine de «mini-sites» - de labos, de départements, des pages dédiées aux lycéens, à la vie étudiante, etc. Il compte 10 000 pages alimentées par 120 contributeurs répartis dans l’établissement qui les mettent régulièrement à jour.
  • Nous sommes les premiers sur Facebook, se félicite Anne Christelle Suire, chargée de la communication on line à Nantes, et nous avons 2 357 abonnés sur Twitter.»
  • On s’est aperçu que c’était surtout les bons étudiants qui exploitaient les ressources en ligne, souligne Yves Lecointe, président de l’université de Nantes, et que cela risquait de creuser les inégalités. Il faut donc veiller à bien accompagner les étudiants et ne pas croire que l’on va économiser des postes».
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