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Hortefeux : «Moi, Patrick Buisson, je le connaissais peu»Dans un communiqué transmis mardi soir par son avocat Gilles-William Goldnadel, Patrick Buisson se défend : «En tant qu'intervenant essentiel de ces réunions», il «ne pouvait prendre des notes écrites et utilisait ces enregistrements pour préparer la réunion suivante». Ces derniers «étaient détruits au fur et à mesure sauf manifestement quelques-uns qui lui ont été dérobés et dont il est fait présentement un usage extravagant et pervers», affirme-t-il.L'article du Canard enchaîné «ne change en rien la plainte déposée par Patrick Buisson contre l'hebdomadaire Le Point le 21 février», selon son communiqué. «En effet, le fait que M. Buisson aurait pu faire un usage clandestin, malveillant et systématique de ce qui n'était qu'un enregistrement de travail relève de la diffamation», ajoute l'ancien conseiller. Interrogé ensuite sur iTélé, Me Goldnadel a considéré qu'«on est en train de faire une montagne de quelque chose d'anodin» et dénoncé des «méthodes fascisantes» à l'encontre de son client.Interrogé également sur i-Télé, mardi soir, l'ancien ministre UMP Brice Hortefeux, président de l'association des Amis de Nicolas Sarkozy, a éludé. sac hermes kelly pas cher «Ne comptez pas sur moi pour commenter des polémiques inutiles», a-t-il dit, ajoutant : «Moi, Patrick Buisson, je le connaissais peu».«Si c'est avéré, ce sont des pratiques détestables», a déclaré mardi soir Nathalie Kosciusko-Morizet, interrogée par la presse, à la sortie du diner annuel du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France), auquel participaient le président de la République François Hollande ainsi que de nombreuses personnalités politiques, de la majorité comme de l'opposition. «Si c'était vrai, ce serait une chose importante», a pour sa part déclaré Patrick Devedjian, président UMP du Conseil général des Hauts-de-Seine, soulignant que «la question est de savoir si c'est vrai».«Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est un climat un peu délétère qui régnait», à l'époque à l'Elysée, a de son côté considéré le Premier secrétaire du Parti socialiste Harlem Désir évoquant «des moeurs étranges».La mère de Reeva Steenkamp, tuée par Oscar Pistorius à la Saint-Valentin de l'année passée, a dit mardi ne pas porter de jugement envers l'homme accusé du meurtre de sa fille et ne lui souhaite pas de mal.«C'est important pour moi de lui pardonner, parce que je ne veux pas être remplie d'amertume», a confié June Steenkamp à Savannah Guthrie à l'émission américaine Today, sur les ondes de NBC.«S'il a fait une erreur, et c'est une énorme erreur. sac hermes pas cher kelly
Même si j'ai perdu ce qu'il y a de plus cher à mes yeux, je peux lui pardonner», a-t-elle rajouté.Peinée, Mme Steenkamp était présente en cour ce mardi, espérant avoir un échange de regard avec l'ancien champion paralympique. «Je veux être face à face avec Oscar et qu'il sache que j'étais là», a-t-elle confié.Le père de la victime ayant eu un accident vasculaire cérébral récemment, Mme Steenkamp a déclaré représenter toute la famille en assistant à ce procès. Toutefois, Pistorius a préféré regarder droit devant lui en arrivant dans la salle d'audience.Reeva ne s'est pas beaucoup confiée sur sa relation avec Pistorius, a dit sa mère qui en connaît peu sur lui. «En fait, je ne l'ai jamais rencontré.