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    Et sa plus grande faiblesse. Voulant tout gérer jusqu'au moindre détail, il a commis un grand nombre d'erreurs. Les organisateurs de Sundance ne pouvant pas prendre de décision en son absence, il a généré beaucoup de conflits d'intérêts, de rancoeurs, et pas mal d'immobilisme.Parlez-moi de Miramax et des frères Weinstein. Qui sont-ils ?Une image me revient en mémoire. Quand Robert Redford a inauguré le festival de Sundance, il portait sur son bras un aigle majestueux qu'il a libéré, et qui s'est envolé vers un grand ciel bleu. Eh bien, les frères Weinstein, c'est un peu le contraire : on imagine plutôt une paire de pigeons picorant sur les toits d'un building du Queens ! Bref, Redford et eux n'ont rien en commun. polo Lacoste prix
    Et pourtant...En quoi ont-ils contribué au développement du cinéma indépendant ?Max et Harvey ont peut-être des manières vulgaires, mais ils ont du flair. Ils ont su profiter de l'éclosion du marché vidéo, dans les années 80. Avec leur société de production Miramax, ils ont appliqué au cinéma indépendant des techniques de marketing et de distributions agressives, utilisées habituellement par les studios hollywoodiens : publicités à la télévision, sortie de films dans de larges réseaux de salles aux États-Unis, et présence surprenante de stars hollywoodiennes dans des films à petits budgets, réputés intimistes. Ainsi, ils ont nourri une bulle d'acquisition, faisant leurs courses en Europe, et singulièrement au Festival de Cannes. Lacoste black label Le plus étonnant, c'est que ça a marché !Les deux cinéastes qui en ont profité le plus ne sont-ils pas Quentin Tarantino et Steven Soderbergh ?Tout à fait. Quand Sexe, Mensonges et Vidéo est sorti en 1989, Soderbergh est devenu la coqueluche du cinéma indépendant, et son film a remporté la palme d'or au Festival de Cannes, cette année-là. Même chose pour Tarantino, qui, après la sortie remarquée de Reservoir Dogs, a triomphé à Cannes avec Pulp Fiction, palme d'or en 1994. Par parenthèse, ce film, qui n'a coûté que huit millions de dollars, en a rapporté une centaine, rien qu'aux États-Unis. C'est incroyable !Le fulgurant succès de Tarantino ne lui a-t-il pas tourné la tête ?Bien sûr. Tarantino s'est vite éloigné de ses copains qui travaillaient comme lui, dans ce magasin de location vidéo. Roger Avary, coscénariste de Pulp Fiction, s'est également senti trahi par Tarantino, quand l'argent s'en est mêlé. Lacoste sport
    De la même manière que Steven Spielberg a pu se sentir exclu du cercle de Coppola, quand il a commencé à engranger des succès planétaires comme Les Dents de la mer. A Hollywood, finalement, à quelques décennies d'intervalles, on s'aperçoit que rien ne change. Le succès et l'argent pourrissent toujours les relations amicales. Mon livre a d'ailleurs suscité de nombreuses et virulentes réactions de la part des grands studios. On me reproche de ne montrer que le côté sombre du système. C'est faux. Je démystifie le nouvel Hollywood, certes.

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