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POLO lacoste L.12.12 Classic fit pas cher Je n'irai - 0 views

lacoste L.12.12 Classic fit pas cher Polo

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    Comme les simples paysans et les rebelles appartiennent à la même ethnie et souvent à la même famille, les militaires ont du mal à faire la distinction. Les soldats, perdus, s'en prennent régulièrement à de mauvaises cibles», commente un employé de l'une des nombreuses agences humanitaires présentes à Gulu. En fait de combats, la lutte entre ennemis se limite le plus souvent à des escarmouches. La LRA, dotée de simples kalachnikovs et de peu de munitions, évite les confrontations directes avec l'armée qui, de son côté peine à trouver, les miliciens dans l'immensité de la brousse.Les miliciens sur les talonsDans ce drôle de conflit, seuls les habitants, coincés entre la barbarie des fous du Seigneur et les dérapages des soldats, semblent souffrir : ils fuient les campagnes pour s'entasser autour des villes. Selon les estimations, près de 90% de la population de la région 1,8 million de personnes vivrait désormais dans des camps de réfugiés. «Même si ici nous n'avons presque rien à manger, on n'a pas d'autre solution que de rester», explique Raymond Lamaka, le chef d'Uryama. POLO lacoste L.12.12 Classic fit
    Ce camp, un ensemble de simples petites cases en boue séchée, sans eau ni électricité, est avec ses 20 000 âmes presque aussi grand que Gulu. L'ancien instituteur résume, à voix lente, sa fuite en hâte de son village, les miliciens sur ses talons, un matin de 1996. Sa maison n'est qu'à cinq kilomètres. Mais Raymond Lamaka n'y retourne jamais. Même rapidement. «C'est trop dangereux. Vous pouvez tomber sur des rebelles ou sur des militaires qui vous accuseront de trahison. POLO lacoste L.12.12 Classic fit pas cher Je n'irai qu'après la paix», dit-il, résigné. Il y a pourtant longtemps que Raymond ne croit plus vraiment à cette paix si souvent promise par le gouvernement de Kampala.«Le ressentiment et le manque de bonne volonté sont tels de part et d'autre, qu'une paix négociée entre les belligérants est presque impossible», commente Mgr John-Baptist Odama, l'archevêque de Gulu, pour expliquer la persistance de cette guerre qui semble devoir ne jamais finir. A ses yeux, l'inculpation pour crimes contre l'humanité, en octobre dernier, par la Cour pénale internationale, de Kony et de quatre de ses lieutenants n'a fait qu'aggraver les choses. «Il ne s'agit pas de soutenir l'impunité, mais le temps n'était pas venu de punir. Maintenant il n'y a aucune chance que de véritables pourparlers s'ouvrent, même si la LRA apparaît très affaiblie», insiste l'ecclésiastique. A peine les mandats d'arrêts rendus publics, des petits groupes appartenant à la LRA ont repris les tueries, égorgeant 11 passagers d'un camion avant de mutiler et de démembrer les cadavres. Polo lacoste pas cher
    Le gros de la troupe, elle, semble avoir trouvé refuge au Congo voisin.Fuite ou nouveau repli tactique ? Pour l'état-major ougandais, ce saut de frontière et l'émiettement des forces de la LRA sont des aveux de faiblesse. «En termes militaires, la LRA n'est plus une menace. Ses miliciens ne peuvent plus tuer ni enlever d'enfants. Ils ne sont plus capables de se réarmer car ils n'ont plus de soutien financier de l'étranger», insiste le major Felix Kulagme, porte-parole de l'UPDF. Durant toute sa campagne, le président Yoweri Museveni a promis que les miliciens seraient défaits avant le mois d'avril.Un leader invisibleDes affirmations qui font sourire Paul «Roleix», un ancien colonel de la LRA.

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