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  #1 intermixed intermixed on 06 Aug 14

   

  Israël redoute que l'essai nucléaire du régime de Pyongyang, effectué en dépit des pressions internationales, ne soit interprété comme un feu vert par Téhéran. Se félicitant de disposer de sa propre force de dissuasion, le gouvernement israélien a fait part, hier, de sa crainte d'un transfert de technologie nucléaire de la Corée du Nord à l'Iran. Plusieurs responsables israéliens ont exprimé l'espoir que l'annonce de la Corée du Nord permettra une prise de conscience de la communauté internationale sur les risques de prolifération nucléaire et entraînera une position plus ferme à l'encontre de Téhéran.Les responsables israéliens cités par les médias jugent que l'absence d'une réponse internationale ferme au test nord-coréen pourrait encourager l'Iran à accélérer son programme nucléaire. « La leçon que Téhéran pourrait retenir est que la communauté internationale est incapable d'empêcher un pays qui le veut d'acquérir la puissance nucléaire, même lorsque des sanctions ont été imposées et que ce pays a été isolé », juge un responsable israélien.Dès hier soir, le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a affirmé sur la télévision d'État que son pays allait poursuivre son programme nucléaire et ne reculerait pas devant les pressions internationales.« À présent que la Corée du Nord a prouvé ses capacités nucléaires, elle risque de collaborer avec l'Iran et de l'aider à accélérer son programme nucléaire », prévient l'ambassadeur d'Israël à Washington, Danny Ayalon. Survetement EA7 pas cher
  Des responsables des services de renseignements israéliens affirment que Téhéran a investi de larges sommes d'argent dans les coffres vides de la Corée du Nord ces dernières années, en échange de technologies militaires. D'après les services israéliens, Téhéran aurait ainsi accéléré de façon significative son programme de missiles et aurait développé une tête capable de transporter une charge nucléaire pour son missile Shihab 3.Israël doute de l'efficacité de sanctions économiques contre la Corée du Nord, « un régime qui impose quotidiennement des sanctions à ses citoyens ». Mais l'État hébreu juge que de telles sanctions contre l'Iran « seraient bien plus efficaces, vu que l'Iran dépend du marché mondial pour ses exportations de pétrole ». Le vice-premier ministre, Shimon Pérès, a appelé à « frapper économiquement » l'Iran. « L'hésitation à infliger des sanctions économiques mènera à des actions militaires », a-t-il mis en garde dans une interview à la radio militaire.Ambiguïté israélienneConsidéré comme le père du programme nucléaire israélien, Shimon Pérès a réaffirmé qu'Israël disposait d'une « option nucléaire » tout en maintenant le flou. Survetement Armani EA7 « Heureusement, Israël continue de disposer de sa propre force de dissuasion face aux menaces nucléaires, grâce à l'opération de Dimona », s'est-il félicité en faisant allusion à la centrale atomique israélienne.Selon des experts militaires étrangers, Israël dispose d'un arsenal nucléaire de plus de 200 ogives. Israël maintient toutefois une politique d'ambiguïté sur son programme atomique et refuse de signer le traité de non-prolifération nucléaire et de soumettre sa centrale de Dimona à un contrôle international.« Le danger dans la prolifération nucléaire, a averti Pérès, c'est que des armes atomiques parviennent entre les mains de groupes terroristes. C'est un problème mondial. »Sur les 12 000 agents de terrain du Federal Bureau of Investigation, 129 seulement ont des notions d'arabe moderne. Parmi eux, 58 connaissent quelques mots usuels, et ils ne sont que 33 à pouvoir soutenir une conversation. Survetement Lacoste
  Encore plus étonnant, parmi ces arabophones, aucun ne travaillent au sein des cellules de coordination de l'antiterrorisme international. Selon le Washington Post, ces lacunes linguistiques toucheraient également les autres langues moyen-orientales ou asiatiques. Au premier rang, le farsi, parlé en Irak, où l'Urdu. La situation serait peu ou prou la même à la CIA et dans les autres agences antiterroristes américaines. Jusque dans l'administration pénitentiaire : trois terroristes ont pu envoyer 90 lettres à leurs connexions à l'étranger, faute de traducteurs capable de saisir la teneur de leurs messages, signale le quotidien. Un « sérieux problème » Le Post souligne notamment le cas des International Terrorism Operations Sections (ITOS), deux cellules de coordination anti-terroristes. « La connaissance de la langue arabe n'est pas une aptitude utilisée au sein des ITOS », déclare Michael Heimbach, qui dirige l'une d'entre elles.