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  #1 intermixed intermixed on 28 Jun 14

   

  Kostunica aurait jusqu'à lundi, date à laquelle l'Union européenne menace de rompre ses discussions avec Belgrade, pour trouver un compromis.Seconde possibilité : la rumeur aurait été volontairement distillée par le pouvoir pour tester les réactions de la rue et des nationalistes. Une sorte de tir à blanc avant la véritable arrestation. Troisième solution : Mladic a été arrêté en Serbie, mais les autorités veulent faire croire que l'opération a été menée en Bosnie dans l'espoir de désamorcer les éventuelles réactions des nationalistes.La plupart des analystes penchaient cependant hier pour la première hypothèse. Afin de préparer l'opinion, plusieurs responsables serbes ont récemment évoqué la fin de l'affaire Mladic. Jankovic, le conseiller de Kostunica, a affirmé la semaine dernière que les autorités serbes étaient «sur le point de résoudre le problème». Short Survetement CA Femme
  Quand au ministre de la Défense, Zoran Stankovic, il a conseillé à Mladic de se suicider s'il s'estimait coupable... Inde : Chirac entame une coopération nucléaire LA VISITE de Jacques Chirac en Inde s'est achevée hier par la signature d'une dizaine d'accords, qui témoignent de la volonté de la France de renforcer ses relations avec la deuxième puissance émergente d'Asie après la Chine. Parmi les contrats signés, figure celui, âprement négocié depuis 2003, prévoyant la fourniture à Indian Airlines de 43 Airbus (19 A 319, 20 A 321, 4 A 320) pour un montant de 2 milliards d'euros. L'Inde a acheté par ailleurs 15 avions régionaux ATR 72-500 (220 millions d'euros). Paris et New Delhi sont convenus de formaliser leurs relations en matière de défense (échanges d'officiers, conseil de sécurité franco-indien, fourniture d'équipements, formation). Short Survetement DG Homme Français et Indiens ont aussi décidé d'intensifier la concertation entre leurs entreprises, notamment les PME, de créer une chaire d'études indiennes à Sciences po et d'instaurer un partenariat entre l'Essec et l'institut d'Ahmedabad, qui forme l'élite des cadres indiens.On aura surtout noté la déclaration commune préparant le terrain à une coopération nucléaire civile avec l'Inde, pays qui n'a pas signé le traité de non-prolifération (TNP) et qui, à ce titre, ne peut donc pas bénéficier de transferts de combustibles et de technologies. L'Inde «grand pays responsable» doit pouvoir répondre à ses immenses besoins énergétiques «sans devenir une cheminée à effet de serre» et «dans le respect des exigences de non-prolifération», a insisté Jacques Chirac à plusieurs reprises. New Delhi, qui n'a jamais dissocié ses activités nucléaires civiles et militaires, devra préalablement clarifier ses positions, donner des garanties, et obtenir le feu vert de la communauté internationale. Faisant référence à l'Iran, la déclaration franco-indienne souligne que la prolifération des armes nucléaires «constitue une menace pour la paix et la sécurité internationales». Certes, les futures installations nucléaires indiennes pourront être placées sous le contrôle de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a admis le premier ministre Manmohan Singh. Mais il ne s'est guère avancé sur les 15 centrales existantes. Short Survetement DSQ Homme
  Les Européens ont tardé à prendre la mesure de ce champion mondial de la croissance économique (+ 8% l'an) qu'est désormais le sous-continent. Ils ont été devancés par les Etats-Unis et par le Japon qui ont tôt fait, eux, de le considérer comme un contrepoids face à la Chine. Début mars, Visite prochaine de BushGeorge W. Bush sera d'ailleurs à New Delhi pour une visite très attendue. La France qui a noué un «partenariat stratégique» avec l'Inde en 1998 cherche à nouer une «relation singulière» avec ce pays qui s'inscrit bien dans la vision multipolaire du monde chère à Jacques Chirac. A Delhi, il a vanté des «valeurs communes» (démocratie, indépendance, liberté, laïcité) et une «vision partagée» sur de nombreux sujets comme la lutte contre le terrorisme ou le financement du développement. Il a rappelé sa volonté de voir l'Inde rejoindre le club des membres permanents du Conseil de sécurité et participer aux réunions du G 8.