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Israël redoute que l'essai nucléaire du régime de Pyongyang, effectué en dépit des pressions internationales, ne soit interprété comme un feu vert par Téhéran. Se félicitant de disposer de sa propre force de dissuasion, le gouvernement israélien a fait part, hier, de sa crainte d'un transfert de technologie nucléaire de la Corée du Nord à l'Iran. Plusieurs responsables israéliens ont exprimé l'espoir que l'annonce de la Corée du Nord permettra une prise de conscience de la communauté internationale sur les risques de prolifération nucléaire et entraînera une position plus ferme à l'encontre de Téhéran.Les responsables israéliens cités par les médias jugent que l'absence d'une réponse internationale ferme au test nord-coréen pourrait encourager l'Iran à accélérer son programme nucléaire. « La leçon que Téhéran pourrait retenir est que la communauté internationale est incapable d'empêcher un pays qui le veut d'acquérir la puissance nucléaire, même lorsque des sanctions ont été imposées et que ce pays a été isolé », juge un responsable israélien.Dès hier soir, le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a affirmé sur la télévision d'État que son pays allait poursuivre son programme nucléaire et ne reculerait pas devant les pressions internationales.« À présent que la Corée du Nord a prouvé ses capacités nucléaires, elle risque de collaborer avec l'Iran et de l'aider à accélérer son programme nucléaire », prévient l'ambassadeur d'Israël à Washington, Danny Ayalon. <a rel="nofollow" href="http://www.groupecipa.fr/Survetement-Armani-EA7" title="Survetement EA7 pas cher">Survetement EA7 pas cher</a> <br /> Des responsables des services de renseignements israéliens affirment que Téhéran a investi de larges sommes d'argent dans les coffres vides de la Corée du Nord ces dernières années, en échange de technologies militaires. D'après les services israéliens, Téhéran aurait ainsi accéléré de façon significative son programme de missiles et aurait développé une tête capable de transporter une charge nucléaire pour son missile Shihab 3.Israël doute de l'efficacité de sanctions économiques contre la Corée du Nord, « un régime qui impose quotidiennement des sanctions à ses citoyens ». Mais l'État hébreu juge que de telles sanctions contre l'Iran « seraient bien plus efficaces, vu que l'Iran dépend du marché mondial pour ses exportations de pétrole ». Le vice-premier ministre, Shimon Pérès, a appelé à « frapper économiquement » l'Iran. « L'hésitation à infliger des sanctions économiques mènera à des actions militaires », a-t-il mis en garde dans une interview à la radio militaire.Ambiguïté israélienneConsidéré comme le père du programme nucléaire israélien, Shimon Pérès a réaffirmé qu'Israël disposait d'une « option nucléaire » tout en maintenant le flou. <a rel="nofollow" href="http://www.groupecipa.fr/Survetement-Armani-EA7" title="Survetement Armani EA7">Survetement Armani EA7</a> « Heureusement, Israël continue de disposer de sa propre force de dissuasion face aux menaces nucléaires, grâce à l'opération de Dimona », s'est-il félicité en faisant allusion à la centrale atomique israélienne.Selon des experts militaires étrangers, Israël dispose d'un arsenal nucléaire de plus de 200 ogives. Israël maintient toutefois une politique d'ambiguïté sur son programme atomique et refuse de signer le traité de non-prolifération nucléaire et de soumettre sa centrale de Dimona à un contrôle international.« Le danger dans la prolifération nucléaire, a averti Pérès, c'est que des armes atomiques parviennent entre les mains de groupes terroristes. C'est un problème mondial. »Sur les 12 000 agents de terrain du Federal Bureau of Investigation, 129 seulement ont des notions d'arabe moderne. Parmi eux, 58 connaissent quelques mots usuels, et ils ne sont que 33 à pouvoir soutenir une conversation. <a rel="nofollow" href="http://www.groupecipa.fr/Survetement-Lacoste" title="Survetement Lacoste">Survetement Lacoste</a> <br /> Encore plus étonnant, parmi ces arabophones, aucun ne travaillent au sein des cellules de coordination de l'antiterrorisme international. Selon le Washington Post, ces lacunes linguistiques toucheraient également les autres langues moyen-orientales ou asiatiques. Au premier rang, le farsi, parlé en Irak, où l'Urdu. La situation serait peu ou prou la même à la CIA et dans les autres agences antiterroristes américaines. Jusque dans l'administration pénitentiaire : trois terroristes ont pu envoyer 90 lettres à leurs connexions à l'étranger, faute de traducteurs capable de saisir la teneur de leurs messages, signale le quotidien. Un « sérieux problème » Le Post souligne notamment le cas des International Terrorism Operations Sections (ITOS), deux cellules de coordination anti-terroristes. « La connaissance de la langue arabe n'est pas une aptitude utilisée au sein des ITOS », déclare Michael Heimbach, qui dirige l'une d'entre elles.</div>

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