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Kostunica aurait jusqu'à lundi, date à laquelle l'Union européenne menace de rompre ses discussions avec Belgrade, pour trouver un compromis.Seconde possibilité : la rumeur aurait été volontairement distillée par le pouvoir pour tester les réactions de la rue et des nationalistes. Une sorte de tir à blanc avant la véritable arrestation. Troisième solution : Mladic a été arrêté en Serbie, mais les autorités veulent faire croire que l'opération a été menée en Bosnie dans l'espoir de désamorcer les éventuelles réactions des nationalistes.La plupart des analystes penchaient cependant hier pour la première hypothèse. Afin de préparer l'opinion, plusieurs responsables serbes ont récemment évoqué la fin de l'affaire Mladic. Jankovic, le conseiller de Kostunica, a affirmé la semaine dernière que les autorités serbes étaient «sur le point de résoudre le problème». Short Survetement CA Femme<br />Quand au ministre de la Défense, Zoran Stankovic, il a conseillé à Mladic de se suicider s'il s'estimait coupable... Inde : Chirac entame une coopération nucléaire LA VISITE de Jacques Chirac en Inde s'est achevée hier par la signature d'une dizaine d'accords, qui témoignent de la volonté de la France de renforcer ses relations avec la deuxième puissance émergente d'Asie après la Chine. Parmi les contrats signés, figure celui, âprement négocié depuis 2003, prévoyant la fourniture à Indian Airlines de 43 Airbus (19 A 319, 20 A 321, 4 A 320) pour un montant de 2 milliards d'euros. L'Inde a acheté par ailleurs 15 avions régionaux ATR 72-500 (220 millions d'euros). Paris et New Delhi sont convenus de formaliser leurs relations en matière de défense (échanges d'officiers, conseil de sécurité franco-indien, fourniture d'équipements, formation). Short Survetement DG Homme Français et Indiens ont aussi décidé d'intensifier la concertation entre leurs entreprises, notamment les PME, de créer une chaire d'études indiennes à Sciences po et d'instaurer un partenariat entre l'Essec et l'institut d'Ahmedabad, qui forme l'élite des cadres indiens.On aura surtout noté la déclaration commune préparant le terrain à une coopération nucléaire civile avec l'Inde, pays qui n'a pas signé le traité de non-prolifération (TNP) et qui, à ce titre, ne peut donc pas bénéficier de transferts de combustibles et de technologies. L'Inde «grand pays responsable» doit pouvoir répondre à ses immenses besoins énergétiques «sans devenir une cheminée à effet de serre» et «dans le respect des exigences de non-prolifération», a insisté Jacques Chirac à plusieurs reprises. New Delhi, qui n'a jamais dissocié ses activités nucléaires civiles et militaires, devra préalablement clarifier ses positions, donner des garanties, et obtenir le feu vert de la communauté internationale. Faisant référence à l'Iran, la déclaration franco-indienne souligne que la prolifération des armes nucléaires «constitue une menace pour la paix et la sécurité internationales». Certes, les futures installations nucléaires indiennes pourront être placées sous le contrôle de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a admis le premier ministre Manmohan Singh. Mais il ne s'est guère avancé sur les 15 centrales existantes. Short Survetement DSQ Homme<br />Les Européens ont tardé à prendre la mesure de ce champion mondial de la croissance économique (+ 8% l'an) qu'est désormais le sous-continent. Ils ont été devancés par les Etats-Unis et par le Japon qui ont tôt fait, eux, de le considérer comme un contrepoids face à la Chine. Début mars, Visite prochaine de BushGeorge W. Bush sera d'ailleurs à New Delhi pour une visite très attendue. La France qui a noué un «partenariat stratégique» avec l'Inde en 1998 cherche à nouer une «relation singulière» avec ce pays qui s'inscrit bien dans la vision multipolaire du monde chère à Jacques Chirac. A Delhi, il a vanté des «valeurs communes» (démocratie, indépendance, liberté, laïcité) et une «vision partagée» sur de nombreux sujets comme la lutte contre le terrorisme ou le financement du développement. Il a rappelé sa volonté de voir l'Inde rejoindre le club des membres permanents du Conseil de sécurité et participer aux réunions du G 8.</div>

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